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Mammographie : Révélation d’un scandale de plusieurs décennies


Depuis des décennies, la mammographie a été présentée comme une procédure préventive qui permet de sauver des vies, mais des preuves statistiques révèlent une toute autre vérité : il s’agit en fait d’une pratique de ratissage annuel d’une clientèle féminine inquiète à plus ou moins juste titre. Ce protocole invasif brutal et douloureux que j’ai maintes fois dénoncé entraine des traumatismes dangereux des seins. Soyons clairs : la mammographie est une industrie qui sert plus à créer des patientes (en bonne santé) qu’à sauver des vies.

Voici les faits marquants que l’industrie médicale vous cache :

Plus de la moitié des diagnostics sont erronés

En effet, le taux de faux positifs est de 50 à 60 %. Cela signifie que presque une femme sur deux rendues très inquiètes (effet nocebo) sont chaudement invitées à se soumettre aux traitements lourds invasifs (chimiothérapie, radiothérapie, et même mastectomie) pour une maladie qu’elles n’ont pas forcément.

1. La procédure elle-même est dangereuse

La mammographie est un procédé brutal. Les seins sont comprimés avec une terrible pression qui endommage les tissus sensibles du sein. De plus, ces tissus délicats sont alors bombardés de radiations X cancérigènes reconnus. Réfléchissez bien : une procédure qui prétend détecter des foyers cancéreux et qui peut provoquer un cancer. Bizarre !

2. La mastose (maladie de Reclus), un problème bénin courant à ne pas trop déranger

Il s’agit de formations kystiques dans le sein qui semblent liées à la consommation excessive de produits laitiers. Ces boules détectables par simple palpation doivent être normalement mobiles et indolores- donc pas graves. On montre dans des magazines féminins comment pratiquer soi-même cette palpation. S’il y a des adhérences (manque de mobilité), c’est un terrain fibrokystique avec risque d’amorce de foyer cancéreux actif ou non.

Lorsqu’on écrase le sein, des kystes qui sont en réalité des petites poubelles peuvent éclater et polluerle site; ils pouvaient contenir des éléments de cancers dormants qui ne se seraient peut-être jamais manifestés. C’est donc dangereux. Suite à des accidents de la route mortels chez des plus de 50 ans, les autopsies montrent fréquemment des foyers cancéreux dormants qui peut-être ne se seraient jamais manifestés par la suite.

3. La mammographie permet de trafiquer les statistiques de guérison par les protocoles conventionnels

Vous allez comprendre comment …

Quand une femme porteuse de kystes mammaires fait l’objet d’un surdiagnotic (une chance sur deux) à la mammographie, alors qu’elle est au départ en relative bonne santé, elle est systématiquement aspirée dans le rouleau compresseur protocollaire : ablation, chimio, radio. Si elle s’en sort bien de cette dure épreuve et qu’on ne lui trouve plus traces de cancer, ceci est consigné comme une réussite à intégrer dans les statistiques médicales… alors qu’il n’y avait pas de cancer au départ !

Une étude de grande envergure analysant 690 000 dossiers médicaux révèle l’ampleur de la fraude. De nombreuses femmes étiquetées comme atteintes d’un « cancer du sein » étaient en parfaite santé avant leur mammographie. Il ne s’agit pas seulement d’un surdiagnostic, mais d’une exploitation délibérée. Des femmes en bonne santé sont translatées en patientes, ce qui rapporte des milliards à l’industrie médicale tout en détruisant des vies.

Les profits plutôt que le respect des femmes

L’industrie médicale a bâti un empire autour de la mammographie, engrangeant des milliards chaque année en exploitant les peurs des femmes. Voici comment :

1. Tactiques de peur : les femmes sont bombardées de propagande, on leur dit qu’elles mourront si elles ne passent pas une mammographie annuelle.

2. Dépistages annuels forcés : des femmes en bonne santé sont contraintes de se soumettre à une mammographie annuelle, ce qui les transforme en clientes perpétuelles.

3. Épidémie de surtraitement : les faux positifs conduisent à des traitements agressifs rentables pour l’industrie, mais dévastateurs pour beaucoup de femmes.

Des alternatives plus sûres et plus douces existent

Des alternatives à la mammographie sont plus sûres, plus précises et non invasives. Les examens mammaires manuels et les technologies d’imagerie avancées évitent la compression écrasante et les irradiations

Et pourtant :

Non seulement le trust Big Pharma ne veut pas le savoir, il a organisé une campagne annuelle mondiale 2024 de communication (disons plutôt de propagande) nommée OCTOBRE ROSE destinée à sensibiliser favorablement les femmes au dépistage du cancer du sein et à récolter des fonds pour la recherche. En fait c’est une nouvelle formule du Téléthon dont les fond récoltés n’allaient pas du tout à des postes philanthropiques pour la santé publique.