Fraude liée aux Vaccins
27 juin 2019
VACCINOGATE : Les Italiens découvrent une fraude liée aux vaccins !
L’association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10.000 euros de l’Ordre national des biologistes italiens le 26 octobre 2018 afin de tester la sécurité et l’efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants.
Le premier vaccin qu’ils ont testé de manière approfondie avec ce don est Infanrix Hexa, un vaccin “six en un” fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) qui est supposé contenir les antigènes suivants :
• taxoïdes du tétanos,
• de la diphtérie et de la coqueluche,
• souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite,
• antigène de surface de l’hépatite B.
Corvelva n’a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu’aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus. Non seulement aucun antigènes vaccinaux n’ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit :
• des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d’autres chaînes de fabrication,
• toxines chimiques,
• toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d’induire des réactions auto-immunes,
• macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines, mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines.
Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin Infanrix Hexa, de l’Association Corvelva sur leur site :
Le 24 décembre 2018, sur leur site, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d’analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK).
Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN. L’extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont :
• des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques),
• d’un médicament expérimental anti-VIH,
• d’antibiotiques,
• d’herbicides,
• d’acaricides (insecticides),
• de métabolites de la morphine,
• de la petite “pilule bleue”…,
• à vos souhaits !
Mais ce n’est pas tout…
• La présence d’ADN fœtal en grande quantité a été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes.
• Les cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c’est connu et utilisé depuis les années 60 !
Une nouvelle étude scientifique publiée dans les archives de l’Académie nationale des sciences (PNAS) révèle que les personnes vaccinées contre la grippe émettent 630% plus de particules virales dans l’air que les individus non vaccinés.
CNBC: “Des preuves scientifiques démontrent que les individus vaccinés avec des vaccins contenant des virus vivants comme le RRO (rougeole, rubéole et oreillons), rotavirus, varicelle, zona et grippe, peuvent excréter le virus pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois et donc, infecter les vaccinés ainsi que les non vaccinés.
Le site de la bibliothèque nationale de médecine des États-Unis a publié un article en mars 1991 à propos d’une flambée de cas de rougeole dans un collège du Colorado qui a fait 84 malades chez les étudiants qui étaient à 98% vaccinés contre la maladie (en 1988).
La moitié des élèves qui ont contracté le virus avaient pourtant reçu les deux doses du vaccin contre la rougeole.
Des étudiants vaccinés contre la coqueluche ont contracté la maladie dans une école de Californie, à l’intérieur de laquelle 99,5% de la population étudiante était adéquatement vaccinée.
Incroyables confidences d’un vaccinologue (Video 10 min)
Conclusion
Est-il admissible que soient rendus obligatoires des (soi-disant) vaccins dont personne ne sait rien :
- De la composition complète.
- Des validités expérimentales.
- De l’efficacité statistique réelle.
- Des multiples additifs plus toxiques les uns des autres.
- De la dangerosité, des dégâts au long cours et des accidents mortels.
- Des risques énormes sur les bébés surtout sevrés du sein, donc privés des défenses de la mère.
- De l’irresponsabilité juridique et l’immunité des labos, du ministère de la santé, des rouages administratifs, des médicaux vaccinateurs.
- Bref d’une garantie carrément inexistante que personne n’accepterait pour un quelconque achat.
Comment expliquer cette soumission générale à l’autorité en échange du droit d’accès aux garderies, aux écoles, même à certaines professions, et pourquoi pas au droit d’exister ? Aurions-nous perdu l’instinct de survie ? La peur est mauvaise conseillère ! Personne ne peut rien contre une majorité qui dit NON – l’Italie montre l’exemple – Bravo l’Italie !