Ginseng sauvage de Sibérie : un stimulant du mécanisme des surrénales ignoré
7 mars 2022
Ginseng sauvage de Sibérie
…un stimulant de ce mécanisme ignoré
Le Dr G. Ceulemans est un chirurgien belge actuellement retraité qui a acquis un recul de 45 ans en chirurgie recto colonique – Après 70 publications scientifiques il vient d’éditer chez JM Collet “CANCER pour qui, pourquoi, comment”.
Son message :
“En présence de surrénales de volume normal, le cancer ne peut pas naître”.
Cette nouvelle clef de voûte issue de sa longue expérience est promue au rang de thèse. Si le Dr Ceulemans a raison, c’est une nouvelle porte qui s’ouvre pour la prévention et le traitement.
Je ne peux que vous conseiller vivement de cliquer sur ce lien :
https://www.neosante.eu/livre-pdf/livre-ceulemansbis.pdf
afin de télécharger gratuitement cet ouvrage de 190 pages, tellement intéressant, qui se lit comme un roman bourré de témoignages où l’auteur rapporte la première leçon, aussi lapidaire que fondamentale de son maître :
“N’oubliez jamais que le cancéreux est un triste”.
Postulat rendant absolument indispensable l’écoute attentive du malade afin de débusquer le choc non digéré ayant cassé la profonde joie de vivre.
Quel lien Stress / Glandes Surrénales ?
A rappeler d’abord que les deux surrénales sont les gardiennes de la survie et des défenses aux agressions. L’expérimentation scientifique amène les réponses suivantes :
1 – A la question : Une agression psychique importante suivie d’un stress soutenu atrophie-t-elle le volume des surrénales ?
Réponse : Toutes les formes d’agressions sont transmises via l’hypophyse vers les surrénales augmentant leur activité et leur volume. Mais un état de stress soutenu bloque ce mécanisme.
2 – A la question : Les surrénales atrophiées par un stress installé récupèrent-elles leur activité et leur volume après suppression du stress ?
Réponse : Croire à une vie ultérieure au moment où débute un cancer, réduit l’impact du traumatisme psychique et fait involuer le cancer favorablement.
3 – A la question : De petites agressions répétées peuvent-elles augmenter le volume des surrénales et améliorer la résistance au cancer ?
Réponse : Les excitations inhérentes à la vie quotidienne entretiennent le volume normal des surrénales. Des excitations surajoutées, physiques, sportives, aventurières ou intellectuelles augmentent les surrénales au-delà de la normale et leur capacité de résistance au cancer.
Trois exemples d’environnements qui confirment ces liens
1 – Il n’y a pas de cancers dans les asiles – L’indifférence aux agressions psychiques et la bonne résistance aux agressions physiques entraînent les surrénales à bien se défendre.
2 – Il y a un nombre élevé de cancers dans les couvents – la vie réglée sans stress imprévus et sans besoins d’adaptations endorment les surrénales qui s’atrophient.
3 – Il y a un nombre élevé de tumeurs malignes dans les prisons – les états de stress violent et récurrents inhibent les surrénales et les atrophient.
Donc comme dans le TAO, on voit que les extrêmes se rejoignent. Pas assez ou trop de stress inhibent les surrénales et fragilisent au cancer.
La part des choses
Loin de moi l’idée que le cancer soit toujours le résultat d’un trauma psychologique, ce qui rejoindrait l’extrémisme du Dr Hamer. Il est certain que le lit du cancer est fait d’agressions d’ordre multi factoriel que nous connaissons tous (pollutions chimiques, poisons alimentaires, champs toxiques, paramètres métaboliques internes déréglés, ambiances malsaines, etc.).
Par ailleurs je voudrais rappeler une vieille expérience qui a été réalisée sur des rats – navré, je ne suis pas pour l’expérimentation animale… Deux rats, l’un cancéreux l’autre pas, sont immobilisés et sont pontés pour que leur circulation sanguine se mélange. Et que croyez-vous qu’il arriva ? Le rat cancéreux fut guéri.
Ceci veut dire que le rat en bonne santé possédait dans son sang des antidotes que le malade n’a plus pour stopper le processus cancéreux – et cela est évidemment monitoré par les défenses des surrénales du rat bien portant.
Comment connaître l’état de vos surrénales ?
Déjà une fatigabilité constante, un manque d’entrain et de moral qui perdurent sont des signes basiques. On peut alors demander un bilan sanguin. Quant à la grosseur des glandes, je pense qu’une simple radio ou une IRM peuvent en témoigner.
Selon de docteur Ceulemans, tout traitement de cancer devrait systématiquement être accompagné d’un soutien des surrénales.
Un même soutien devrait être donné en préventif en cas d’insuffisance avérée de la fonction surrénalienne.
Ma sélection naturelle de soutien des surrénales
GINSENG SAUVAGE de SIBERIE
- 2 bouchons de 20 ml matin et soir = 10 g de racines par jour.
- Ne prendre que 2 demi bouchons (10 ml) matin et soir les deux premiers jours pour habituer l’organisme à ce soudain coup de fouet.
En conclusion, j’encourage tous ceux qui sont concernés par le cancer soit en tant que patients, soit en tant que soignants, à acquérir et faire circuler ce remarquable ouvrage dont les journaux et la télé – qui sont à la botte de Big Pharma – ne feront bien sûr pas l’éloge.