
L’aluminium : un fléau invisible qui ronge le cerveau
1 mai 2025
L’aluminium des vaccins, c’est l’arbre qui cache la forêt, car il se dissimule partout, dans des endroits que l’on ne soupçonne pas, discrètement, et souvent sans être mentionné. Il s’est glissé dans de nombreux emballages de produits courants des supermarchés ainsi que dans leur composition.
Exemples : brioches, fromages, lait en poudre, saucisses, et même cosmétiques. De fait, les sels d’aluminium sont d’une utilisation facile et bon marché, comme :
- agents de blanchiment
- correcteurs de pH
- antiagglomérants pour des produits en poudre tels que le lait, le sel, le sucre
- colorants alimentaires
- anti-transpirants
- agents abrasifs de dentifrices
- enfin, dans l’eau de la ville, pour la rendre plus transparente au robinet
Depuis des années, on était parti du principe que l’aluminium n’avait aucune incidence sur l’organisme. Mais de multiples études sur l’homme et les animaux ont prouvé le contraire. En effet, l’aluminium est impliqué dans des maladies neurologiques comme l’Alzheimer et le Parkinson, mais aussi l’ostéoporose ainsi que cette mystérieuse myofascite à macrophages. À savoir que celle-ci se reconnaît par :
- Baisse de mémoire
- Douleurs articulaires chroniques intenses et invalidantes
- Fatigue chronique
- Troubles de l’attention
- Troubles du sommeil…
Beaucoup de personnes ont contracté ces problèmes à partir du vaccin hépatite B dans les années 90. C’est le Pr. Ghérardi qui, le premier, a fait le lien de cause à effet avec l’adjuvant à l’aluminium du vaccin. Le facteur aggravant vient du fait que les vaccins s’administrent maintenant en trois ou quatre doses espacées au lieu d’une seule. Or, le seuil de tolérance maximum est variable selon chacun, ce qui explique que certains soient touchés plus que d’autres. En plus des douleurs, les victimes se plaignent de trous de mémoire quelquefois dramatiques.
Tout ceci est d’autant plus stupide que l’on peut très bien remplacer l’adjuvant aluminium par du chlorure ferriqueinoffensif avec résultats identiques. C’est d’ailleurs ce que faisait l’Institut Pasteur il y a quelques années… mais très curieusement, cette substitution a été supprimée par la suite.
À la fin des années 50, les vaccins polio, diphtérie et tétanos ont été produits en deux versions au choix : avec du sel d’aluminium classique ou avec du phosphate de calcium de remplacement (formule « IPADE ») qui est sans danger connu.
À partir de 1970, l’Institut Pasteur a décidé de produire cette génération « IPADE » sans aluminium à grande échelle, étendue à tous les vaccins. Hélas, en 1984, à sa fusion avec Mérieux, la production de ce type de vaccins a été stoppée pour produire uniquement des vaccins à l’aluminium. Les chercheurs de Pasteur furent scandalisés, d’autant plus qu’ils venaient de démontrer que l’aluminium stimulait la production d’Ige responsable des réactions allergiques.
LE RÉSEAU SANTÉ-ENVIRONNEMENT DE FRANCE
Ce réseau compte 2.500 médecins, ce qui est peu par rapport aux 70.000 médecins en fonction. Ces médecins s’appliquent à sensibiliser les familles sur la présence de l’aluminium dans de nombreux produits de consommation courante que l’on n’aurait jamais l’idée de remettre en question. Exemple : le pain, les viennoiseries (où l’aluminium sert à faire lever la pâte), divers biscuits, mais aussi dans les shampooings, les colorant s pour cheveux, les crèmes solaires (y compris pour les enfants), produits qui offrent une absorption transcutanée.
Il ne faut jamais oublier que l’aluminium est un neurotoxique dangereux.
Le Pr Ghérardi, président du réseau, a expliqué sur TV5 Monde que ses recherches l’ont amené à une grande surprise : l’aluminium est bio-persistant chez certaines personnes, alors que l’on pensait qu’il était toujours rapidement éliminé par les reins, après vaccination. Il a précisé que, lors d’autopsies, on a retrouvé de l’aluminium dans la rate et le cerveau de nombreuses années après les vaccinations classiques. Il explique cela par le fait qu’une partie des macrophages restent sur le site vaccinal, mais qu’une autre partie se promène dans le sang et peut passer la barrière encéphalique dans les quelques minutes ou heures qui suivent.
Les autorités sanitaires gouvernementales aux ordres des lobbies pharmaceutiques ne veulent pas le savoir et ont mis au placard les travaux du professeur
NOTA : Nous verrons plus loin que le professeur Ghérardi n’a pas été au fond du problème et n’a en fait proposé aucune solution.
LE SCANDALE DU LAIT EN POUDRE MATERNISÉ POUR BÉBÉS
Quinze marques de lait – y compris des laits BIO – ont été testées en Bretagne par le Pr Chris Huxley, dans lesquelles il a systématiquement détecté la présence de traces d’aluminium. À noter qu’en plus, les boîtes sont en aluminium.
Ce professeur a, en outre, analysé les huit poudres de lait les plus vendues en Grande-Bretagne (Danone, Nestlé, etc.), et il y a trouvé entre 0.4 et 0.63mg d’aluminium par litre, ce qui veut dire entre 2 et 3 fois plus que la limite admise dans l’eau du robinet. Or, il est connu que chez les bébés jusqu’à 6 mois, la barrière encéphalique n’est pas formée. Cette pollution peut donc entraîner des dommages pour le reste de leur vie. Mais personne ne fera jamais le lien.
MAIS IL N’Y A PAS QUE LES BÉBÉS…
Le nombre de malades d’Alzheimer augmente de façon vertigineuse, ceci particulièrement dans les pays développés. De 300 000 en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui et de plus en plus de jeunes sont maintenant touchés.
Or, si l’on admet que l’aluminium est le facteur déterminant de cette maladie, il est une question dérangeante que je pose : comment se fait-il que la génération de nos parents qui a largement cuisiné et mangé toute sa vie dans de l’aluminium (bidons, casseroles, cocottes, etc.) n’en ait pas spécialement subi de conséquences ? Pourtant tout le monde a pu constater comment les aliments acides comme les épinards ou le lait décapaient magnifiquement les casseroles en aluminium !
J’ai moi-même mangé quotidiennement durant des années en pensionnat, puis durant mon service militaire, puis dans les cantines d’entreprise, du cuisiné dans de l’alu, et même à la maison dans ces fameuses cocottes minutes en aluminium longtemps restées à la mode avant de passer à la version plus coûteuse en inox. Et alors ? Alors RIEN ! Aucun cas d’Alzheimer, d’ostéoporose, de Parkinson dans ma famille proche, même après des décennies de recul.
UNE DÉCOUVERTE DÉTERMINANTE
Un jour, un éclairage nouveau m’est parvenu, à partir d’études convergentes sur le métabolisme de l’aluminium. L’on savait déjà que celui-ci se substitue au fer, au cuivre et au zinc, empêchant les enzymes associées de fonctionner et perturbant leurs réactions chimiques. Mais la découverte, dont curieusement on ne parle jamais, c’est que la silice présente une attirance électrique pour l’aluminium. La preuve en est que l’argile est majoritairement composé de silicate d’aluminium. Voilà pourquoi la silice a la propriété de le piéger où qu’il se trouve, même dans le cerveau, et de l’évacuer vers les voies rénales.
En effet, Birchall a montré que :
- Le silicium s’agrège à l’aluminium, créant des précipités d’aluminosilicates peu solubles et donc moins toxiques que l’aluminium. L’aluminium inhibe l’action de la prolyl hydroxylase dont le fer est le principal cofacteur. Lorsque la concentration sanguine de silicium atteint six fois celle de l’aluminium, celui-ci est extrait de cette enzyme, laquelle se remet à fonctionner normalement.
- L’action du silicium est très dépendante du pH. Au-dessus de pH 7,4 son action commence à faiblir. De nombreux auteurs montrent l’action préventive des eaux acides riches en silicium sur l’artériosclérose.
- Les eaux acides riches en silicium éliminent chez le poisson les effets toxiques de l’aluminium. (Ceci rappelle la bioélectronique de Vincent, et doit rendre méfiant de l’alcalinisation de l’eau actuellement prônée avec des appareils au demeurant très chers…)
CORRÉLATION AVEC L’AGRICULTURE CHIMIQUE
Je me suis alors dit que logiquement, ceux qui n’éliminent pas l’aluminium sont ceux qui sont carencés en silice. Or, savez-vous que la silice ne peut être absorbée dans le sol par les radicelles des plantes qu’avec l’assistance de milliards de micro-organismes qui prédigèrent les minéraux et en dégorgent un miellat bio disponible, un peu à la manière des abeilles avec le miel.
Il faut bien réaliser que depuis des décennies, les traitements massifs des cultures vivrières aux engrais chimiques brûlent et exterminent la majeure partie de ces micro-organismes. L’on comprend alors pourquoi les blés qui faisaient 1,50 m de haut il y a 50 ans, ont été génétiquement raccourcis à 50 cm maximum afin de pouvoir tenir debout en cas d’intempéries. Or, nous qui sommes au bout de la chaîne alimentaire, et qui consommons ces légumes et ces céréales carencés en silicium (ainsi qu’en magnésium), nous ne pouvons qu’être pareillement carencés. Sauf… si l’on mange bio !
NOTA : De même que de nombreuses personnes, en raison de leur pollution organique, n’arrivent plus actuellement à fixer le calcium quelles que soient les quantités absorbées, l’on peut supposer que certaines d’entre elles perdent aussi la capacité de fixer la silice. Dans ce cas, il s’agirait d’un problème de déprogrammation électronique des parois cellulaires qui n’autoriseraient plus l’entrée des ions silicium. La solution est bien sûr la prise de silice sous forme d’oligo-éléments, qui ont la capacité de rétablir l’autorisation membranaire.
LA SILICE DE PRÊLE DES CHAMPS : ANTIDOTE MAJEUR DE L’ALUMINIUM
La prêle des marais et la prêle des bois sont toxiques en raison du kaempférol qu’elles contiennent. La prêle des champsest la seule variété bénéfique. Elle contient néanmoins du quercétol toxique mais seulement au long cours. C’est pourquoi les extraits produits par extraction à chaud (décoction, tisane) ou en milieu alcoolisé, ou encore les totum de la plante (poudres, gélules), bien qu’efficaces ne doivent pas être utilisés plus de 3 semaines.
Heureusement, un procédé d’extraction à froid en milieu aqueux a été mis au point et permet d’obtenir une solution de prêle pratiquement exempte de quercétol. C’est la seule formule qui autorise une supplémentation prolongée en silicium, et que l’on appelle SILICE DE PRÊLE.
NOTA : La prêle débarrassée du quercétol supporte mal les mélanges. Il faut impérativement la prendre seule et si possible à jeun 15 minutes avant le repas. C’est pour cela que certains utilisateurs ont été déçus malgré des promesses fondées sur des travaux scientifiques avérés.
POSOLOGIE
1 bouchon 2 fois par jour.
La cure recommandée pour nettoyer l’organisme complètement de l’aluminium est de 3 à 6 flacons selon le niveau d’intoxication.