VACCIN GARDASIL (HPV)
aussi meurtrier qu’a été celui de la variole

Dès ce mois d’octobre, une opération d’intox pro-vaccinale contre les papillomavirus humains (HPV) a été lancée dans près de 7 000 collèges pour les élèves de 5^ième. Elle est gratuite et non obligatoire (donc sans garantie contre les dégâts collatéraux possibles…)

Des milliers de filles en bonne santé vont encore avoir leur vie fauchée en raison de la crédulité naïve et de l’ignorance entretenue de leurs parents. Au minimum ces filles et jeunes femmes ne pourront pas procréer…

Il y a 7 ans je m’élevais déjà contre cette arme de destruction massive aussi redoutable que l’a été durant un demi-siècle le vaccin de la variole où je dénonçais :

• • • • la malhonnêteté criminelle des labos pharmaceutiques,
      • la désinvolture irresponsable des médecins serviles au système d’état,
      • la crédulité stupide de parents aveuglés par la peur, qui n’ont même plus l’instinct de survie que n’importe quel animal assure à sa progéniture.

Je rappelle que le papillomavirus anciennement nommé crête de coq est une mycose vaginale sexuellement transmissible par des hommes asymptomatiques. Cette transmission sous 40 types répertoriés est facilitée par un terrain acide des receveuses. Ce problème rendant les rapports sexuels plus ou moins douloureux chez les femmes (et même les filles de 11 ans ?) n’est pas pour autant dangereuse et se résout toute seule sans rien faire en 18 mois maximum, par la seule intervention de nos défenses immunitaires. Mais il est possible d’activer la guérison par une application la nuit d’un pessaire (tampax) imbibé d’argent colloïdal, ou le jour quelques heures avec simplement la première urine du matin.

Affirmer que le HPV met les filles en grand danger d’un futur cancer du col de l’utérus dans 20 30 ou 40 ans est un argument malhonnête sorti d’une pseudo voyance dans le marc de café, une hypothèse indémontrable érigée en dogme médico scientifique, une imposture de plus pour attraper les peureux confiants.

En fait, tout le monde sait maintenant que l’acidose + la mauvaise oxygénation cellulaire (lieu commun dans le monde moderne) font le lit idéal du terrain à cancers. Il conviendrait donc vacciner la plupart de la population ? Or à ce que je sache on n’a jamais jusqu’ici trouvé un vaccin qui protège des cancers. Mais un éventuel futur cancer du col de l’utérus ferait alors exception ? Ah ? C’est même « scientifiquement » démontré par les marchands de vaccins !

LE JAPON, LEADER MONDIAL ANTI VACCIN HPV
Des scientifiques Japonais alertent le monde depuis dix ans s Le

Au Japon, de nombreuses jeunes femmes et des adolescentes souffrant de douleurs chroniques sévères généralisées à la suite de la vaccination au Gardasil® de Merck ou Cervarix® de GSK, s’expriment publiquement. Cette question est débattue lors d’audiences publiques, au cours desquelles des experts médicaux indépendants font des présentations scientifiques à coup de preuves documentées validant les souffrances voire les graves handicaps liés à ce vaccin.

C’est un scénario que Merck, GSK et les intervenants mondiaux du domaine des vaccins sont désireux d’étouffer à tout prix. Or ils font silence sur le taux élevé de réactions dramatiques des victimes. Les labos promoteurs ont recours à la tactique habituelle qui consiste à discréditer les personnes blessées par le vaccin.

Tout est combiné pour que les Internautes, surtout ceux qui ne sont pas ou plus capables de réfléchir par eux-mêmes, ne sachent plus qui croire. Nous sommes plongés dans une guerre invisible où l’on tue à petit feu ceux que l’on prétend protéger. Il ne faut croire personne, il faut raisonner par soi-même et faire confiance à notre propre instinct de conservation. Et tant pis pour les naïfs et les peureux qui se jettent dans la gueule du loup !

Bravo au gouvernement japonais

À la suite d’une audience publique en février 2014, au cours de laquelle des scientifiques indépendants ont présenté des preuves incontournables de la dangerosité du vaccin, le gouvernement japonais a non seulement annulé sa recommandation de faire vacciner les filles contre le HPV, mais il a aussi établi des cliniques spéciales pour évaluer et traiter les maladies causées par ce poison vaccinal.

LE VACCIN HPV CONTIENDRAIT DE LA MORT AUX RATS !

Vous êtes-vous intéressés à la composition du Gardasil ? Chaque dose de ce vaccin à composants transgéniques (OGM) contient en plus de quelques souches dites à haut risque de HPV, des substances connues pour leur neurotoxicité et leur cancérogénicité, telles 225µg d’aluminium, du polysorbate 80, mais aussi le pire, du BORATE DE SODIUM. Or, le borate de sodium est le produit de base DE LA MORT AUX RATS. Il est formellement interdit dans toute préparation médicale… mais pas dans le Gardasil !!!

Voici quelques-uns des effets graves possibles :

¤ Paralysies type Guillain-Barré pouvant être irréversibles,
¤ Bronchospasmes,
¤ Syncopes,
¤ Faiblesse généralisée,
¤ Troubles cutanés,
¤ Arthrite,
¤ Migraines invalidantes,
¤ Inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales,
¤ Disparition ou amoindrissement du flux menstruel,
¤ Troubles graves de la vue, épilepsies parfois irréversibles,
¤ DECES par thrombose ou par arrêt cardiaque,
¤ Fausses couches,
¤ Risque de maladies auto-immunes pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin.

STATISTIQUES DE L’HECATOMBE IL Y A 10 ANS

Leslie Carol Botha a noté sur son site « Holy Hormones Journal » :

“On estime que seuls 1 à 10% des effets secondaires des vaccins HPV sont rapportés. Il s’agit donc d’ajouter des zéros aux rapports (volontaires) des 140 décès. Il suffira alors de se demander si les vaccins HPV ne sont pas tout simplement meurtriers ! En tout cas, pour ces 140 familles, ils l’ont été. Et ce sont là les chiffres qui ont été volontairement rapportés au VAERS.”

Si les chiffres fournis par Leslie Carol Botha sont exacts, les familles ne faisant pas forcément le rapport avec les vaccins HPV, ceux-ci ont pu endommager la santé d’environ 300.000 jeunes filles en une seule année !

Elle déclare qu’il n’y a aucune preuve que le vaccin puisse empêcher à posteriori le développement d’un cancer du col de l’utérus. Par ailleurs, du propre aveu des fabricants, le Gardasil de base ne contient que 4 souches, (et 9 dans le nouveau Gardasil 9), alors qu’il y a 40 souches de cette maladie vénérienne spécifique se résolvant généralement d’elle-même.

La chercheuse a ajouté ironiquement que « la chance que le vaccin puisse réellement aider une femme est environ la même que le risque d’être frappée par une météorite ». Alors pourquoi les petites filles de 9 ou 11 ans n’ayant pas encore de vie sexuelle auraient-elles besoin de vaccinations pour des maladies vénériennes extrêmement rares et sans symptômes que le système immunitaire tue généralement ?

Mamans, papas, renseignez-vous bien
(ailleurs qu’à la télé ou les mainstream officiels)
avant de commettre l’irréparable

QUE FAIRE QUAND LE MAL EST FAIT ?

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