Le sel… mauvais pour votre santé ?
14 février 2016
Un mensonge officiel
Les « autorités de la santé » des milieux autorisés (comme disait Coluche) qui s’autorisent tout, vous font avaler cette couleuvre depuis des décennies. C’est FAUX, archi FAUX !
Le sel ne durcit pas les artères : aucun document officiel ni aucune statistique ne démontre cette affirmation gratuite et orientée ! (à laquelle j’ai cru moi-même)
Par contre « l’ergostérol irradié », la fameuse vitamine D de synthèse à la mode, obtenue à partir du végétal, provoque elle – c’est avéré – le durcissement des artères et les plaques d’athéromes. Un livre scolaire de Biologie pour classes de Première scientifique (édition VUIBERT par Pierre Vincent et Suzanne Darleguy, en 1982) le signalait page 144. Il s’agit donc de cette vitamine D que l’on ajoute maintenant partout pour soi-disant enrichir les aliments (et surtout les industries !), en particulier dans le lait, dans tous les produits laitiers devers et variés, dans les jus de fruits et dans tous les plats enrichis à la vitamine D. On a en plus l’audace d’inscrire sur les étiquettes : D’ORIGINE NATURELLE ! Il serait en outre intéressant de réaliser une étude statistique sur l’influence de cette vitamine D de synthèse sur la santé. Mais pas de risque de voir un jour cette étude qui mettrait en passe toute une chimie de l’agro-alimentaire.
Dans la Nature, les animaux sauvages ont tous une tendance naturelle à consommer du sel quand ils en trouvent du disponibles sur certaines roches. Il est en outre d’usage que les fermiers placent dans les pâturages du sel gemme à disposition de leur bétail. C’est aussi pour cela que ces bêtes se lèchent entre elles pour récupérer le sel dans la sueur de leurs congénères, et même sur elles-mêmes…. Et là, il n’y a pas de grosses têtes en biologie pour expliquer aux vaches la quantité raisonnable qu’elles doivent lécher ! Aucun animal sauvage ou domestique n’est soumis aux peurs des directives de l’OMS !
Alors, comment se fait-il que ces experts de l’OMS disent que le sel est mauvais pour l’humain, qui est aussi un mammifère ? Il suffit de boire, en conséquence, selon sa soif. Les vraies études ont toujours montré que le sodium (du chlorure de sodium) stresse les cellules, ce qui est utile pour le tonus musculaire, alors que le potassium (du chlorure de potassium) détend les cellules et les mettent au repos – En fait, c’est moins la quantité de sel-sodium qui est importante, que son équilibre avec le sel potassium. A noter que le chlorure de potassium est vendu librement en pharmacie et que l’on peut le mélanger à raison de 3 parties pour 1 partie de sel de cuisine pour la consommation courante, car beaucoup de personnes (les hypertendus et ceux qui sont sous diurétiques) sont carencés en potassium.
Remarquez que le sel a toujours été, à toutes les époques, et dans toutes les régions de la planète, une denrée précieuse en raison des moyens de transports rudimentaires, qui faisait l’objet d’un commerce soutenu et lucratif. Le mot « salaire » qui veut dire « payer avec du sel » rappelle une coutume mettant l’accent sur l’importance universellement reconnue en tant que facteur indispensable pour la santé des gens.
Il semble que 3 grammes par jour de sel de cuisine soit une dose moyenne raisonnable, sachant qu’une cuillère à café de sel vaut 4 grammes. Mais il faut tenir compte de la sudation qui, si elle est importante représente une perte conséquente en sel qu’il convient de compenser, particulièrement quand il fait chaud. A savoir aussi que les bains en piscine provoquent une déperdition considérable en liquides organiques par le principe de l’osmose cutanée. Voyez comme vos doigts sont fripés à la sortie du bain. Des études affirment qu’en deux heures de piscine, l’on peut perdre jusqu’à 1 litre de sueur.
Rappel : le sel courant blanc raffiné et ionisé (aux rayons gamma) est toxique. De plus, tout produit chimiquement pur est agressif pour l’organisme. Il convient donc de choisir du sel gris bio ou même de la fleur de sel (qui a été transportée par le vent).
Détail peu connu : le sel (chlorure de sodium – NaCl) serait un stimulant de l’expression. Selon Philippe Perrot-Minnot, tous les communicants (commerciaux, enseignants, personnes engagées dans les relations et les contacts) ont une tendance naturelle à beaucoup saler. Remarquez en outre, que ceux qui en consomment très peu ou pas du tout (régime sans sel) trainent souvent la fatigue. Toutes les personnes réservées ou repliées sur elles-mêmes, qui n’osent pas s’exprimer, ont une tendance naturelle à consommer très peu de sel. Faites votre propre enquête et vérifiez.
Il n’est donc pas étonnant que l’OMS et les pouvoirs publics incitent les masses à réduire le sel. Ils vous ont menti pour Tchernobyl, pour la vache folle, pour le SIDA, pour la grippe H1N1, pour Fukushima…. Pourquoi pas pour le sel… afin que tout le monde se taise et tende à se soumettre, bien sûr !