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Ménophyt, une hormonothérapie naturelle


L’ équilibre hormonal de la femme présente une incidence déterminante sur deux axes de sa santé : le syndrome prémenstruel, et la ménopause.

Le syndrome prémenstruel se déroule dans les dix jours qui précèdent les règles et peut donner lieu à divers gonflements, une prise de poids, des maux de tête, mal au dos, irritabilité, dépression, gonflement et sensibilité des seins, fatigue, perte de libido (par drôle, hein ?). Ces signes d’une dominance œstrogène peuvent évoluer en dépôts graisseux sur les hanches et les cuisses (aïe!), prise de poids croissante (aïe aïe !), fibromes utérins, seins fibrokystiques (aïe aïe aïe !) – et précipitation du processus par une envie constante de sucreries !

La pré-ménopause et la ménopause présentent aussi des symptômes bien connus de beaucoup de femmes, du genre bouffées de chaleur, irritabilité ou fatigue chronique, décalcification, formations kystiques, fibrome utérin, endométriose, sécheresse vaginale, développement pileux, mais tout cela n’est pas un passage obligé comme le laissent à penser les dogmes médicaux officiels.

Petits rappels sur le cycle menstruel

Les œstrogènes, du latin œstrus qui signifie fertilité, sont sécrétés pendant la première semaine qui suit les règles. Ils commandent la prolifération de la muqueuse vaginale et augmentent la sécrétion des mucus en vue de recevoir l’œuf. D’une façon générale, les œstrogènes définissent tous les aspects de la féminité.
Au bout de 12 jours, le corps jaune des follicules ovariens se met à sécréter de la progestérone avec un pic de 20 mg par jour. C’est la deuxième partie du cycle. S’il y a grossesse, le placenta reprendra la production de progestérone et les quantités pourront aller jusqu’à 400 mg par jour pendant le premier trimestre.

L’indispensable équilibre œstrogène/progestérone

Une connaissance approfondie de ce sujet a permis de définir que les œstrogènes doivent toujours être compensés par des apports de progestérone naturelle, car, pendant qu’elle augmente la sensibilité des récepteurs d’œstrogène, elle en annule les effets indésirables. Or, il se produit que notre alimentation plus ou moins dénaturée de l’agriculture moderne prive la femme de la progestérone naturelle contenue dans plus de 5 000 plantes connues. Aussi, chez les peuples dont le mode alimentaire est riche en légumes frais de qualité (bio), il n’existe pas de troubles dus aux déficiences en progestérone.

Effets des œstrogènes :

Ils permettent l’afflux d’eau et de sodium mais peuvent, par excès,  provoquer hypertension et rétention d’eau.
Ils entraînent une hypoxie cellulaire.
Ils s’opposent à l’action de la thyroïde.
Ils favorisent la libération des histamines.
Ils favorisent la coagulation du sang, augmentant le risque d’embolie (pulmonaire par exemple).
Ils épaississent la bile.
Ils causent une rétention de cuivre et une perte de zinc.

Non contrecarrés par la progestérone :

Ils diminuent la libido.
Ils favorisent les kystes aux seins (mastoses).
Ils favorisent les fibromes de l’utérus.
Ils favorisent le cancer du sein et de l’utérus.

Par contre côté progestérone

Elle maintient la phase sécrétoire de l’endomètre.
Elle protège contre les kystes fibromateux des seins.
Elle aide à l’utilisation de la graisse.
C’est un diurétique naturel.
C’est un antidépresseur naturel.
Elle facilite l’action de l’hormone thyroïdienne.
Elle normalise la coagulation sanguine.
Elle rétablit la libido.
Elle normalise le sucre sanguin.
Elle normalise le cuivre et le zinc.
Elle assure une bonne oxygénation cellulaire.
Elle prévient contre le cancer de l’utérus.
Elle stimule les ostéoblastes qui commandent l’ossification.
Elle est nécessaire à la survie de l’embryon.
Elle est précurseur de la production au niveau des surrénales.

NOTA : Chez l’homme, la testostérone remplit les mêmes fonctions que la progestérone chez la femme.

La victoire de la publicité sur la science

La médecine contemporaine s’obstine étrangement à concentrer tous ses efforts dans la croyance unique que les œstrogènes sont le traitement clé de l’ostéoporose des femmes alors que ce phénomène est multifactoriel et que les ouvrages médicaux les plus pointus nient ce fait.

Dans le Medecine test de Scientific American, remis à jour en 1991, on lit : « On ne doit pas s’attendre à une augmentation de la masse osseuse avec les œstrogènes ». Les auteurs ajoutent que les effets secondaires des œstrogènes incluent le risque de cancer de l’endomètre qui est multiplié par 6 chez les femmes qui reçoivent un traitement aux œstrogènes pendant 5 ans et multiplié par 15 chez celles qui sont traitées à long terme.

Cela n’a pas empêché l’industrie pharmaceutique d’y voir un marché potentiel de l’ostéoporose et d’exploiter cette occasion pour vendre ses hormones brevetées qui n’ont rien à voir avec les hormones végétales naturelles.
Les médecins furent bombardés de campagnes publicitaires par des symposiums promotionnels déguisés en formation médicale continue, par des visites personnelles de vendeurs pharmaceutiques, par des échantillons gratuits, par des références d’études médicales subventionnées par les industries elles-mêmes.
C’est ainsi que la majorité des médecins sont convaincus et proclament que les œstrogènes sont les seuls facteurs efficaces dans la prévention de la perte osseuse et du cancer de l’endomètre.
Pendant ce temps, tout le monde ignore les travaux de J.C. Prior qui a fourni, dans Spinal Bone Loss and Ovulatory Disturbance la preuve sérieuse que la perte osseuse se produit chez les femmes en manque de progestérone malgré des niveaux adéquats d’œstrogènes.

Les progestatifs industriels et leur misères

Qu’appelle-t-on progestatifs ?

Le Docteur John Lee les définit comme suit : tout composé autre que la progestérone naturelle, capable de maintenir la phase sécrétoire de l’endomètre humain.

L’affirmation consistant à dire que les progestatifs sont équivalents à la progestérone naturelle est fausse. La preuve est que Provera, le progestatif le plus prescrit aux États-Unis, est accompagné d’un avertissement selon lequel il y a risque d’avortement ou de malformation en cas d’utilisation pendant la grossesse… alors que la véritable progestérone est indispensable à la survie de l’embryon !

Sur les 7 molécules les plus couramment utilisées, le corps central reste identique à la progestérone, mais les modifications de radicaux du groupe acétate ou éthinyle, par exemple, changent le message aux cellules cibles, entraînant des effets secondaires et contre-indications multiples.

Si nous nous référons aux PDR américains (Physicians Desk Reference), nous pouvons mesurer l’ampleur de l’imposture avec la médroxyprogestérone acétate :

Avertissement

˙Risque accru d’anomalies de naissance (cœur et membres) si la prise a lieu pendant les  quatre premiers mois de la grossesse.
˙Des chiens Beagle à qui on a donné ce médicament ont développé des nodules mammaires malins.
˙Cesser toute prise s’il y a perte de vision soudaine ou partielle.
˙Ce médicament passe dans le lait maternel, les conséquences sont inconnues.
˙Peut entraîner une thrombophlébite, une embolie pulmonaire ou une thrombose cérébrale.

Précaution d’emploi

˙Peut causer rétention d’eau, épilepsie, migraine, asthme, dysfonctionnement cardiaque  ou rénal.
˙Peut causer des saignements ou des irrégularités menstruelles.
˙Peut contribuer à une dépression.
˙Peut diminuer la tolérance au glucose. Les patients diabétiques doivent être suivis de près.
˙Peut accroître les risques de thrombose liés à la prise d’œstrogènes.

Effets indésirables

˙Peut causer une sensibilité des seins et une galactorrhée.
˙Peut entraîner urticaire, prurit, œdème ou éruption cutanée.
˙Peut causer de l’acné, de l’alopécie et de l’hirsutisme.
˙Peut entraîner une modification de poids.
˙Risque d’érosion des vertèbres cervicales.
˙Risque de jaunisse due à une cholestase.
˙Risque de dépression mentale, de pyrexie, d’insomnie ou de somnolence.
˙Quelques réactions du type anaphylactique.
˙Thrombophlébite et embolie pulmonaire.
˙Saignement ou aménorrhée – Règles modifiées.

En association avec les œstrogènes, on a pu constater

˙Élévation de la pression sanguine, maux de tête, vertiges, nervosité, fatigue.
˙Modification de la libido.
˙Hirsutisme.
˙Diminution du taux d’hormones thyroïdiennes T3.
˙Modification de l’appétit.
˙Cystite.
˙Érythème multiforme, érythème noueux.
˙Éruptions hémorragiques, démangeaisons.

Hormonothérapie et crise cardiaque

Deux études publiées en mars 1997 dans Nature Médecine et dans The Journal of the American College of Cardiology ont montré que la médroxyprogestérone acétate provoquait un spasme de l’artère coronaire pouvant engendrer une crise cardiaque tandis que la progestérone naturelle, au contraire, prévient les spasmes coronariens.

La source principale utilisée par les industriels est l’igname qui contient un stérol nommé la diosgénine. Malheureusement, ce produit est souvent transformé chimiquement pour fabriquer des produits de synthèse (brevetable). L’idéal est d’utiliser directement le produit, nommé Yam (que l’on trouve dans le soja).

NOTA : Le placenta des femmes est une véritable usine à progestérone. C’est une des raisons pour lesquelles on le récupère dans les cliniques d’accouchement (alors que l’on prétend que c’est un « déchet organique » devant être détruit !!!).

J’en profite pour rappeler ici le scandale des hormones tirées de l’urine des juments gravides au Laboratoire Prémarin :

Plus de 100 000 juments sont immobilisées debout pendant tout le temps de leur gestation, c’est-à-dire 11 mois, coincées dans des box obscurs, ne pouvant ni bouger ni se coucher, avec une sonde 24 heures sur 24 dans l’urètre et une poche pendue au plafond pour récolter l’urine. L’irritation de la sonde leur provoque une souffrance permanente ; par ailleurs, en raison de leur immobilité absolue elles sont couvertes d’escarres et elles ont des œdèmes tellement importants aux pattes qu’elles deviennent incapables de marcher. Le raffinement de la torture est de les maintenir en état de soif permanente afin de récupérer une urine plus concentrée pour faciliter l’extraction des hormones. Ces juments, battues lorsqu’elles n’obtempèrent pas de bonne grâce aux injonctions, sont tellement épouvantées qu’il arrive qu’elles avortent après des mauvais traitements. Après avoir mis bas, elles sont abattues pour la boucherie (la bonne viande que voilà !) ou repartent pour un tour selon leur degré de dégradation. On ne faisait pas mieux à Auschwitz. Peu de médecins savent qu’ils collaborent par leurs inconscientes prescriptions à cette épouvantable barbarie. Ni Brigitte Bardot, ni les différentes associations pour la défense des animaux, malgré les multiples lettres et pétitions d’indignation envoyées au ministère de la Santé et au laboratoire Prémarin n’ont abouti : le marché est trop porteur !

NOTA : Lorsqu’une femme laisse distiller dans l’intimité de son corps les produits de telles souffrances physiques et morales d’un animal noble et sensible, comment penser qu’elle puisse, au-delà d’un bénéfice illusoire, recevoir autre chose qu’une immonde souillure qu’elle devra digérer et éliminer. Il n’y a qu’à voir le nombre de dépressions nerveuses parmi les femmes en cours d’hormonothérapie.

Ménophyt : solution naturelle… et non cruelle

COMPOSITION :

– Le YAM est une plante grimpante cultivée dans de nombreuses régions tropicales. Il est connu pour réduire les bouffées de chaleur et l’irritabilité dues à la ménopause.
– Le CIMICIFUGA est un arbre originaire du Canada pouvant mesurer plus de 2m de haut.
Les racines de ces deux plantes, renfermant respectivement des glucosides et des diosgénines, sont universellement reconnues pour leurs vertus permettant de limiter ou supprimer  les désagréments liés à la ménopause.
– Y sont ajoutés 3% de deux additifs indispensables non dangereux : stéréate de magnésium pour ne pas bloquer les machines de fabrication, et gomme d’acacia.

POSOLOGIES : 3 gélules par jour

Troubles de la ménopause (plus de règles)

– Bouffées de chaleur : 3 gél par jour pendant 1 mois – si les bouffées reprennent, renouveler un mois et ainsi de suite jusqu’à résolution complète.
– Ostéoporose : 3 gél par jour pendant 4 mois – contrôler le résultat par densitométrie osseuse.

Syndrome prémenstruel :

– Utilisation standard (bouffées de chaleur – agacement) : 3 gél du 10ième au 25ième jour du cycle.

Kystes ovariens : entre le 5ième et le 26ième jour du cycle pendant 2 à 3 cycles – suffisent la plupart du temps pour faire disparaître les kystes.

Fibrome : entre le 12ième  et le 26ième  jour du cycle.
Nota : les fibromes se dessèchent souvent d’eux-mêmes après la ménopause.

Seins fibrokystiques : durant les 2 semaines précédant les règles pendant 2 à 3 mois.
Continuer si nécessaire jusqu’à résolution.

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