LE VENT EN POUPE DES B.R.I.C.S. pour la fin du grand banditisme international
7 novembre 2024
LE VENT EN POUPE DES B.R.I.C.S.
pour la fin du grand banditisme international
Rappels en bref
Le groupe, originellement économique, a eu pour objectif de départ de contester l’hégémonie des États-Unis, dont le dollar domine et plombe le commerce mondial.
Mais il a aussi été créé pour trouver des moyens de réformer les institutions financières internationales telles que le FMI et la Banque mondiale, afin de permettre aux économies émergentes de mieux se faire entendre et d’être mieux représentées.
Une nouvelle monnaie d’échanges commerciaux, basée sur une référence or, est en cours de mise en service à la place du dollar mais sans obligations et sans les contrats abusifs ou malhonnêtes actuels.
Le club des BRICS compte désormais dix grands États
Aux quatre membres fondateurs – le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine –, rejoints par l’Afrique du Sud en 2011, se sont ajoutés l’Iran, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie et l’Égypte. L’Arabie saoudite dispose quant à elle d’un statut intermédiaire.
Les BRICS regroupent actuellement une population de 3,5 milliards, soit près de la moitié de la population mondiale. Une trentaine d’États ont déjà exprimé leur intérêt pour rejoindre ou coopérer avec les BRICS.
Evènement récent
La Russie a accueilli du 22 au 24 octobre à Kazan le 16e sommet des BRICS. Cet évènement diplomatique témoigne de l’intérêt de la Russie pour l’hémisphère sud, après la rupture de ses relations avec les pays occidentaux en raison de sa guerre en Ukraine, depuis 2022, pour libérer les russophones matyrisés par le régime de Kiev.
Le regroupement BRICS envisage la création d’un nouvel Ordre Mondial, antithèse de celui en cours dont l’agenda est essentiellement le vol organisé des nations, la pauvreté et la misère généralisées, en finale la mise en esclavage des peuples, cela à travers des guerres sans fin par le biais de l’OTAN.
Que ceux qui ne considèrent pas tout cela comme des bonnes nouvelles continuent à s’abreuver du « prêt à penser mensonger » des grands médias financés et aux ordres d’un état profond (deep state) dont la trajectoire, de plus en plus chancelante, va inexorablement finir par un naufrage final – comme pour tous les grands prédateurs de l’histoire.