
Stérilisation en douce de la population par des ARN codants dans l’alimentation
19 mai 2025
CONSOMMONS-NOUS LES ARNm INJECTÉS AUX ANIMAUX ?
En octobre 2024, j’avais donné l’alerte sur la grande campagne de vaccination aux ARN codants des 62 millons de canards prévus pour régaler les fêtes de Noël, et j’avais écrit : « La population dans son ensemble, est majoritairement échaudée par les programmes de vaccination vaxx cov ARNm et n’est plus guère partante pour faire confiance à de nouvelles campagnes vaccinales. Les autorités ont trouvé une nouvelle idée pour vacciner malgré elles les populations, cette fois parmi les adeptes des traditions culinaires.»
Un scientifique me contacta gentiment pour me dire que je m’inquiétais pour rien, vu qu’une fois la viande cuite les ARNm étaient détruits. Il est vrai que je n’y avais pas pensé. Je m’étonnais pourtant que les marchands de mort n’aient pas prévu cela. De fait, je n’ai eu depuis aucun témoignage retour de séquelles post-cancrivores. J’en conclus que ce scientifique devait avoir raison, sauf effet retard possible comme l’a souvent prouvé la protéine Skype.
Autre hypothèse : parmi ceux qui présentent des problèmes a posteriori, personne n’a fait le rapprochement avec le canard du nouvel an.
Or, cette possibilité se confirme parce que j’ai lu le rapport d’un autre chercheur de haut niveau (qui souhaite une confidentialité de sécurité) disant que son équipe a effectué des essais de chauffe à 200°C de la protéine Skype, et que celle-ci y a résisté. Donc j’avais raison et je maintiens l’alerte.
De fait, la natalité moyenne chez les Français de souche qui était stabilisée depuis quelques années à 1,8 enfants par couple, commence à chuter à nouveau. Corrélation ou pas ?
Il est fort à parier que les vaccins aux ARN codants vont se généraliser à tous les animaux de bouche de grande consommation (bovins, porcs, poulets). même les produits laitiers pasteurisés (à 180°C) seront contaminés. Alors les amis, ceci n’est-il pas une urgente invitation au végétarisme ?
NOTA : Je rappelle que je suis végétarien depuis 45 ans, et qu’à 85 ans je me porte mieux que beaucoup de mes congénères carnivores (dits omnivores), pendant que je suis toujours en pleine activité professionnelle. Seule exception, je m’autorise du poisson sauvage moins d’ une fois par mois.