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Codex Alimentarius


Le cartel de la mort

Jamais le cynisme n’avait atteint une telle ampleur. On suspectait certains laboratoires de se frotter les mains quand la pollution urbaine entraînait un pic de crises d’asthme et autres joyeusetés respiratoires. On soupçonnait les industries agroalimentaires de surcharger nos aliments de sel, sucre, mauvaises graisses et produits chimiques dangereux, participant ainsi à la pandémie de maladies cardiovasculaires. On pensait naïvement que nos dirigeants soumettaient les médicaments à des tests rigoureux faits par des laboratoires indépendants … On tentait tant bien que mal de se soigner en remplaçant à nos frais des médicaments douteux par des cures de compléments alimentaires. Maintenant, les certitudes sont là : nous sommes en otage d’une vaste organisation criminelle mondiale !

Les vraies raisons du Codex Alimentarius

Les lobbies pharmaceutiques, affaiblis par les scandales répétés d’effets secondaires graves et mortels de produits de grande consommation, doivent faire face à une menace terrible : la concurrence des compléments alimentaires. Pour cela, ils ont formé un cartel qui, sous l’égide des Nations Unies, avec une commission chargée de mettre en place (dans le plus grand secret) un code international appelé Codex Alimentarius. Cette commission prouve non seulement que le cartel passe au dessus des gouvernements en infiltrant l’organisation mondiale de la santé (OMS) et du commerce (OMC) mais qu’il a le pouvoir de réglementer notre santé et notre alimentation en imposant des sanctions aux pays qui ne suivraient pas leurs recommandations.

Au programme, le Codex envisage le plus sérieusement du monde de limiter l’accès aux nutriments essentiels et vitamines notamment, en diminuant drastiquement les doses, en contrôlant la fabrication et la vente. Pourtant, les compléments alimentaires sont souvent bien plus efficaces que les médicaments prescrits qui tuent 150.000 personnes chaque année aux USA (l’équivalent d’un crash aérien avec 400 personnes à bord chaque jour !) et 15 000 en France.

Les intentions du Codex Alimentarius

1 – Aucun complément alimentaire ne doit être vendu dans un but préventif ou thérapeutique.

2 – Tout remède à des doses supérieures à la norme fixée, est assimilé à un médicament nécessitant une prescription et devant être produite dans les entreprises pharmaceutiques.

3 – Plus de 5000 produits vendus aujourd’hui sont en cours d’être bannis des magasins.

4 – Les régulations du Codex et la réduction drastique des compléments alimentaires sera imposée par le cartel à tous les pays et sous peine de sanctions commerciales.

5 – Tout complément alimentaire sauf non testé et approuvé par le Codex sera interdit.

6 – Dès 2015, les teintures mères et produits basiques de la phyto devront faire l’objet d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) en tant que médicaments.
Ceci est d’autant plus injustifié et abusif que ces extraits de plantes existent et sont utilisés depuis des millénaires et ne font l’objet d’aucun brevet.

La réduction drastique des compléments alimentaires sera imposée par le cartel à tous les pays et sous peine de sanctions commerciales.

Un historique effarant

Voici un extrait traduit d’une conférence de Rima E Laibow, médecin neurologue :

“Je vais vous parler du Codex Alimentarius et vous aider à comprendre l’ennemi. Ce que je vais vous dire n’est ni exagéré, ni interprété, ni imaginaire, mais parfaitement documenté, d’autant plus que je suis très près du Codex Alimentarius depuis plus de 10 ans.”

Comment s’est constitué le Codex Alimentarius ?

“Après la deuxième guerre mondiale, les gens qui avaient commis des crimes contre l’humanité furent jugés à Nuremberg par un tribunal dirigé par les USA et l’Angleterre. Une des personnes qui furent condamnées à l’emprisonnement était le président d’un gigantesque complexe industriel : l’IG Farben. Celui-ci produisait le fameux Zyklon pour les chambres à gaz ainsi que l’acier pour les camps de la mort. Il produisait aussi des munitions, des produits chimiques divers et des produits pharmaceutiques. Ce président condamné pour crimes contre l’humanité était un artiste plein d’idées (machiavéliques) : il avait inventé le slogan à l’entrée d’Auschwitz : “Le travail rend libre”.

En prison où il avait tout le temps de la réflexion, il se dit : « Cela n’a pas marché, que pourrions-nous faire ? J’ai une idée : la nourriture !

Qui contrôle la nourriture contrôle le monde !

À sa sortie (précoce) de prison, le criminel alla immédiatement présenter son idée à ses amis de l’IG Farben qui la trouvèrent géniale. Ils créèrent aussitôt une commission qui ne concernait ni la santé, ni les consommateurs, mais uniquement le commerce, et ils la baptisèrent : « “Codex Alimentarius”. Le but était le profit à grande échelle et uniquement cela. De cette commission mondiale émergèrent des sous commissions pour la pêche, l’huile, les fruits et légumes… soit 27 en tout. C’est devenu un énorme monstre bureaucratique. Le Codex a promulgué plus de 4000 décrets et réglementations sur tout ce qui peut se mettre dans votre bouche, sauf les produits pharmaceutiques, bien sûr.

L’empire austro-hongrois de l’époque, dans l’esprit germanique, voulait des règles, beaucoup de règles, et de l’ordre. Il fallait que les cours de justice puissent se prononcer sur tout ce qui concerne la nourriture. Pendant ce temps le Codex faisait la promotion de ses règlements au niveau mondial. À la demande de l’ONU (organisation des nations unies), L’OMS (organisation mondiale de la santé) et la FAO (organisation de l’agriculture et de la nourriture) furent créées. Lorsqu’elle fut créée en 1994, l’OMC (organisation mondiale du commerce), se demanda comment elle allait trancher les conflits commerciaux en matière de nourriture, et fut bien contente de trouver la règlementation prête à l’emploi du Codex. Depuis, tous les pays membres de l’OMC sont tenus de se soumettre aux normes du codex.

Le point actuel

“Vous devez comprendre que le Codex n’a rien à faire des intérêts des consommateurs ; il ne se préoccupe pas de votre santé, mais des seuls intérêts des multinationales médicales, agro-alimentaires, chimiques, et biotechnologiques. Sachez que les nutriments naturopathiques (vitamines et minéraux) vont être limités à 18, et que les plus efficaces vont être interdits, et ce sera illégal !”

Depuis plusieurs années, les produits laitiers que vous consommez proviennent de vaches obligatoirement traitées aux hormones de Monsanto – tous les animaux destinés à la consommation doivent être traités aux antibiotiques et aux hormones de croissance. Le Codex exige que toute nourriture soit irradiée (comme chez Mac Do), sauf la nourriture crue.

Neuf des pires produits chimiques connus sont des pesticides. Mais le Codex a rendu légaux sept de ces neuf poisons chimiques qui avaient été interdits dans 176 pays. Et la nourriture qui contient ces saloperies ne peut pas être refoulée aux frontières de nos pays – sinon ce serait une violation des traités commerciaux de l’OMC ! C’est comme cela que marche le Codex Alimentarius !

Le traité transatlantique, solution finale

Ce qui nous attend pour 2015 est tellement grave que c’est à peine croyable et l’inquiétude est vive !

Alors que des millions de gens tentent avec succès des médecines parallèles et autres régimes diététiques, la nouvelle inquiète à la fois ceux qui en vivent (fabricants, distributeurs) et ceux qui en guérissent (consommateurs). La FDA (Food and drug administration) avait tenté en 1993 de prendre le contrôle de la santé des américains, mais devant le tollé général, le congrès avait voté une loi protégeant ce droit à la liberté. Depuis, le cartel, loin de renoncer, a pour ainsi dire court-circuité tout le monde grâce à un lobbying soutenu auprès de l’OMS et de l’OMC.

Les pétitions à l’UE sont inutiles, les votes des députés européens sont manipulés ou ne sont pas pris en compte, et les décisions sont en fait prises par une poignée deb pions non élus et désignés par le gouvernement mondial invisible des grands lobbies industriels et bancaires. Bref, le but est de gérer les peuples comme du bétail !

Conclusion

Il est clair que nous nous enfonçons dans une normalisation internationale de l’alimentation par la légalisation obligée d’une malnutrition toxique. Ce plan mondial préparé depuis longue date a pour vocation de réduire d’une façon rentable la démographie planétaire par la maladie et la faim.

En doutiez-vous encore ? Philippe Desbrosses écrivait déjà il y a 15 ans :

“Nous risquons de mourir de faim sur un sac de riz” (empoisonné). A nous de résister et de nous organiser pour ne pas en arriver là, face à cette organisation criminelle, d’origine nazie…..