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Hydrotomie percutanée


Au Quinton Isotonique

L’hydrotomie percutanée est une technique remarquable de régénération des disques vertébraux et des articulations arthrosiques. Les effets sont si puissants qu’il suffit souvent de quelques jours après la seconde séance pour noter une sédation des douleurs.

Mon expérience personnelle

Ainsi que beaucoup de personnes entre deuxième et troisième âge, j’étais atteint de discopathies qui, tout comme les fuites d’eau, ne vont pas en s’arrangeant avec le temps.
C’est ainsi qu’en 1991, j’ai pu expérimenter ce qu’est une crise monstre de sciatique avec douleurs insoutenables aboutissant à une insensibilité dermique de la jambe gauche et à la perte de contrôle partielle de motricité de la jambe pendant plusieurs semaines.

En 1997, j’ai changé de registre avec cette fois les disques L1-L2, par une crise de cruralgie droite, plus violente encore qui m’a cloué, pour ne pas dire vissé, au lit pendant plus de huit jours. Depuis, les sensations de coups dans les reins allaient et venaient au gré de mes activités. J’avais de plus en plus peur de soulever des choses lourdes. Même une heure ou deux de ski tranquille me laissaient une sensation d’irritation au niveau lombaire.

Puis, j’ai effectué cette hydrotomie percutanée avec de l’eau de mer. Alors que le protocole standard est de 7 séances au total, je dois dire qu’après la deuxième séance, tout allait déjà beaucoup mieux. Depuis, il s’est écoulé une vingtaine d’années, et j’ai dû refaire quelques petites “piqûres de rappel” anticipées car, comme dit le dicton, “le naturel revient au galop”.
Mais pourquoi cela ?

Le micro-mécanisme d’hydratation des disques vertébraux

Contrairement à ce que l’on nous affirme, un disque ne s’use pas au départ, il se déshydrate d’abord ; la meilleure preuve, c’est que l’on trouve des individus relativement jeunes, même sédentaires dans leur profession, qui traînent des lumbagos, dégénérant en sciatique, cruralgie, voire hernies discales. Or il faut réaliser que tout organe est alimenté par un système de microcirculation capillaire. Concernant les vertèbres, il se produit pour des raisons énergétiques, une stase du réseau capillaire bilatéral qui doit les irriguer.

L’hydrotomie au Quinton iso in situ est une opération d’urgence qui crée littéralement une noyade du site, permettant une réhydratation rapide avec le seul produit reconnu par l’organisme : l’eau de mer vivante, bain primordial de la vie (à condition qu’elle n’ait pas été dénaturée). Les disques se regonflent comme des éponges, les nerfs coincés se dégagent et les douleurs cessent. Le Quinton iso, par sa bio disponibilité, se comporte tel un réservoir de micronutriments cellulaires, véritable manne de régénération pour les tissus environnants. Avec cette réhydratation massive, la dégénérescence s’arrête et le processus morbide s’inverse.
Nota : Cette technique est aussi applicable pour les hernies discales.

Mais ceci ne sera qu’un dépannage à moyen terme (un an ou deux), si le réseau capillaire n’est pas restauré. Deux solutions – pour restaurer une irrigation définitive – sont proposées dans cet ouvrage :

Processus des dégénérescences douloureuses

Tout organe est concerné par l’enregistrement somatique réflexe d’un stress émotif qui lui est spécifique, même s’il est subconscient ; il mémorise celui-ci sous la forme d’un spasme, qui entraîne la constriction de toute une microcirculation, asphyxiant en quelque sorte la région concernée. Le sang oxygéné arrive mal, le sang chargé en toxines et en gaz carbonique reste coincé, la lymphe stagne. Un plan de nettoyage par le feu s’organise sous forme d’un processus inflammatoire. Pour éteindre le feu, il faudrait de l’eau, mais, en raison du blocage circulatoire, l’organisme ne peut effectuer l’œdème salutaire et le syndrome en “ite” perdurera jusqu’à ce que le plan “ORSEC” démissionne et laisse la place au processus “ose”, de pourrissement et de dégénérescence.

Comment se pratique l’hydrotomie percutanée ?

1 – Procédure d’urgence

  • Se procurer une ou deux boites de QUINTON ISOTONIQUE à Source Claire 01 64 58 64 82, ou sur Internet ou en boutique diététique (mais attention : du vrai, pas du faux dit “Méthode Quinton”), et des seringues de 10 ml avec aiguilles pour sous cutanées (vente libre en pharmacie).
  • – Repérer la vertèbre en défaut par tapotement et piquer aux 4 coins d’un carré à 2 ou 3 cm de la vertèbre (haut – bas – gauche – droite) – vider lentement les 10 ml à chacun des 4 points.
  • – Recommencer tous les 2 jours.
    Il arrive qu’il se produise un petit œdème inflammatoire qui dure 1 à 2 jours ; ce n’est pas grave, c’est une réaction de nettoyage.
    Nota : ne cherchez pas une infirmière pour faire cela, elles n’ont pas le droit – Sachez par contre que tout le monde a le droit de pratiquer des injections intramusculaires et sous cutanées.
    (N’importe quel camé dans la rue peut vous montrer comment on fait).

2 – Procédure durable

Hydrotomie percutanéeSe procurer 7 bouteilles de 250 ml de Quinton isotonique (pour animaux, toujours aux mêmes sources) et 7 PIEUVRES à 8 BRANCHES à Mésalyse 03 44 74 19 95.
Aller dans une boutique de matériel médical pour acheter une potence (pour pendre la bouteille).

  • Pendre la bouteille renversée  à la potence et piquer la plume d’entrée de la pieuvre dans l’opercule en caoutchouc.
  • Visser à fond les 8 petites aiguilles en bout de tuyaux et faites les aboutir dans un saladier (propre).
  • Ouvrir le robinet d’entrée puis la mollette de réglage débit – l’eau doit descendre jusque dans le plat sans bulles – donner des pichenettes sur les bulles pour les évacuer. Faire cela rapidement pour ne pas gâcher trop d’eau – on en perd en moyenne 50 ml – les 200 ml restants sont très suffisants. Fermer la mollette.
  • Passer la région à piquer à l’alcool ou à la teinture de calendula.
  • Placer 4 aiguilles de part et d’autre à 2 doigts de la vertèbre sensible à 3cm l’une de l’autre – pour cela pincer légèrement la peau, poser l’aiguille et enfoncer d’un coup sec (indolore quand c’est bien fait).
  • Régler la mollette à 3 gouttes à la seconde (il faudra souvent reprendre le réglage au fur et à mesure que la bouteille se vide) – L’opération doit être terminée en 25 minutes.
  • Enlever les aiguilles – C’est fini – Une pieuvre ne peut servir qu’une fois.

Les séances seront réparties comme suit :
2 séances par semaine sur 15 jours – puis 1 séance par semaine sur 15 jours – dernière séance 15 jours après.
Dans des cas lourds, peut-être faudra t-il rajouter quelques séances.

NOTA : Il peut se produire, après la deuxième ou la troisième séance, quelques petites douleurs fulgurantes, qui correspondent tout simplement à la remise en place de certains nerfs qui se décoincent.

L’arthrose articulaire

Il est possible de régénérer aussi les dégénérescences articulaires telles que celles des genoux, des hanches, des épaules, des coudes, et des poignets. La mauvaise irrigation sanguine des têtes osseuses entraîne une anoxie locale allant de la périphérie vers le centre. Un véritable capitonnage de l’os s’effectue en périphérie. Il se manifeste par une hyperostose exubérante compensée par une ostéonécrose cryptique centrale. Tout se passe comme si les cellules, pour survivre, migraient anarchiquement vers la périphérie de l’os, là où passe encore un peu de sang.
Au niveau vertébral, on assiste à une ostéo-condensation périphérique, créant une souffrance du disque intervertébral par compression mécanique due à une calcification et prise en étau de la racine des nerfs réflexes (becs de perroquet).

Dans ce cas, on n’utilise pas la pieuvre, sauf pour les hanches, mais on procède avec une seringue comme dans la procédure d’urgence dans la périphérie des têtes osseuses.

Récapitulatif des indications

– Arthrose de la hanche,
– Arthrose des coudes,
– Arthrose des genoux,
– Cruralgie,
– Discopathies installées,
– Hernies discales,
– Lumbagos chroniques,
– Sciatique.

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