Les PFAS sont des composés synthétiques autour d’une liaison carbone-fluor très stable pratiquement impossibles à détruire, et qui restent indéfiniment dans l’environnement. Apparus dans l’industrie au cours des années 40, leur dangerosité pour la santé et leur impact environnemental sont largement démontrés. Leur dégradation étant souvent impossible, c’est pour cela qu’on les appelle « polluants éternels ».

Les PFAS sont largement utilisés pour leurs propriétés antiadhésives, ignifuges, anti-taches, imperméabilisantes, et sont aussi employés dans des domaines variés tels que les mousses anti-incendie, les vêtements, les ustensiles de cuisine, les cosmétiques longue durée, les produits de nettoyage, les lubrifiants, platiques non biodégradables… Cette famille de plus de 4 000 composés qui sont en augmentation constante, accumule ses déchets non seulement dans l’environnement, l’eau, l’air, mais aussi dans les végétaux, les tissus animaux… et humains.

NOTA : Rappelez-vous qu’il existe en mer l’équivalent de la surface de l’Europe en plastiques flottants d’une épaisseur de 20 à 30 cm.

BANQUE DE DONNÉES MONDIALES

– Depuis 1950, l’industrie chimique, dont le géant Dupont-Nemours en tête, a fabriqué 8,3 milliards de tonnes de ces montages moléculaires de synthèse, et la production est en croissance continue.

– Il existe actuellement plus de 10 000 composés chimiques à base de fluorocarbonés dont la destruction nécessiterait des budgets pharaoniques inenvisageables.

– Il y a deux sortes de PFAS : ceux à chaîne longue avec plus de 6 atomes de carbone partiellement attaquables par du charbon activé ; et ceux à chaîne courte voire ultra courte, très solides et pratiquement indestructibles. À savoir par ailleurs que les chaînes longues se dégradent avec le temps et se divisent en chaînes courtes.

L’EAU, LA TERRE ET LES PLANTES

L’eau de pluie qui est issue de l’évaporation devrait être de l’eau distillée. Elle a souvent été récupérée par nos aïeux et dans de nombreux pays chauds pour la consommation. Elle est désormais impropre à la consommation partout dans le monde et même au Tibet, parait-il. On y retrouve des nano-particules toxiques de PFAS en plus ou moins grande quantité (sans compter les produits d’épandages des chemtrails).

Quant à l’eau du robinet, c’est une catastrophe. Une règlementation des Pays-Bas a fixé le taux maximum de PFAS à 200 nanogrammes par litre d’eau. À Paris, ce taux est multiplié par 3. La seule solution : l’osmose inverse. Il se vend toute une gamme d’appareils sur Internet et dans les boutiques diététiques mais attention, cette eau est déminéralisée (voir les documentations). En fait, les PFAS ne sont pas détruits par l’osmose inverse mais rejetés et recyclés à l’égout, donc sur le plan écologique le résultat est nul.

Par ailleurs, les eaux de pluie imprègnent les terres arables et polluent les cultures (y compris votre jardin potager bio), les plantes sauvages, mais aussi les nappes phréatiques par infiltation lente. Donc si vous utilisez un puits, il est probablement aussi pollué. La solution pour consommer l’eau est la même que celle citée plus haut : l’osmose inverse.

Enfin, en suivant la chaîne alimentaire, les fruits et légumes sont automatiquement tous pollués ainsi que les animaux de bouche… et donc nous tous aussi.

Les gouvernements étant impuissants à décontaminer la planète de cette catastrophe, je me suis limité à réfléchir à ce que nous pourrions faire pour juste nettoyer notre organisme des PFAS dangereusement accumulés depuis des décennies.

AFFECTIONS LIÉES À LA CHARGE ORGANIQUE EN PFAS

En 1990, on a découvert des nanoparticles de PFAS dans le sang de tout le monde ainsi que dans le lait des femmes allaitantes qu’elles transmettent donc à leur nourrisson (on n’en parle pas parce qu’en analyse qualitative, on ne trouve que ce que l’on cherche). D’ailleurs, les bébés naissent déjà prépollués puisque l’on trouve des PFAS dans le cordon ombilical.

Il y a une douzaine de maladies associées à l’ingestion généralisée de ces chaînes de carbones per et polyfluorés, dont les principales sont :

• Cancers de la prostate et des testicules
• Cancers du sein et des ovaires
• Dysfonctionnements cérébraux
• Endométrioses (en explosion)
• Infertilité masculine et féminine (croissantes)
• Obésité qui se généralise par dérèglements hormonaux
• Problèmes cardiovasculaires sans causes évidentes

Pour ceux qui veulent en savoir plus : deux femmes journalistes du Monde ont mené une enquête sur les PFAS. Elles s’appellent Stéphane Horel et Raphaëlle Aubert et sont auteures d’un ouvrage sur ce sujet catastrophe. Dans l’entretien qui suit, elles sont reçues par Paloma Moritz pour BLAST (le souffle de l’info).

https://www.youtube.com/watch?v=yYy-pLv82dM          (1h09min) 

UNE SOLUTION INATTENDUE POUR ÉLIMINER LES PFAS ACCUMULÉS DANS NOTRE CORPS 

Tout le monde sait que je pratique depuis près de 45 ans la kinésiologie en direct et à distance pour les bilans de santé et la recherche des meilleurs remèdes personalisés. J’ai en outre longtemps enseigné ma méthode de dialogue OUI/NON avec l’intelligence Akashique universelle par l’intermédiaire de réponses de tonus musculaires spécifiques, mais limités dans le domaine de la santé et de la vie.

J’ai donc demandé s’il existait un produit capable de « manger » les nano-éléments de PFAS disséminés dans nos organismes. Réponse : OUI. Puis j’ai demandé si ce produit existait parmi ceux que j’utilise et conseille couramment. Réponse : OUI.

Après avoir testé un par un les produits de mes différentes listes, j’ai fini par trouver une réponse positive avec la SILICE D’ORTIE. J’ai ensuite testé une par une les différentes maladiies liées aux nano PFAS omniprésents dans les organismes, et la réponse a toujours été : OUI. 

Il reste maintenant à confirmer l’efficacité de ce cadeau du ciel, et peut-être à postériori trouver scientifiquement pourquoi çà marche, ainsi que cela s’est souvent passé dans les innovations scientifiques. 

POSOLOGIE

1 bouchon matin et soir. Cure de 2 mois. 

Mots clés: PFAS, polluants éternels, pollution de l'eau, silice d'ortie