Les chemtrails, la peur qui descend du ciel.
31 janvier 2016
L’ on peut toujours s’étonner, vu l’importance du fleuron d’universitaires en France, qu’il ne sorte personne du rang pour s’intéresser au phénomène des « chemtrails ».
Les « chemtrails » ce sont ces trainées blanches persistantes que laissent certains avions banalisés dans notre ciel. Il suffit pourtant de taper CHEMTRAILS sur Google pour avoir de la lecture pour un week-end sur le sujet. On lit un peu partout que ces trainées ne sont pas faites de vapeur d’eau condensée, mais de dangereux cocktails bactério-chimiques. On les observe surtout au dessus des grandes villes (dont le survol est pourtant généralement interdit).
Les citadins ne regardent pas souvent le ciel, car fébrilement occupés à leurs petites affaires quotidiennes, tels des fourmis automatisées. Ils ne risquent pas d’être alertés par la télé ou les grands journaux qui n’y croient pas, ni par les porte-paroles du gouvernement affirmant que ce sont des affabulations – cela fait des années que cela dure. Et tout le monde se rendort sur ses deux oreilles….
Pourtant, il faut aller en Serbie pour voir un homme, le président du mouvement écologique serbe se lever et accuser le gouvernement de complicité pour génocide par empoisonnement collectif. Il s’appelle Nicolas Aleksis. Il veut savoir qui sont les traîtres ayant donné le feu vert à cet empoisonnement organisé. Nicolas Aleksis en appelle à l’armée pour abattre ces avions épandeurs de maladies et de mort, et demande au Procureur général serbe d’engager immédiatement des poursuites contre les responsables de cette autorisation violant la constitution qui s’engage à protéger le peuple (discours sur www.lapressegalactique.com ).
En France, aucun chercheur, aucun organisme de surveillance de notre espace aérien, aucun homme politique, aucun Nicolas Aleksis n’a voulu s’intéresser au sujet. Il n’y a que les fous qui en parlent, mais ils sont de plus en plus nombreux à penser que l’on nous traite comme de simples insectes nuisibles avec la bénédiction de ceux qu’ils ont élus. Il faut que cela cesse sans délai !