Mamans, soyez prudentes avec le lait maternisé pour votre bébé chéri !
28 octobre 2019
Avis aux Mamans qui ne peuvent pas
ou ne veulent pas allaiter leur bébé
Savez-vous que parmi les mères qui n’allaitent pas leur bébé, 32 % donnent sans le savoir à leur progéniture chaque jour quatre biberons empoisonnés ? Quel est donc le poison ? Tout simplement de l’aluminium qui est légalement autorisé ! Le taux d’allaitement qui est en France de 68% pour les six premiers mois des bébés, tombe ensuite à 18% : ce qui revient à dire, en gros, que 4 bébés sur 5 sont nourris à l’aluminium dès leur première année de vie !
Face à ce métal universellement reconnu toxique pour l’organisme, celui-ci tente de le planquer où il peut, dans les os, les reins, les muscles, les poumons, et le plus grave, dans le cerveau.
Or, quand on sait que l’on trouve de l’aluminium dans le cerveau de tous les Alzheimer à l’autopsie, on est en droit de se poser la question sur une possible volonté malfaisante de fabriquer des nouvelles générations de crétins, faciles à gouverner.
Et ne parlons pas de ce qui va suivre plus tard pour achever le travail, avec l’addiction aux tél portables, aux jeux vidéo, tout cela dans un fog WIFI omniprésent jour et nuit – il n’est qu’à constater la flambée actuelle de tumeurs au cerveau.
Par ailleurs, je me permets de rappeler que les nourrissons privés du sein de leur mère, et ne pouvant profiter de ses défenses immunitaires, se retrouvent officiellement justiciables de vaccinations multiples – avec aussi de l’aluminium – et les dangers collatéraux connus qu’ils entraînent. On se demande même pourquoi pendant ce temps on a fait disparaître des batteries de cuisine toutes les casseroles en alu, et de la pharmacie tous les médicaments contenant de l’aluminium !
Selon le Professeur britannique Christopher Exley, l’aluminium est un anti-agglomérant efficace qui permet d’éviter les grumeaux dans les poudres, dont le lait infantile… et tant pis pour les bébés !
Une étude portant sur les 15 laits infantiles les plus consommés au Royaume-Uni, qu’il avait réalisée en 2010 et éditée dans le Journal “BMC Pédiatrics”, avait montré que tous étaient contaminés à l’aluminium, même les laits bio !
Une nouvelle étude – toujours réalisée par le Pr Exley en 2013 – sur 30 marques de laits pour bébés a confirmé que 100% étaient contaminés… pour éviter les grumeaux bien sûr !
Ainsi, les enfants en Europe seraient exposés, d’après nos sources, à 1 mg d’aluminium par kg de poids corporel, chaque semaine, rien qu’avec les laits infantiles.
En outre, on sait maintenant qu’un taux élevé d’aluminium trouvé dans le cerveau est toujours en relation avec les maladies suivantes :
- Autisme.
- Colopathie fonctionnelle.
- Encéphalopathies.
- Maladie de Crohn.
- Myofascite à macrophages.
- Parkinson.
- Sclérose latérale amyotrophique (sla).
- Tissus osseux atteints.
- Troubles neurologiques divers.
- Troubles psychomoteurs.
Mais ce n’est pas tout !
L’aluminium n’est que l’arbre qui cache la forêt
1 – Et si nous parlions du lait lui-même ?…
Le lait pasteurisé label UHT est l’abréviation de “Ultra High Temperature”. Le lait est pulvérisé dans une colonne à 180° et redescend en poudre au fond – le problème est que ce lait n’est plus du lait mais un polymère organique, où les molécules sont accrochées en longues chaînes comme les wagons d’un train, et en fait ce n’est plus qu’un produit mort non biocompatible, donc non reconnu par le vivant.
Ce traitement est réglementaire soi-disant pour éviter les maladies. Mais voilà un bien piètre aliment pour nos bébés dont l’organisme montre souvent son désaccord en arborant un eczéma tenace – et que fait souvent le médecin ? Il donne un médicament (cortisone) pour rentrer l’éruption ! Au mieux, il change (inutilement) la marque du lait.
Dans les cas les plus courants, chez les bébés puis les enfants, ces polymères de lait faute d’être correctement digérés vont se stocker dans les voies ORL, générant des otites et des angines à répétition – qui seront évidemment traitées par des antibiotiques – ce qui ne supprime bien sûr pas la cause.
2 – Mais les Mamans, laissant empoisonner leur progéniture par leur ignorance, en rajoutent encore une couche en chauffant les biberons dans le four à micro-ondes,…
… c’est tellement pratique ! Là, c’est la catastrophe finale. Que ce soit par macrophotographie au microscope électronique, ou par la méthode de cristallisation à -18° C de Masaru Emoto, on constate que les molécules de lait sont explosées en bouillie, donnant un aliment décomposé. (J’ai déjà passé un article sur ces fours à micro-ondes tant à la mode, en disant “Quand vous n’aimez pas quelqu’un, offrez-lui votre four”.)
3 – Venons-en aux vaches laitières elles-mêmes
Du temps de ma jeunesse, une bonne vache laitière donnait 18 litres de lait par jour et les vaches vivaient 25 à 30 ans. Maintenant, les championnes donnent 35 à 40 litres par jour grâce à des hormones et des additifs alimentaires. Ces vaches ont dû être modifiées génétiquement pour allonger leurs pattes (race Holstein) et préserver leur pis – elles ne vivent plus que 7 à 8 ans et finissent souvent avec une cirrhose du foie – les fumiers sont devenus des lisiers pestilentiels. Leur lait peut contenir :
• Des antibiotiques.
• Des hormones de croissance.
• Des pesticides.
• Du Round Up.
• Des engrais chimiques.
Donc plus rien à voir avec le lait des vaches de nos parents et grands parents
A chaque espèce, son propre lait
Un veau va atteindre en 2 ans 4 à 500 kilos. Un bébé d’homme met, lui, 20 ans pour peser une moyenne de 65kg. Il est évident que pour initialiser ce processus, un veau doit avoir un lait beaucoup plus riche en calcium, mais comme il n’aura pas besoin d’être aussi intelligent, il a besoin de beaucoup moins de phosphore. C’est pour cela que le lait de vache ne convient pas vraiment aux humains, même avec un remaniement de sa formule minérale, car il y a aussi d’autres facteurs d’ordre hormonal.
Dans la bible le lait de vache n’est jamais mentionné, mais le lait de chèvre, oui – et l’on sait que c’est le plus proche du lait humain. Mais encore faut-il que ce lait de chèvre ne soit pas détruit par la pasteurisation réglementaire !
Et le lait de soja ?
Voilà encore une aberration qui a fait beaucoup de dégâts, en plus qu’il est difficile de le garantir non OGM. De nombreux cas de RCH (recto-colite hémorragique) sont relevés.
Mais le problème central est sa teneur importante en œstrogènes – on considère qu’une petite fille qui est nourrie au lait de soja prend, proportionnellement à son poids, l’équivalent de 5 pilules contraceptives à dosage moyen par jour. C’est ainsi que j’ai souvent vu des gamines de 8 et 9 ans avoir leurs premières règles et commencer à avoir des poils pubiens. Pendant ce temps, des garçons consommateurs de lait de soja se trouvent à 14 ans en ayant un pénis minuscule (féminisation).
Par contre je n’ai pas vu de problème particulier avec le lait d’amande, ou d’avoine ; à noter que la crème d’avoine peut avantageusement remplacer la crème fraîche dans les recettes de cuisine sans aucune altération gastronomique.
En conclusion
Rien ne peut remplacer vraiment le lait de la mère. Il fut un temps où il y avait des nourrices, mais tout a été très lourdement réglementé pour décourager les gens et les obliger à passer à la trappe standard de la facilité : l’escroquerie du lait dit “maternisé”.