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Un antibiotique naturel quasi universel vieux comme le monde – l’argent colloidal


ARGENT COLLOÏDAL 10 ppm

Un antibiotique naturel quasi universel
vieux comme le monde

 

L’ARGENT : UN ANTISEPTIQUE UTILISE DEPUIS DES SIÈCLES

À des époques reculées de l’Antiquité où l’on n’avait aucune idée de l’existence des bactéries et des virus, on utilisait déjà les propriétés germicides et bactéricides de l’Argent-métal.

Grecs, Perses et Romains utilisaient des récipients en argent pour stocker divers liquides (eau, vin, etc.) destinés aux souverains et à l’aristocratie. Ces liquides conservaient ainsi leur fraîcheur et leurs qualités plus longtemps que dans d’autres récipients. L’argent servait aussi à fabriquer des ustensiles de table et de cuisine, une tradition qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Il semble qu’ingérer ainsi régulièrement d’infimes particules d’argent contribuait à renforcer l’immunité.

Les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider une cicatrisation saine et rapide.

Hippocrate vers 400 av. J.-C, enseignait que la fleur d’argent, une poudre ultra-fine, cicatrisait les blessures ulcérées.

Avicenne (980-1037), médecin et philosophe persan, utilisait l’argent pour purifier le sang, entre autres, sous forme de poudre et de pilules argentées.

Paracelse (1493-1541), l’un des plus célèbres alchimistes et médecins de la Renaissance, considéré comme le père de l’homéopathie et le précurseur de la toxicologie, enseignait l’usage médical de l’argent.

Les médecins chinois utilisaient l’argent dans la fabrication de toniques à base de plantes et pour traiter les infections, suppurations chroniques, blessures septiques, fièvres et sinusites.

Pendant la Guerre de 1914-18, des feuilles d’argent étaient utilisées pour combattre l’infection des blessures.

En 1938, on comptait plus de 90 préparations médicales brevetées à base d’argent et parmi les fabricants, on notait le nom de grandes entreprises pharmaceutiques comme Merck, Schiff ou Park Davis & Co.

C’est certainement la tradition du thé britannique (de l’eau bouillie servie dans des théières d’argent) qui a permis à la Grande-Bretagne de survivre aux terribles miasmes de ses colonies, tant en Inde, qu’à Hong Kong et partout ailleurs.

Il était courant de placer des pièces d’argent au fond des récipients contenant du lait ou des aliments pour en préserver la fraîcheur, une méthode adoptée au 19ième siècle par les pionniers américains.

Enfin, dans les traditions de nos grands-parents, les parrains et marraines des bébés baptisés apportaient en cadeau, une petite cuillère et un gobelet en argent.

NOTA : Le secret des lignées royales de « sang bleu »

Ce fut une croyance bien entretenue affirmant que le sang bleu était la preuve d’un don de droit divin permettant de régner (ex : lignées Capétienne, Windsor, etc). En fait, ces lignées princières mangeaient et buvaient dès leur naissance uniquement dans des couverts d’argent. À la longue, leur sang se chargeait en sels d’argent, d’où sa coloration bleutée (qui n’avait rien à voir avec le divin). En fait, ce phénomène sans conséquences s’appelle « l’argyrisme », classant celui-ci actuellement comme une maladie plus ou moins redoutable, afin de dissuader les gens d’utiliser l’argent (qui rentre en concurrence directe avec les antibiotiques).


On sait maintenant qu’aucun germe, aucune bactérie
ne peut survivre au contact de l’argent.

LA DÉCOUVERTE SCIENTIFIQUE DE L’ARGENT COLLOÏDAL

Le bien-fondé de ces pratiques populaires a été démontré par les recherches modernes. On a pu déterminer que l’argent métallique se dissout dans l’eau à un taux d’environ 10 parties par milliard de molécules d’eau (10 ppm), soit 10 microgrammes par litre, et que cette dose pourtant extrêmement faible tue les colibacilles et les salmonelles.

En 1893, Karl von Nägeli, un botaniste suisse, rapporta que des bactéries mises en contact avec une solution de nitrate d’argent titrée à 10 ppm (argent colloïdal), mouraient en trois ou quatre minutes.

En 1897, le Dr Benno Crede, introduisit l’usage en médecine de l’argent colloïdal, de l’argent sous forme de particules microscopiques dispersées dans l’eau, spéculant que l’argent colloïdal pourrait posséder les propriétés germicides des sels d’argent sans en avoir la toxicité. Par la suite, les colloïdes d’argent furent largement employés par voie interne pour lutter contre diverses infections bactériennes (septicémie, fièvres rhumatismales, arthrite blennorragique, diphtérie, méningite cérébro-spinale, etc.).

En 1929, le Dr Albert Schweitzer, rapporta que tous les pathogènes se trouvaient éliminés quand l’eau était traitée avec des particules d’argent porteuses d’une charge électrique. Le terme argent colloïdal n’était pas encore en usage. Il démontra également que ce traitement n’était pas nocif vis à vis des micro-organismes bénéfiques.

Aujourd’hui, les meilleurs filtres à eau emploient l’argent pour éviter la contamination des bougies filtrantes et de nombreuses compagnies aériennes utilisent ce filtre à bord de leurs avions.

La NASA a choisi un système de traitement de l’eau à base de colloïdes d’argent pour ses navettes spatiales. Les Russes utilisent également l’argent colloïdal pour stériliser l’eau à bord des navettes spatiales.

Aux États-Unis, certaines villes ont choisi l’argent pour le traitement des eaux usées et des piscines. Au Nébraska, on a démontré l’efficacité de l’argent colloïdal en décontaminant un bassin volontairement pollué par le colibacille. Passant dans des filtres équipés d’électrodes d’argent, cette eau a été totalement purifiée en l’espace de 3 heures.

UN ANTIBIOTIQUE À LARGE SPECTRE

En référence aux communications scientifiques médicales, l’argent sous la forme colloïdale peut se rapprocher de l’action d’un antibiotique à large spectre. Sa présence initie une enzyme, laquelle agit localement envers chaque bactérie, chaque unicellulaire, chaque champignon et chaque virus, par modification de leur équilibre acido-basique, et y installe une résistance externe. Ces organismes deviennent inactivés dans un temps de contact d’environ 6 minutes, parfois moins. Ils régressent dans leur cyclogénie, puis meurent. Cela a été vérifié par le laboratoire de UCLA (Université d’État de Californie) et par les travaux du Dr. Robert O’Becker, Centre Médical Universitaire de Syracuse (NY, USA).

Les microbes polymorphes, ainsi que les mutants, sont également sensibles à ce colloïde. La majorité des antibiotiques, sur prescription médicale, ne tue qu’une partie des agents causant des maladies, alors que l’argent colloïdal est efficace contre environ 650 maladies (travaux du Dr. Henri Crooks).

Les vétérinaires trouvent là une solution pour le parovirus du chien et d’autres maladies des petits et gros animaux. La solution d’argent colloïdal est utilisable aussi bien comme traitement curatif que comme prophylactique (préventif). Ce bouclier naturel renforce les défenses de l’organisme.

L’ARGENT CHÉLATEUR DU MERCURE

Il est bien connu que l’argent et le mercure ont une grande affinité. D’ailleurs, les amalgames dentaires classiques (plombages) sont composés d’alliages contenant entre autres du mercure et de l’argent. Or, on a pu constater récemment que cette affinité crée un tropisme réciproque au niveau cellulaire, ce qui fait que l’argent sous forme colloïdale se comporte comme un excellent chélateur du mercure. La preuve est que l’on retrouve du mercure dans les urines des personnes mercurisées qui prennent de argent colloïdal.

DE MULTIPLES INDICATIONS EN INTERNE ET/OU EN EXTERNE

        • Abcès
        • Acné
        • Adénite
        • Allergies
        • Amygdalite
        • Angine
        • Aphtes
        • Appendicite
        • Arthrite
        • Asthme bronchique
        • Blessures
        • Bronchite
        • Brûlures 2ième et 3ièmedegré
        • Cancer de la peau
        • Candida albicans
        • Cicatrisation : accélère
        • Conjonctivite
        • Crohn’s : maladie de
        • Diarrhée
        • Epidémies : préventif – curatif
        • Gale
        • Grippe
        • Hépatite C
        • Hidrosadénite
        • Immunité insuffisante
        • Infections : toutes
        • Intoxication alimentaire
        • Lèpre
        • Levures
        • Lyme : maladie de
        • Maladies infantiles
        • Malaria (paludisme)
        • Moisissures
        • Mycoses
        • Oreilles : inflammation
        • Paludisme
        • Parodontose
        • Peste bubonique
        • Pied d’athlète (inflammation entre orteils)
        • Piqûres d’araignées
        • Plaies : désinfection
        • Pneumonie
        • Rhume
        • Sinusite
        • Teigne
        • Ulcère d’estomac
        • Ulcères
        • Ulcère variqueux
        • Verrues
        • Yeux : affections diverses
        • Zona

COMMENT UTILISER L’ARGENT COLLOÏDAL 10 ppm ?

En usage interne :

Adultes : 1 bouchon plastique de 10 à 20 ml – 3 à 4 fois par jour selon l’importance de l’infection (garder quelques minutes en bouche avant d’avaler).

*En cas d’affection lourde : 1 bouchon de 20 ml toutes les heures.

Enfants : 1 bouchon de 5 ml – 3 à 4 fois par jour.


NOTA : éviter l’usage d’ustensiles métalliques, le risque étant que les colloïdes d’argent se fixent sur les cuillères.

En usage externe :

En application directe sur la peau

En vaporisations, dans le nez et la gorge.

POUR SE PROCURER DE L’ARGENT COLLOÏDAL 10 ppm

À savoir que :

        1. Des fournisseurs vendent des flacons en 20 ou 30 ppm laissant croire que plus l’eau est concentrée en ppm, plus le produit est puissant, ce qui est faux. C’est l’inverse. Mon expérience (et je ne suis pas le seul) a montré que le 10 ppm est la concentration la plus efficace.
        2. La taille des micro-agglutinats colloïdaux sont d’autant plus efficaces qu’ils sont petits, et par effet inverse, moins efficaces s’ils sont gros. Or, cette grosseur est proportionnelle au courant affiché lors de l’électrolyse de production. Il est impossible de savoir lorsqu’on achète un produit si, pour des raisons de cadence, l’ampérage a été plus ou moins poussé.
        3. L’argent colloïdal doit avoir un très léger goût métallique. Or, il se vend de l’argent colloïdal qui n’a pas plus de saveur que de l’eau pure.
        4. L’agent colloïdal n’aime pas la lumière qui le fait jaunir : il faut, soit envelopper les flacons, soit les mettre dans un placard sombre.

NOTA Depuis 2010, en France les fabricants d’argent colloïdal ne le commercialisent qu’en tant que cosmétique pour se conformer à la nouvelle législation européenne. Pendant ce temps aux USA la FDA (foods and drugs administration) l’autorise en complément alimentaire ! En clair, aux US on peut le boire sans danger, mais en Europe c’est dangereuxNe serait-ce pas plutôt parce que trop efficace ? 

Alors que chacun tire ses conclusions