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Manger chinois craint !


Les filières sauvages de contrebande et les scandales alimentaires sont choses communes en Chine. En voici quelques exemples diffusés par la Banque Asiatique de Développement et l’université Tsinghua :

– le lait toxique mélaminé, qui a fait 300 000 victimes chez les bébés,
– le faux mouton, qui est en réalité du canard (deux fois moins cher), mariné dans un jus mêlant graisse d’agneau et nitrite de sodium, produit chimique hautement toxique,
– les filets de canard trempés dans de l’urine d’agneau pour leur donner « bon goût »,
– la  sauce soja à l’arsenic,
– du pop corn fluorescent,
– du riz au cadmium,
– des fruits de mer conservés avec de la formaline (un fongicide),
– des pastèques aspergées d’un accélérateur de croissance,
– du tilapia nourri aux excréments humains,
– du porc « Tron bleu », couvert de bactéries qui diffusent une lumière bleuâtre dans l’obscurité,
– des desserts dont la gélatine a été obtenue à partir du cuir de vieilles chaussures,
– de faux œufs frais d’acide alginique, de gélatine industrielle, de paraffine et de colorants,
– du faux riz composé d’un mélange de pommes de terre et de résine synthétique,
– du vin dilué d’eau sucrée,
– du faux miel fabriqué à partir de sirop de maïs, de malt d’orge et de mélasse,
– du porc dans lequel a été administré du clenbuterol pour obtenir de la viande soit disant maigre,
– du faux bœuf, qui est en réalité du porc passé au borax (un détergent), puis teint au rouge du Soudan,
– etc, etc…

Incroyable, mais vrai !
Mais le plus immonde est largement répandu dans le pays : de l’huile récupérée dans les égouts au pied des restaurants ! Les restaurateurs revendent leurs déjections à des filières très organisées qui les recueillent, les font bouillir, les filtrent, puis les mettent en circulation comme une huile normale. Selon la presse officielle, au moins 1/3 de l’huile utilisée dans les restaurants et au moins 10 % des huiles vendues dans le commerce en seraient issues…

En France, c’est plutôt côté pharmacie, le problème…