EXTRAIT DE PÉPIN DE PAMPLEMOUSSE

Antibiotique naturel familial multifonction
sans les inconvénients

La plus petite pharmacie avec un seul produit
pour chez soi et en voyage

Il y a 26 ans (c’était en 1998), alors que je démarrais ma carrière journalistique avec le petit bimensuel « Vérités Santé Pratique », j’ai fait la découverte de l’extrait huileux de pépins de pamplemousse (EPP) grâce au livre Secrets et merveilles du pamplemousse (éd. Médicis).

Voici l’historique de ce qui fut appelé à l’époque « la découverte du plus puissant antibiotique naturel ».

Tout a commencé en 1980 sur un tas de compost dont le propriétaire était le Dr jacob Harich, médecin immunologiste (lauréat du prix Einstein) résidant en Floride, USA. Il remarqua que les pépins de pamplemousse, dans son compost, ne pourrissaient pas. Il s’empressa alors de reproduire le phénomène dans son laboratoire, et il découvrit rapidement que les graines de pamplemousse recelaient une substance à la fois plus puissante et moins nocive que les antibiotiques connus.

Des recherches plus poussées furent entreprises en France, en Allemagne et aux États-Unis, et il fut alors mis en évidence un incroyable spectre d’action à la fois sur les bactéries, les levures, les champignons pathogènes, divers parasites, ainsi que sur des virus, sachant que normalement l’action des antibiotiques se limite aux bactéries. En 1990, le Dr Allan Sachs de Woodstock NY, ayant repris les travaux du Dr Harich, se demanda si l’on n’avait pas découvert l’antibiotique parfait.

PRINCIPALES DÉCOUVERTES DES PROPRIÉTÉS DE L’EPP (extrait de pépin de pamplemousse)

1. 1. 1. 1. L’action de l’EPP a été testée sur environ 800 souches de bactéries et de virus, et sur une centaine de champignons, ainsi que sur un très grand nombre de parasites unicellulaires. Cette action sur les microbes pathogènes s’effectue à une concentration moyenne de 1000 ppm (parties par million), ce qui correspond à environ 15 gouttes par verre d’eau 3 fois par jour.
         2. Des essais comparatifs, en concurrence avec 30 antibiotiques reconnus puissants et 18 antimycosiques, ont été établis par des équipes de recherche internationales. Dans chaque essai, l’EPP était d’un effet équivalent ou supérieur aux souches présentes.
         3. L’EPP est dépourvu de toute toxicité. Il faudrait absorber 4000 fois (1,5 litre pur) la dose normale pour atteindre des effets d’empoisonnement.
         4. L’EPP aide les défenses immunitaires, alors que les antibiotiques classiques les inhibent pour travailler à leur place.
         5. Au niveau intestinal, alors que l’EPP détruit les bactéries nocives, il ne touche absolument pas aux indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Au final, la flore se trouve améliorée, ce qui n’est pas le cas avec les antibiotiques.
         6. Normalement, l’EPP n’entraîne aucune réaction allergique. Néanmoins, selon les statistiques, 4% de personnes environ présentent une allergie aux agrumes en général. Ces personnes doivent commencer par des doses minimales.

LES DÉGÂTS POSSIBLES DU CANDIDA ALBICANS

Ce champignon a tellement proliféré (à cause de l’utilisation massive des antibiotiques dans l’alimentation industrielle) que la moitié de la population occidentale en est atteinte. Or ce terrible champignon est générateur de multiples troubles tels que :

Ballonnements – diarrhées – colite – ulcères gastro-intestinaux – troubles menstruels – stérilité – fibroses – allergies – troubles hormonaux – troubles cardiaques – douleurs articulaires – céphalées – migraines – mémoire défaillante – sautes d’humeur – asthme – sinusite – affections rénales – fluctuations glycémiques – gastrite – cancers.

L’EPP étant un puissant antimycosique avéré, il a une action salvatrice sur le candida albicans. Grâce à son action large spectre, il permet d’améliorer les symptômes liés à ce champignon et de compenser les problématiques liés à la prise d’antibiotiques.

COMMENT RECONNAÎTRE DES EPP DE HAUTE QUALITÉ

Depuis une vingtaine d’années, l’extrait de pépins de pamplemousse s’est répandu sur le marché. Il se trouve facilement mais les compositions des différentes marques ne se valent pas. Certains fabricants mettent du jus de pamplemousse dans leurs produits, ce qui a un effet inhibiteur sur différents types de médicaments ce qui peut être problématique pour une partie des utilisateurs. Dans certaines compositions, on ne retrouve qu’un seul type de bioflavonoïdes, ce qui montre que l’extraction n’est pas de bonne qualité et que la fabrication n’est pas faite dans les règles de l’art.

À noter que :

1. 1. 1. 1. Un bon EPP doit contenir différents types de bioflavonoïdes dont les principaux sont l’hespéridine, la naringine, la rutine et la quercitrine. Cette diversité de flavonoïdes garantit la présence de supers ingrédients bioactifs et rend le produit multifonction.
         2. Un EPP de qualité ne contient pas de furanocoumarines (contenus dans la pulpe et le jus des pamplemousse).

INDICATIONS

En usages externes :

• • • • Angine : gargarismes avec 20 gouttes dans un verre d’eau
      • Gerçures des lèvres : appliquer directement sur les lèvres
      • Gingivite : masser les gencives avec 20 gouttes dans un verre d’eau
      • Herpès des lèvres : appliquer pur plusieurs fois par jour jusqu’à guérison
      • Mycose auriculaire : appliquer pur un coton-tige
      • Mycose buccale : rinçages de bouche avec 20 gouttes dans un verre d’eau
      • Mycose vaginale : ne pas se laver au savon. Imbiber un tampon hygiénique et laisser en place 3 heures. À faire sur un cycle complet.
      • Mycoses cutanées : appliquer pur 2 fois par jour
      • Tiques : retirer la tique avec un tire-tique puis appliquer une goutte sur la zone de la piqure pendant plusieurs jours
      • Verrues : appliquer une goutte sur la verrue, 2 fois par jour

En usages internes :

• • • • Acné
      • Candidose
      • Choléra
      • Démangeaisons
      • Diarrhée
      • Dysenteries en pays chauds en préventif et curatif
      • Eczéma
      • Gastro intestinal : troubles
      • Grippe
      • Helicobacter pilori
      • Immunité déficiente (même grave)
      • Infections urinaires et autres
      • Infestations par levures
      • Intoxication alimentaire
      • Mycoses buccales
      • Mycoses internes et externes
      • Mycoses vaginales
      • Piqûres de moustiques et d’aoutats (calme)
      • Refroidissements
      • Transpiration excessive
      • Vers et maladies parasitaires
      • Voyages en pays chauds : en préventif quotidien contre les eaux polluées et les crudités associées

POSOLOGIE

Standard :15 gouttes 3 fois par jour dans un peu d’eau

TÉMOIGNAGES

À propos de résultats obtenus, il en est un que je voudrais partager ici. Il vient du docteur E. dans le suivi d’une personne atteinte de sclérose en plaque. Cette personne développa une infection grave due à une bactérie résistante nommée Pyocyanic. Cette bactérie creuse les tissus qui rejettent alors un pus bleu. L’aboutissement à une septicémie mortelle est inéluctable. Le Docteur E. essaya l’EPP à raison de 90 à 100 gouttes par jour. Au bout de quelques jours, il n’y avait plus trace de pyocyanic à l’analyse, et le malade était définitivement hors d’atteinte.