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CHOLESTEROL et STATINES


CHOLESTEROL et STATINES

des fausses pistes…. mais hyper rentables !

Une fois de plus, je vais bousculer un bastion d’à priori solidement établi, autant au niveau du public formaté que de la doxa médicale totalement assujettie à un pontificat orgueilleux qui ne supporte pas la contestation. Mon propos n’est pourtant pas une nouveauté puisque déjà en 2012 puis en 2016 j’avais contesté dans mon journal « Contr’infos » le lien entre la cholestérolémie et l’athérosclérose et diffusé les dégâts des statines.

Bien que l’on m’appelle souvent à tort « docteur », (je ne fais pas la propagande de dogmes), voire « professeur » ce que je préfère car j’aime à me définir en tant que « professeur de logique » qui s’’applique à être un éveilleur et un bon vulgarisateur au niveau du grand public. Je n’invente rien, et je ne prends mes sources qu’au niveau des grands noms indépendants à qui l’on donne peu d’accès aux plateaux télé puisqu’ils ne défendent pas les intérêts de la grande industrie pharmaceutique.

C’est ainsi que j’ai fait appel pour la troisième fois depuis 10 ans, (vu que rien ne bouge !), à deux des meilleurs spécialistes de la recherche en cardiologie : le professeur Philippe Even auteur de « La vérité sur le cholestérol » (2008) et le docteur Michel de Lorgeril directeur de recherche au CNRS et auteur de « L’horrible vérité sur les médicaments anticholestérols » (2008).

Je ne vais rien démontrer ici, car il est impossible de résumer en 3 pages deux bouquins de respectivement 350 pages et 260 pages, aussi je me limiterai à annoncer les résultats bruts de leurs travaux – Aux sceptiques de consulter leurs ouvrages en outre passionnants.

DEUX ENORMES MENSONGES

1 – Non seulement le cholestérol ne participe pas dans la formation des athéromes artériels, il est indispensable pour de multiples fonctions vitales et dans la synthèse de la plupart des hormones endogènes – sa carence est beaucoup plus risquée que son excès.

2 – Non seulement les statines ne protègent pas de l’athérosclérose, des infarctus et des AVC, leur prescription au long cours induit de nombreux dégâts associés sur l’organisme que nous verrons plus loin.

Philippe Even reprend le flambeau du Pr Maria Apfelbaum, maitre incontestable à l’origine de la question du cholestérol, qui avait le premier dénoncé en 1997 cette propagande insensée anti cholestérol des médias. La mesure abaissant le curseur d’alerte de 3 g à 2 g puis à 1,60 g toujours actuel, lui avait fait écrire ….« c’est plus de la moitié de la population adulte qui est devenue la proie des grands labos…une fois capturée elle le restera à vie» (une rente perpétuelle qui s’élève actuellement à 2 milliards d’euros par an soutenue en France par 7 millions de faux malades amalgamés aux vrais malades dus à un mode de vie délétère – 7 millions de français crédules ignorants piégés par leur confiance en la doxa médicale et leur peur de mourir prématurément.)

NOTA : N’oublions jamais que nous sommes plongés éduqués et gouvernés par un monde officiel satanique où il faut prendre l’envers de tout ce qu’on nous prétend.

L’INDISPENSABLE CHOLESTEROL 

Le cholestérol est un alcool lourd fabriqué majoritairement par le foie mais aussi par les cellules selon leurs besoins et plus ou moins complété par certains apports alimentaires tels les poissons. Ce n’est pas une graisse mais un cristal gras parfaitement lisse qui a 4 fonctions majeures :

        • Il est précurseur des hormones sexuelles, de la vitamine D et de la cortisone
        • Il transporte le LDL et le HDL en boucle d’une part entre le foie et les tissus, d’autre part entre le foie et les reins
        • Il Assure la solidité des membranes cellulaires
        • Il ancre des récepteurs sur les hormones et les molécules immuno inflammatoires

 

L’essentiel du cholestérol des tissus est fabriqué de façon endogène par les cellules de ces tissus en fonction de leurs propres besoins. A remarquer que les molécules de cholestérol ne sont jamais détruites, mais recyclées par l’organisme et réutilisées sans fin – celles en excès dans la bile sont envoyées sous forme de sels biliaires dans l’intestin qui les réabsorbe vers le sang. Rien ne se perd ! (NOTA : les calculs biliaires sont du cholestérol séché).

Troubles en cas de carence de cholestérol

Moins de cholestérol entraine :

        • Moins de sels biliaires indispensables
        • Moins de vitamine B
        • Moins d’hormone du stress (cortisol)
        • Moins d’hormones sexuelles
        • Moins d’hormones régulant la tension artérielle

 

Le dogme du bon et du mauvais cholestérol qui subsiste toujours est né en 1980 . Ce dogme prétend que le LDL est l’ennemi responsable de millions de morts par athérosclérose en encombrant et en inflammant les artères, alors que le HDL par son transport en boucle vers le foie et la bile assure le nettoyage des athéromes vasculaires – Tout le monde y a cru et pourtant des statistiques alarmantes ont infirmé cette thèse et des nouvelles études indépendantes ont montré que ce n’est pas si simple….

Soyons clair, la médecine officielle n’a toujours pas trouvé
comment vraiment nettoyer le système artériel
.

NOTA : Les plantes ont des cholestérols spéciaux différents appelés « phytostérols »mais contrairement aux allégations diététiques ils n’ont aucun effet contre les accidents cardio vasculaires.

LES AVEUX DE L’INVENTEUR
MALHONNÊTE DES STATINES ?

Cet inventeur s’appelle Sir Rory Collins professeur de médecine directeur d’un laboratoire d’épidémiologie à l’université d’Oxford – il a été décoré et même anobli par la reine d’Angleterre (sataniste avérée !). Son exploit est d’avoir créé deux consortiums internationaux de puissants laboratoires érigés en référence absolue que personne ne s’est risqué à contester, en particulier sur le fait que les statines font des miracles et que leurs effets indésirables sont négligeables.

Et puis voilà qu’en 2015 Rory Collins annonça subitement à la presse anglaise que « les données concernant la toxicité des statines n’étaient ni correctes ni sérieuses » ; donc après 20 années d’allégations fantaisistes et irresponsables, il avouait que la toxicité n’avait jamais été examinée……cela ne vous rappelle rien avec le directeur de Pfizer concernant la sécurité du vaxx Cov? Quand ces diables commencent à prendre peur face à la vague de dégâts que l’on n’arrive plus à cacher, ils tentent une confession pour se récupérer une virginité.

SOUS QUELS NOMS SONT VENDUES LES STATINES

        • Atorvastatine (Tahor)
        • Fluvastatine (Lescol)
        • Lovastatine (Mevacor)
        • Pravastatine (Pravachol)
        • Rosuvastatine (Crestor)
        • Simvastatine (Zocor)

 

LES EFFETS IATROGENES CERTAINS DES STATINES

Si certains effets prêtent à débats, en voici qui sont sûrs à moyens et longs termes.

Effets sur le cerveau

Les statines endommagent la qualité de la myéline gaine lipidique des neurones qui contient du cholestérol d’où possibilité de troubles de mémoire et aussi d’irritabilité chez les femmes

Mais l’attaque de la myéline des nerfs a aussi pour conséquence de mutiplier par 3 le risque parkinsonien au bout de 9 années d’exposition à cette drogue.

Effets sur la musculature

Les statines provoquent une baisse progressive du tonus musculaire, donc augmentent le risque de chutes, donc encouragent la sédentarité par prudence, donc précipitent la dégénérescence générale et un vieillissement précoce.

Effets uro-génital chez les hommes

Les statines provoquent de l’insulino-résistance et un déficit en testostérone, ce qui déclenche souvent des troubles de miction urinaire et des troubles d’érection.

NOTA : si on arrête les statines, tout rentre dans l’ordre…..ouf !

Effets sur le sur le système nerveux

Les statines induisent souvent des troubles du sommeil et /ou installent à la longue la dépression

Effets sur la vue

Les statines augmentent le risque de cataracte dès 3 mois de prises

Effets sur les maladies rénales

 Les statines s’avèrent toxiques pour les reins. Les fortes doses ( entre 10 et 40 mg courantes) peuvent amener en moyenne à 40% d’hospitalisation pour crise d’insuffisance rénale.

Le comble c’est que ces statines prétendant nous protéger,
attaquent notre précieux cholestérol,
ce qui est contreproductif face aux multiples processus vitaux
de la santé qu’il soutient.

Ceci catalogue définitivement les statines dans les poisons.