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La chimio en question


Une consternante désinformation

Je suis sans cesse contacté par de pauvres gens chirurgicalement mutilés ou mortellement abimés par la chimiothérapie, qui, se voyant « couler », souffrances en prime, cherchent désespérément un sauveur de la dernière chance. Tous et toutes ont été canalisés de force, sans autre choix possible, souvent sans ménagement par des pions irresponsables, exécuteurs des ordres d’en haut, ceci rappelant étrangement des méthodes logistiques nazis que l’on bien a connues. A noter que la Sécu tient les victimes par la barbichette, en leur refusant les congés maladie s’ils refusent la filière orthodoxe, afin d’opter pour des thérapies plus humaines et offrant plus de chances de succès.

Devant l’océan d’ignorance organisée, et la censure concernant toute information risquant de nuire au business de Big Pharma, je n’hésite pas à revenir et revenir encore sur l’information indépendante que j’essaie de diffuser avec les petits moyens dont je dispose face au rouleau compresseur de la dictature médicale.

Oui il existe des milliers de guérisons avec différents moyens thérapeutiques ayant fait l’objet d’une omerta systématique – des dizaines d’ouvrages en témoignent depuis des années, mais la plupart des gens n’ayant jamais envisagé la maladie pour eux même, ne s’y sont jamais intéressés. Depuis plus de 30 ans, j’ai eu à expérimenter en tant que Heilpraktiker plusieurs de ces moyens y compris sur ma famille, avec un pourcentage de succès n’ayant rien à voir avec ceux de la voie officielle, ce qui m’a valu en outre d’être attaqué en justice pour « exercice illégal de la guérison »…

Parmi la longue liste des remèdes et moyens qui ont existé et ont été enterrés (quelquefois avec leurs inventeurs ou promoteurs….), j’ai surtout utilisé le CARZODELAN (extrait pancréatique par injection intramusculaire). Or, j’écrivais en 2003 dans mon journal, l’article ci-dessous qui titrait :

« Un précieux médicament supprimé : le Carzodélan »

Cet extrait pancréatique injectable a sauvé, depuis 50 ans, de nombreuses vies humaines. Il est efficace pour détruire toutes cellules tumorales et formations kystiques, et bien des cancers ont été définitivement réglés grâce à ce merveilleux produit que je conseille avec bonheur depuis près de 25 ans.

Aucun reproche ne lui est fait si ce n’est qu’il ne fait pas partie de l’enseignement des facultés et que son action n’est pas « scientifiquement démontrée » (formule magique !). Bien évidemment, les labos qui font fortune avec la chimiothérapie n’ont jamais eu intérêt à authentifier les résultats du Carzodélan. Cette mesure répressive qui va coûter la vie à de nombreux malades, a été (politiquement) décidée à l’échelon européen et prendra acte le 1er juillet prochain (2003). Le laboratoire allemand qui fabrique ce produit va devoir fermer.

À noter que le Carzodélan dont on devait faire provision en pharmacie allemande n’a jamais été interdit en France. L’astuce de son blocage à la vente en France avait résidé dans le fait qu’une exclusivité avait été décrétée au niveau de la pharmacie des hôpitaux de Paris qui s’est empressée de cacher le produit au fond de ses tiroirs et de « l’oublier » à jamais.

JMD DE MICHEL DOGNA

Chimio : des taux moyens de réussite de 2,2% !

Voilà une étude qui devrait faire du bruit……À condition bien sûr d’en parler !

Cet article de trois professeurs australiens est paru dans la revue Clinical Oncology, sous le titre : The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5 year Survival in Adult Malignancies. Il étudie les données d’études cliniques avec chimiothérapie au cours des 20 dernières années en Australie et aux USA. Les résultats relevés sur un lot de 72.964 patients en Australie et 154.971 aux USA, tous traités par chimiothérapie, sont tout simplement consternants :

Concernant la survie de 5 ans, en Australie seuls 2,3 % des patients et 2,1 % aux USA ont obtenu un résultat positif.

Malgré cela, on continue à imposer cette « charlatanerie » à tous les cancéreux !!!

Les auteurs s’interrogent, avec raison, sur le fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, ait dans le même temps connu un tel succès commercial. Et cela devient totalement incompréhensible, lorsque l’on considère, une par une, les différentes sortes de cancer. C’est ainsi qu’aux USA, depuis 1985, il ya eu exactement 0 % de progrès dans les cancers suivants : Cancer du pancréas,Sarcome des parties molles, Mélanome, Cancer des ovaires et de la prostate, Cancer des reins et de la vessie, Tumeurs cérébrales, Myélomes multiples.

Et ceci au bout de 20 années de recherches « intensives » dans le domaine de la chimiothérapie et l’investissement de milliards provenant de fonds pour la recherche et de dons faits aux grandes organisations bien connues pour le cancer.

Logiquement, tout un chacun devrait maintenant changer sa façon de penser. Mais à quelle réaction devons-nous nous attendre ? Tout porte à croire que les pouvoirs publics continueront à affirmer sans la moindre retenue que « l’on a fait ce qu’il fallait » au cours des dernières décennies et que la recherche a englouti des milliards de dollars dans la bonne direction. Car dans le cas contraire, la perte de prestige serait immense et dévastatrice, et les conséquences économiques et financières catastrophiques pour tous ceux qui vivent d’une façon éhontée du système !

Et tant pis pour le consommateur (malheureux patient), qui se trouve bien seul lorsqu’il n’a pas accès à l’information lui permettant de prendre conscience de cette autre réalité de la maladie, au moins autant physique que psychologique et spirituelle. On peut trouver sur le site www.cancerdecisions.com les chiffres des effets cytotoxiques de la chimiothérapie sur les cinq années de survie. A travers ces chiffres, on peut mesurer les conséquences de ces traitements, acceptés le plus souvent au prix de terribles souffrances, dans l’espoir ultime d’une guérison, en réalité bien illusoire.

La chimio : un traitement vraiment bidon

Voici quelques déclarations de spécialistes, qui ne sont évidemment pas répercutées dans les médias résolument serviles aux intérêts de l’industrie pharmaceutique :

• Le Dr en Médecine Allen Levin : «La plupart des patients atteints de cancer dans ce pays meurent de la chimiothérapie. La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvédepuis plus d’une décennie et pourtant les docteurs utilisenttoujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs.» (in «The Healing of Cancer» [« Guérir le cancer »]. 1990).

• Le Dr en médecine Thomas Dao : «Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années» (in «’New England Journal of Medicine», mars 1975, vol. 292, p.707).

• Le Dr en Médecine Albert Braverman : «De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable».

«La Cancérologie dans les années 1990»

(Ed. Lancet (1991, vol. 337, p.901)

Enquête internationale du Dr. Ulrich Abel

Épidémiologiste allemand de la Heidelberg-MannheimTumor Clinic, le Dr. Ulrich Abel a réalisé une analyse détaillée de tous les essais cliniques jamais effectuéssur la chimiothérapie. Il a écrit à plus de 350 centresmédicaux à travers le monde, en leur demandant delui envoyer tout ce qu’ils avaient publié sur le sujet.Puis il a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie (il est peu probable qu’il y ait quelqu’un au monde qui en sache plus que lui sur le sujet). L’analyse lui a pris plusieurs années mais les résultats sont stupéfiants – il écrit :

« Le taux de réussite global de la chimiothérapie à travers le monde est consternant, et il n’y a tout simplement aucune preuve nulle part indiquant que la chimiothérapie peut prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ».

Le Dr Abel décrit la chimiothérapie comme un «terrain vague scientifique» et affirme qu’au moins 80% dela chimiothérapie administrée à travers le mondeest inutile ; or curieusement, ni le médecin ni lepatient ne souhaitent généralement renoncer àla chimiothérapie, même si rien ne prouve que çamarche !!! (Lancet, 10 août 1991).

Un constat qui en dit long…

Le site de la chaine d’informations libanaises a publié des enquêtes et questionnaires qui montrent que 3 médecins sur 4 refusent toutes chimiothérapies sur eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité et des effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme.

Le mécanisme inconnu du cancer – par le Dr Kelley

Le docteur Kelley a vécu sa propre initiation à l’âge de 37 ans ; atteint d’un cancer du pancréas en phase terminale avec une atteinte hépatique jugée incurable, et alors qu’il n’en avait plus que pour quelques semaines, il s’en sortit pourtant et vécu jusqu’à l’âge de 79 ans une existence extrêmement remplie. C’est après avoir adhéré à la cure Gerson qu’il bâtit sa propre extension dont il vérifia sur 42 ans de suivi le bien-fondé au travers de 33 000 cancéreux ayant recouvré la santé. Il est l’auteur de « Se guérir du cancer sans chirurgie, sans chimiothérapie ou radiothérapie, c’est possible ! »

Une évidence inattendue

A la conception, un spermatozoïde ayant pénétré l’ovule, celui-ci devient un œuf fécondé appelé ZYGOTE. Mais celui-ci ne peut devenir directement embryon car il doit d’abord assurer son alimentation et éviter d’être expulsé, en s’accrochant à la paroi utérine. Pour cela, il doit former ce qu’on appelle un TROPHOBLASTE qui va générer d’un côté les CELLULES SOUCHES PRIMAIRES pendant que d’un autre côté il se multiplie rapidement en produisant ce que la médecine appelle…. des METASTASES – oui comme celles du cancer ! Et ce sont ces dites métastases qui vont construire le PLACENTA qui nourrira l’embryon jusqu’à la naissance. Vous suivez ?

Trophoblastes donnent Placenta = métastases.

Métastases/Placenta… même chose !

 Mais ce placenta (métastasique) se développerait indéfiniment si une enzyme ne venait pas bloquer le processus à la 7ième semaine ; cette enzyme, c’est précisément la PANCREATINE secrétée par le pancréas de la mère. On voit déjà ici se peaufiner un rapport primordial entre le pancréas et ce qu’on appelle « le cancer ».

 Revenons à nos besogneux trophoblastes ; ceux-ci ayant été mis en congés par la pancréatine (100% du chantier effectué !) vont se mettre à migrer vers les testicules ou les ovaires du fœtus selon son sexe, en attente de pouvoir perpétuer un jour l’espèce dans une prochaine génération. Or il faut savoir qu’au cours de ce périlleux voyage au travers des cellules normales (dites somatiques) du fœtus, environ un tiers d’entre eux, soit environ 3 milliards de trophoblastes, ne parviendront jamais à destination et resteront prisonniers de divers tissus non génitaux. A savoir aussi que lorsque le bébé sera devenu adulte, ces trois milliards de cellules égarées pourront si elles sont « dérangées », se mettre à fabriquer du faux placentaire pour un bébé qui n’existe pas.

Des millions de petites bombes a retardement

Ceci signifie que chacun de nous est doté d’un capital cancer immuable pouvant être amorcé à tout moment, et que nous sommes tous des précancéreux qui s’ignorent. Est-ce grave docteur ? Pas tant que cela, car de fait, des milliers d’amorces placentaires (micro cancers) naissent tous les jours dans notre corps ; mais elles sont neutralisées au fur et à mesure par la fameuse PANCREATINE. Et il y a seulement problème si la production de pancréatine s’avère insuffisante pour y faire face ; le corps ne pourrait alors digérer au fur et à mesure la croissance de cette masse placentaire que l’on appellera « cancer ».

Qu’est-ce qui peut réveiller les trophoblastes égarés ?

1 – Un excès d’hormones femelles dans le sang (laitages – viandes de batteries – poissons d’élevage – bière…)

2 – Un trop grand apport de protéine mobilisant totalement lepancréas,

3 – Un entoxinement organique dû à une surcharge hépatique permanente,

4 – Une insuffisance de sécrétion d’hormone pancréatique,

5 – Une déprogrammation par un traumatisme physique,

6 – Une déprogrammation par un traumatisme psy.

 

Notez que le Carzodélan peut être remplacé par un autre extrait pancréatique vendu en Pharmacie (sans ordonnance : le CREON en 25000 UI – Il a l’avantage de ne pas être injectable car il est gastrorésistant pendant 45 min afin que l’estomac ne l’utilise pas pour ses propres besoins de digestion.

Conclusion

A chacun de lutter contre la coupable désinformation officielle en contribuant à faire connaître mon livre CANCERS – Guérir hors protocole. Sur le site www.micheldogna.fr