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Indispensable pour notre santé carencée 
et antidote de l’aluminium – Silice de prêle et d’ortie


SILICE DE PRÊLE ET D’ORTIE
si indispensables pour notre santé carencée
et antidote de l’aluminium

TOUTE LA CHAINE ALIMENTAIRE EST CARENCEE EN SILICE

L’explication est simple : toute la grande culture est soumise aux engrais chimiques qui brûlent les vers de terre ainsi que tous les micro-organismes aérobies et anaérobies du sol. Or savez-vous que la silice ne peut être absorbée par les radicelles des plantes qu’avec l’assistance intermédiaire de ces milliards de micro-organismes qui prédigèrent les minéraux, et en dégorgent un miellat bio disponible, un peu à la manière des abeilles avec le miel ? L’on comprend alors pourquoi les blés qui faisaient 1,50 m de haut il y a 50 ans, ont été génétiquement raccourcis à 50 cm maximum, afin de pouvoir tenir debout en cas d’intempéries. Or, nous qui sommes au bout de la chaîne alimentaire, et qui consommons ces légumes et ces céréales carencés en silicium (ainsi qu’en magnésium), nous ne pouvons qu’être pareillement carencés. Sauf… si l’on consomme du bio (sans engrais chimique) !

PROCESSUS DE RESTAURATION DES VAISSEAUX… ET DES ARTICULATIONS

Les parois des vaisseaux sanguins sont constituées principalement de collagène donnant la résistance, et d’élastine donnant la souplesse. Le silicium est indispensable à la synthèse de ces deux constituants. Or, la perte d’élastine induit une rigidité des artères, ce qui favorise les dépôts de plaques d’athéromes. De son côté, le collagène maintient sa cohésion grâce aux propriétés électriques de la silice.

Même en présence d’un taux élevé de cholestérol sanguin, les plaques d’athérome ne se forment que si les parois sont rigides.

Il apparait donc clairement que c’est la carence de silice, qui induit le durcissement et la fragilité des vaisseaux sanguins.

D’IMPORTANTS TRAVAUX DE RECHERCHE

E. Carlisle a produit un abondant travail sur les effets multiples du silicium, publié entre autres dans la prestigieuse revue Science. L’auteur rappelle le fait que le silicium est essentiel pour le fonctionnement du cerveau et que celui-ci est l’un de ses principaux composants. Cela avait déjà été affirmé par Rudolf Steiner et le professeur Rocard. Le cerveau étant un ordinateur, il est normal que la silice soit l’élément de base pour son fonctionnement, comme pour tous les ordinateurs !


DE CURIEUSES MUTATIONS AU NIVEAU ATOMIQUE

(pourtant difficilement admis par la science officielle)

Il y a une possibilité aussi étonnante peu connue de la silice, qu’elle soit d’ortie ou de prêle, c’est de recharger les organismes en calcium par « transmutation à basse énergie ». Les expériences de Kervran (Bretagne) ont prouvé que des poules ne pouvant picorer que du sol granitique (silice) donnaient sans limite des œufs… avec une belle coquille en calcaire, alors qu’il faut de puissants cyclotrons pour réaliser la même chose techniquement.

Conclusion :

1 – Le calcium seul ne sert à rien.
2 – Sans apport de calcium, les organismes savent en faire la synthèse.

UNE ENORME DECOUVERTE

Carlisle a pu mettre en évidence que la supplémentation en silicium permet une régression des effets de l’aluminium sur le cerveau. Aussi il déclare :
« …La découverte dont curieusement on ne parle jamais, c’est que la silice présente une attirance électrique pour l’aluminium, ce qui lui confère la propriété de le piéger où qu’il se trouve, même dans le cerveau, et de l’évacuer vers les voies rénales. »

De son côté, Birchall a montré que :
1 – Le silicium s’agrège à l’aluminium créant des précipités d’aluminosilicates peu solubles et donc moins toxiques que l’aluminium.
2 – Les eaux acides riches en silicium éliminaient chez le poisson les effets toxiques de l’aluminium.

Bellia et Birchall concluent :
Le silicium est un véritable chélateur de l’aluminium. Il agit comme un puissant neutralisant, il freine son absorption intestinale, annule ses effets toxiques et augmente son élimination rénale.

Ceci n’est–il pas la réponse possible à la maladie d’Alzheimer ?

De 300 000 cas en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui. Et curieusement, de plus en plus de jeunes sont maintenant touchés…

L’aluminium des vaccins, c’est l’arbre qui cache la forêt, car il se dissimule partout, dans des endroits que l’on ne soupçonne pas, discrètement, et souvent sans être mentionné. Il s’est glissé (légalement) dans de nombreux produits courants des supermarchés : brioches, fromages, lait en poudre, saucisses, et même cosmétiques.

POURQUOI CERTAINS SONT TOUCHES ET PAS D’AUTRES ?

Or, si l’on admet que l’aluminium est un facteur déterminant de la maladie d’Alzheimer, il est une question dérangeante qui se pose : comment se fait-il que la génération de nos parents qui a largement cuisiné et mangé toute leur vie dans de l’aluminium (bidons, casseroles, cocottes-minutes, etc.), n’en ait pas spécialement subi de conséquences ?
J’ai moi-même mangé quotidiennement durant des années de pensionnat, puis durant mon service militaire, puis dans les cantines d’entreprise, du cuisiné dans de l’alu, et même à la maison dans ces fameuses cocottes minutes en aluminium, longtemps restées à la mode avant de passer à la version plus coûteuse en inox… et alors ? Alors RIEN, aucun cas d’Alzheimer, dans ma famille proche, même après des décennies de recul.

La seule réponse plausible : nous avons vécu à une époque où les aliments n’étaient pas encore gravement carencés en silice… ce qui nous a permis d’éliminer naturellement l’aluminium au fur et à mesure.

PRÊLE DES CHAMPS ET SOUPES D’ORTIES

La prêle des champs est la seule variété bénéfique. Elle contient néanmoins du quercétol toxique, mais seulement en usage prolongé. C’est pourquoi les extraits produits par extraction à chaud (décoction) ou en milieu alcoolisé, ou encore les totum de la plante (poudres, gélules), bien qu’efficaces ne doivent être utilisés que par périodes de 3 semaines.

L’ortie piquante, elle, a été recommandée depuis l’antiquité sous forme de soupes. Maria Trében les conseillait contre l’anémie, la carence en fer, l’épuisement, les troubles du foie et de la rate, etc., la liste est longue ; mais le problème de la durée limitée du traitement reste le même en raison de l’acide formique présent.

SILICE D’ORTIE OU SILICE DE PRÊLE ?

INDICATIONS PREFERENTIELLES DE LA PRÊLE :

        • Acné
        • Albuminurie
        • Aluminium cérébral : piège et évacue
        • Artériosclérose (durcissement des artères)
        • Bronchite
        • Athéromes artériels (plaques)
        • Calculs rénaux
        • Céphalées
        • Cicatrisation
        • Collagène : déficit
        • Crampes d’estomac
        • Dartres
        • Diarrhées
        • Eczéma 
        • Elastine : déficit
        • Epuisement
        • Estomac : crampes ulcère
        • Foie et rate : troubles
        • Gastrite
        • Glaires gastriques ou pulmonaires
        • Goutte
        • Hémoptysie
        • Hémorragies
        • Hémorroïdes
        • Incontinence  
        • Inflammations urinaires
        • Mycose des ongles
        • Œdème généralisé
        • Ostéoporose
        • Peau vieillie, ridées, ou flasque
        • Pipi au lit
        • Prurit intense
        • Pulmonaire : maladies
        • Rétention d’eau (diurétique)
        • Rétention d’urine
        • Rhumatismes
        • Saignement du nez (poudre narine)
        • Sang vicié : dépuratif
        • Ulcères gastriques et intestinaux
        • Vergetures
        • Ulcère gastrique
        • Ulcère variqueux (compresse de décoction)
        • INDICATIONS PREFERENTIELLES DE L’ORTIE :
        • Anémie
        • Anémie des jeunes filles
        • Articulations dégradées
        • Arthrite
        • Crampes d’estomac
        • Diabète
        • Diarrhée
        • Digestion
        • Draineur général
        • Estomac : lourdeurs
        • Fortifiant
        • Gastro-entérite
        • Hémorragies
        • Œdèmes
        • Rétention d’eau (diurétique)
        • Rhumatismes Sang vicié
        • Urticaire

 

POSOLOGIE (idem pour les deux)

20 ml par jour (un bouchon doseur le matin), soit un flacon pour une cure de 1 mois.

Problème de santé : cure conseillée idéalement 3 à 6 flacons.

Prévention : de 1 à 3 flacons.