Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges
11 février 2021
Mask Délire
une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
J’ai déjà dit et je confirme :
- – Que des masques antiviraux, ça n’existe pas ! – les plus petites mailles font quelques microns (millièmes de millimètres), alors que les virus font quelques nanomètres (millièmes de microns) – pourtant il faut mettre le masque !
- – Que même les masques de blocs opératoires ne sont efficaces que pour les bactéries, les levures, les micro champignons – pourtant il faut mettre le masque !
- – Que le Covid ne vit pas et ne se déplace pas dans l’air, mais par voie humide – donc que le masque n’intervient pas dans la transmission – pourtant il faut mettre le masque !
- – Qu’après seulement quelques minutes d’utilisation des masques ils deviennent à l’intérieur des cloaques microbiens que l’on reprend à chaque inspir en circuit fermé, la chaleur humide des bronches présentant un lit de surinfection idéal – pourtant il faut mettre le masque !
- – Que des femmes enceintes professionnellement obligées de porter le masque, en sous oxygénant leur bébé risquent de porter atteinte au développement de son cerveau – pourtant il faut mettre le masque !
- – Que des masques antiviraux, ça n’existe pas ! – les plus petites mailles font quelques microns (millièmes de millimètres), alors que les virus font quelques nanomètres (millièmes de microns) – pourtant il faut mettre le masque !
Mais ce n’est pas tout :
Voici en gros ce que dit radicalement la Dr Margareta Griesz-Brisson virologue, docteur en pharmacologie, spécialiste en neurotoxicologie :
La ré-inhalation partielle de l’air en continu
Cette ré-inhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène O² et une saturation en dioxyde de carbone CO². Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d’oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre.
Les symptômes d’alerte aiguë sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction – qui sont des réactions du système cognitif.
Cependant, lorsque vous souffrez d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.
Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer et s’amplifier sans cesse jusqu’au stade de la sénilité.
Un autre problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sous oxygénées sont incapables de se diviser normalement. Même si nous étions autorisés à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement quelques mois après, les cellules nerveuses perdues ne seront pas régénérées. Ce qui est perdu est perdu.
Effets catastrophiques pour les enfants et les ados
Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène. Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement très actif.
Restreindre le cerveau d’un enfant ou d’un adolescent en oxygène, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d’oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne pourront pas être réparés.
On est en train de fabriquer une génération de crétins facile à diriger.
Lorsque dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel normal, cela ne servira à rien d’avouer que “nous n’avions pas besoin des masques”.
Une étude scolaire allemande édifiante
(relayée à partir de la Minute de Ricardo)
Atteinte physique
- Céphalées 53%
- Fatigue 37%
- Gorge sèche 22%
- Mauvais sommeil 31%
- Nausées 16%
- Somnolence 37%
- Vertiges 26%
Atteinte comportementale
- Angoisses 25%
- Difficulté d’apprentissage 38%
- Difficulté de concentration 50%
- Humeur maussade 49%
- I Irritabilité 60%
- Mal dans la peau 49%
- Réticence à aller à l’école 44%
- Réticence à bouger 18%
- Sensations passagères de pré-syncope 20%
La guerre des masques
Nous avons connu toutes sortes de guerres : guerres tribales, guerres politiques, guerres de religions, guerres économiques, guerres du pétrole, guerres raciales, même guerres des sexes – maintenant voici pour nous occuper “la guerre des masques” où, comme d’habitude, il y a deux camps adverses : les PRO masques et les ANTI masques.
A savoir maintenant qui a tort et qui a raison.
Pour le savoir, essayons de faire une étude comparative de chaque profil d’individu.
Le PRO masque
- Il se sent plus en sécurité avec un masque.
- Il a même une certaine fierté civique à porter le masque.
- Il considère les anti-masques comme de dangereux irresponsables.
- Il pense même que les dissidents du masque sont des ennemis potentiels.
- Il a très peur de la maladie et du Covid en particulier.
- Il ne remet pas en question des habitudes alimentaires toxiques.
- Il ne fait pas confiance à la sagesse de son corps.
- Il fait confiance totale à la médecine officielle (elle-même aux ordres).
- Il est addicte à la télé et en fait sa référence absolue.
- Il obéit aveuglément aux injonctions officielles.
- Il rejette tout ce qui ne correspond pas aux allégations de la télé.
- Il n’a aucun sens critique face aux lois intolérables.
- Il compte sur l’assistanat protecteur du gouvernement.
- Il ne cherche pas à se renseigner sur des sites d’Internet.
- Il n’essaye pas de faire le point par lui-même.
- Il sélectionne surtout les infos qui lui font peur.
- Il ne condamne pas les incohérences du système et les excuse.
- Il écoute religieusement les menteurs corrompus par les labos.
- Il se détourne des sommités médicales de valeur et indépendantes.
- Il refuse d’admettre les résultats des remèdes interdits.
- Il pense être un acte civique de dénoncer les insoumis du masque aux autorités.
- Il pense que le gouvernement lui veut du bien.
L’ANTI masque
- Il respecte la liberté de croyance et d’option des PRO masques.
- Il n’a pas peur de la maladie et du Covid en particulier.
- Il fait confiance à l’intelligence de son corps.
- Il entretient ses défenses naturelles par une alimentation la plus saine possible.
- Il consomme de préférence des remèdes alternatifs naturels non dangereux.
- Il refuse toute proposition ou allégation illogique.
- Il opte pour des comportements cohérents même à contrecourant.
- Il peut être entièrement autonome et non assisté.
- Il ne s’occupe pas de la télé et ne tient pas compte de ce qu’on y dit.
- Il se renseigne sur de nombreux sites Internet de ré-information.
- Il confronte les données les mieux documentées.
- Il réfléchit par lui-même.
- Il ne se réfère qu’à des professionnels non sponsorisés par des labos.
- Il prête surtout attention à ceux qui n’ont pas accès aux grands médias.
- Il est attentif aux alerteurs persécutés.
- Il suit ses instincts de conservation.
- Il affirme être le protecteur attitré de ses enfants.
- Il refuse de livrer ses enfants à des règlementations irresponsables.
- Il est farouchement contre toute obligation sanitaire suspecte.
- Il n’a pas peur de s’afficher insoumis face à la privation arbitraire des libertés.
- Il interprète le port du masque comme un signe de soumission d’esclaves.
- Il pense que les autorités ne lui veulent pas du bien.
Sachant que l’évolution a toujours été accélérée par la confrontation de deux pôles adverses en présence, présageons que cette guerre des masques soit fructueuse pour construire notre avenir, à condition qu’un minimum de tolérance soit de mise.
Citation
Si vous pensez comme tout le monde, posez-vous des questions
Mark Twain