Une nouvelle formule de bain dérivatif, les poches 36.6
11 janvier 2024
POCHES 36.6
nouvelle formule des bains dérivatifs
UNE HYGIÈNE SIMPLE POUR REMÉDIER À MOINDRE COÛT
AUX PROBLÈMES COURANTS DE SANTÉ
Voilà une thérapie universelle pratiquée quotidiennement devant nous par les chats et les chiens (léchage postérieur) ; utilisée traditionnellement dans des contrées reculées telles que la Nouvelle Guinée-Papouasie ; maintenant mondialement connue dans de nombreux pays et dont le coût est zéro. Rassurez-vous, il ne s’agit pas de se lécher le derrière ! La méthode nécessite seulement de l’eau froide et un gant de toilette ou une éponge. Elle a été décrite, il y a 100 ans par Louis Kuhne (La nouvelle science de guérir – épuisé).
France Guillain et « bain dérivatif » sont devenus aujourd’hui indissociables par le charisme dont elle a fait preuve depuis plus de 25 ans pour cette hygiène basique qu’elle enseigne et qui devrait être pratiquée au quotidien par chacun au même titre que se laver les dents.
Vu que les bidets, qui étaient pourtant bien pratiques, sont en voie de disparition, les bains dérivatifs classiques ont cédé la place aux poches de gel, bien plus faciles d’utilisation.
LES NOUVELLES POCHES FROIDES 36.6
Évolutions et améliorations par rapport aux poches Yokool.
- Ce n’est plus du gel mais des petites billes de neige qui absorbent moins la chaleur, donc tiennent plus longtemps le froid (40/45 min au lieu de 20 /25 min).
- Alors que les poches Yokool descendaient aux –18° des congélateurs, ceci pouvant créer des petites brûlures de peau par contacts accidentels, les 36.6° ne descendent pas en dessous de –5 degrés, même au congélateur.
- Les poches de gel étaient très fines et n’isolaient pas suffisamment du froid. Les poches 36.6 étant doublées d’un microfilm de coton, elles isolent parfaitement.
- De plus, les 36.6 se clipsent sur le slip, ceci empêchant de les perdre en marchant.
- Si l’on veut tenir plus longtemps, par exemple la nuit, il est possible de mettre 3 pochettes 36.6 ensembles, ce qui permet d’atteindre 4 à 5 heures.
- Les 36.6 sont plus fines, ce qui les rend plus discrètes et plus agréables à porter.
- Les 36.6 sont beaucoup plus hygiéniques car leur paroi interne est faite d’un plastique chirurgical. On peut les laver plus facilement.
- Enfin, il existe des enveloppes isothermes pour transporter des pochettes froides en voyage.
COMMENT ÇA MARCHE ?
Louis Kuhne a expliqué que les excédents de notre digestion créent des surcharges et que celles-ci ont tendance à aller en périphérie, vers les extrémités telles que les mains, les pieds, la tête, mais aussi sous la peau, comme si elles essayaient de sortir du corps.
Kuhne poursuit, en disant que l’action conjointe de la friction et de l’eau froide sur les régions éliminatoires du scrotum a pour effet de faire revenir ces surcharges vers l’intestin (selles, urines).
Il est vrai que de nombreux adeptes des bains dérivatifs ont vu fondre progressivement leurs verrues, leurs lipomes (kystes graisseux) et diverses aspérités de la peau.
La conclusion claire est que les surcharges se promènent dans le corps sous le simple effet de la chaleur du bas-ventre. Poussées vers la périphérie, elles occasionnent soit des bourrelets disgracieux, soit des éruptions, soit des compressions causant une maigreur par entrave de la bonne alimentation des muscles.
Il est à noter que du froid, appliqué sur une région intoxiquée, provoque une expulsion quantifiable des indésirables. On reconnaît là, en outre, les similitudes de fonctionnement avec la méthode Gardelle basée sur une thermothérapie différentielle et qui donne aussi des résultats stupéfiants dans diverses pathologies lourdes.
Mais la subtilité du mécanisme du bain dérivatif et des 36.6 réside au niveau des fascias, membranes entourant les muscles et les organes, présents dans tout le corps et même dans le crâne. On entend maintenant parler de fasciathérapie, une spécialité de kinésiologie à rapprocher aussi de la microkinésithérapie, et dont le principe est une levée des tensions inconscientes et un drainage cellulaire profond.
À noter que les fascias sont constitués du même tissu que l’intestin et lui sont directement reliés. Leur rôle est de nettoyer l’organisme. Les 36.6 ont pour effet de les stimuler puissamment, déstockant les toxines périphériques (graisses, cellulite y compris) et les canalisant en réseaux convergents vers l’intestin.
CE QUE LES POCHES 36.6 PEUVENT RÉSOUDRE
- L’acné en combinaison avec un régime détoxiquant. Pas de gâteaux secs, pas de viandes rouges, pas de sucreries ni pâtisseries industrielles.
- Les acouphènes : ce trouble est complexe, mais de nombreux cas ont cédé grâce aux bains dérivatifs, même si c’est long (quelquefois 1 an).
- L’allergie au soleil et au pollen : ceci est souvent le résultat d’une pollution ou d’une intoxication.
- L’appétit : Les poches 36.6 peuvent résoudre le manque d’appétit et la boulimie.
- L’arthrose : rougeurs, enflures, douleurs, peuvent disparaître en quelques jours, mais attention, il faut continuer les poches 36.6 sinon cela peut revenir. Le nettoyage ne fait que commencer.
- La bartholinite : c’est un œdème inflammatoire des glandes lubrifiantes du vagin. Il peut être résolu en une dizaine de jours.
- Les brûlures du soleil : si cela ne dépasse pas le premier degré, boire beaucoup et il y aura soulagement immédiat avec les poches 36.6.
- La cellulite : en plus des poches 36.6, arrêter quand même le chocolat ! La vitesse du résultat est fonction de l’ancienneté du problème.
- La chimiothérapie : pas de perte de cheveux et moins de fatigue.
- La constipation : les poches 36.6 viennent à bout des constipations les plus rebelles. Boire beaucoup d’eau plutôt que des tisanes, du café ou de la bière !
- Raideur et douleur du cou : en acupuncture, on appelle l’endroit de la C5 (5e cervicale) le « puits toxinique ». Il faudra peut-être un peu de temps mais il faut persévérer.
- Les dents et les gencives : les poches 36.6 améliorent les problèmes de saignement et déchaussement des dents.
- Les dépendances (alcool, café, tabac, drogues) : les poches 36.6 aident, pendant le sevrage, à normaliser l’appétit, le sommeil, le stress, l’angoisse (et la douleur lors de l’arrêt de l’héroïne).
- Les douleurs (névralgies, migraines, céphalées…) : Il faut avoir essayé une fois pour être convaincu.
- Les excroissances diverses (verrues, lipomes, papillomes…) : Essayez, tout est possible.
- Les extrémités froides (ou chaudes) : la perte de « l’énergie Terre » actuelle rend le syndrome jambes froides très courant. Les poches 36.6 résolvent rapidement ce problème.
- L’angine : en plus des soins courants, les poches 36.6 activent la guérison.
- L’herpès : les poches 36.6 ralentissent les crises d’herpès ou les suppriment carrément.
- L’incontinence : résultats dès le 3e jour pour les femmes, mais il faut continuer les poches (recommandé par la Leche League).
- Le sommeil : avec les poches 36.6, le sommeil est de meilleure qualité, d’où besoin de moins dormir.
- Le poids, la rétention d’eau : tout a été dit plus haut.
- Les règles : les poches espacent les règles trop rapprochées et rapprochent celles qui sont trop éloignées. De plus, surprise ! les femmes n’ont pas d’incontinence de règles, c’est-à-dire qu’elles expulsent leurs règles aux toilettes avec les urines, la serviette restant propre.
Retenir qu’avec les poches 36.6 :
- On ne perd pas de muscle et ceux-ci restent fermes, même sans faire de sport.
- Les trop maigres prennent du poids.
- Les kilos en trop partent.
- C’est le corps qui régule.
- Le sommeil est meilleur.
- La résistance aux infections est améliorée.
- L’énergie revient.
- Un remodelage du corps s’effectue.
QUELQUES CONTRE-INDICATIONS
- Épuisement total
- Opération chirurgicale récente (attendre 6 mois)
- Prothèses chirurgicales, stimulateur cardiaque