Aller à…

Vaccins contre le HPV


VACCINS CONTRE LE HPV (Cancer du col de l’utérus)

Le japon ouvre la voie, par Norma Erickson

Le Japon va-t-il être le premier pays à mettre un terme à l’une des plus grandes impostures en matière de santé publique dans l’histoire de l’humanité ?
L’histoire des vaccins contre le HPV est presqu’identique dans tous les pays où ils ont été introduits, mais les faits de base sont les mêmes :

• Le public n’a pas été informé que l’on n’avait toujours pas été démontré que le HPV pouvait, par lui-même, provoquer le cancer.
• Le fait que 90% des infections à HPV disparaissent sans intervention est pratiquement ignoré.
Mon gouvernement se soucie de la sécurité du vaccin HPV. Le vôtre aussi ?
• On ignore le fait que la plupart des soi-disant lésions précancéreuses disparaissent spontanément.
• On ignore le fait que le cancer du col de l’utérus a presque été éradiqué de la plupart des pays développés.
• La prévalence des types de HPV locaux oncogènes n’a, soit pas été déterminée, ou a été ignorée.
• Les fabricants sont autorisés à utiliser des critères discutables au cours des essais cliniques.
• Au cours des essais cliniques, les fabricants n’utilisent pas des substances inertes comme placebos ou solutions de contrôle.
• La FDA a approuvé une procédure accélérée en dépit du fait que les critères pour la procédure accélérée des vaccins HPV n’étaient pas réunis.
• Les infections à HPV sont transformées et présentées en “menaces inévitables de cancers”.
• On crée des campagnes de relations publiques pour engendrer des peurs injustifiées de décès par cancer du col de l’utérus.
• On évoque des statistiques mondiales pour le cancer du col de l’utérus en vue de déclencher la “nécessité” d’une action “universelle”.
• Un lobbying politique massif s’occupe de créer l’acceptation des vaccins, de même que des marchés permanents. Les recommandations gouvernementales visent à promouvoir des vaccinations de masse contre le HPV.
• La réalité est pourtant là : des effets secondaires indésirables et des décès.
• Les citoyens commencent à demander à leurs gouvernements de procéder à des enquêtes.
C’est ici que pour les citoyens du Japon, l’histoire prend une toute autre tournure que pour la plupart des autres pays. Les citoyens japonais ont commencé à éprouver des effets indésirables graves suite à la vaccination HPV et ont demandé des comptes à leur gouvernement. Les responsables de la Santé du gouvernement japonais ont annulé leurs précédentes recommandations pour l’administration des vaccins contre le HPV en attendant le résultat des  enquêtes sur la cause de ces effets secondaires.

Il suffit de jeter un coup d’œil sur le rapport publié dans le numéro de juin 2013 du Nippon Gekkan Magazine :
La fille aînée de Mika Matsufuji de Suginami-ku de Tokyo a reçu sa seconde dose du Cervarix le 19 octobre 2011. La jeune fille, alors âgée de 12 ans, a reçu l’injection dans le muscle de son bras gauche. Elle a immédiatement senti des douleurs et des engourdissements dans les mains, et trois heures après l’injection, la douleur s’était étendue à l’épaule, à la jambe gauche, et à la cuisse jusque dans les orteils. Elle a souffert de vomissements et de maux de tête. Le côté droit de son dos a commencé à gonfler anormalement. La jeune fille souffre encore aujourd’hui.

Voici une liste partielle des 1.926 rapports de symptômes considérés sérieux, telle que publiée dans le numéro de juin 2013 du journal Gekkan Nippon Magazine :

Frissons, éruptions cutanées rougeâtres, sensation de chaleur, fièvre, anémie, arthrite, arthralgie, pneumonie, mycoplasme, troubles de la marche, papillite, vision affaiblie, hypoesthésie, oedèmes locaux, faiblesse musculaire, perte de mouvement des membres suite à l’injection, dysphorie, œdème laryngé, tâches pourpres, numération plaquettaire réduite, hémorragies, angiome, douleurs, chocs, nausée, baisse du niveau de conscience, malaise, perte de connaissance, chutes, pulsion suicidaire, douleurs abdominales, cyanose, perte de conscience, sensation de corps étranger, douleurs musculo-squelettiques, diminution de la pression artérielle, détresse respiratoire, pâleur, sensation d’étouffement, polypnée, tachycardie, vomissements, encéphalopathie, fatigue, faiblesse musculaire, syndrome de Guillain-Barré, troubles moteurs, urticaire, hypersensibilité, gonflement du visage.

Des rapports comme celui-ci ont été déposés dans tous les pays où les vaccins HPV ont été utilisés.  La différence, c’est qu’au Japon où ces problèmes de sécurité ont été mis en lumière, les autorités sanitaires gouvernementales ont immédiatement annulé leur recommandation antérieure par rapport à l’administration du Gardasil et du Cervarix en attendant les résultats des enquêtes sur la cause de ces effets indésirables. Le Japon a réagi rapidement et de manière décisive.

Pourquoi les fonctionnaires de nos pays ne font-ils pas la même chose ? Quel degré de gravité la situation doit elle atteindre avant que les consommateurs de soins médicaux exigent une action responsable de la part de leurs représentants, ainsi que des autorités sanitaires ?