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On sait soigner le paludisme depuis 2000 ans – grâce à l’Artemisia Annua


Le scandale du paludisme (malaria) !

On sait le soigner depuis 2000 ans
mais l’information est bloquée !!!

Voyez ce reportage de 11min 34

 

L’Artemisia Annua est une plante aromatique qui a été utilisée par la médecine chinoise en tant que puissant remède du paludisme depuis 2000 ans, maladie qui, en dépit des statistiques officielles, reste la plus ravageuse de la planète.

Les bio-ingénieurs Henry Lai et Narendra Singh, de l’Université de Washington, ont été les premiers scientifiques à expliquer que le parasite du paludisme ne peut pas survivre en présence d’artémisine, en raison de sa richesse en fer.

Les découvertes d’une pharmacienne chinoise

C’est à la suite des ravages du paludisme dans les rangs de l’armée nord-vietnamienne que Mao Tsé Toung a mis en route en 1967, en pleine révolution culturelle, le projet “523” (ainsi nommé parce qu’il a été lancé le 23 Mai 1967). C’était un programme secret de recherche sur le traitement du paludisme, basé sur l’étude des traitements de la médecine traditionnelle chinoise.

L’Académie de Médecine Traditionnelle Chinoise a confié cette recherche à l’un de ses membres, Youyou TU, jeune pharmacienne âgée de 36 ans, dont le nom est resté totalement ignoré jusque dans les années récentes.
Ce n’est qu’en 2005 que le nom de Youyou TU a été associé à la découverte de l’artémisine, et qu’elle est devenue célèbre.

En 2011, Youyou TU a reçu le prestigieux prix Lasker DeBakey Clinical Research. Elle a rassemblé plusieurs milliers de recettes à base d’herbe ; elle a évalué 380 extraits de différentes plantes, parmi lesquelles l’Artemisia annua qui était connue depuis si longtemps pour son efficacité pour traiter la fièvre récurrente.

En 1981, le 4ème congrès du Groupe de Travail Scientifique sur la Chimiothérapie du Paludisme, sponsorisé par le PNUD, la Banque Mondiale et l’OMS, se tint à Pékin. L’artémisine devint connue dans le monde entier, et elle souleva l’intérêt des grandes firmes pharmaceutiques, qui produisirent les dérivés semi-synthétiques que l’on connaît (artésunate hydrosoluble, arthémeter liposoluble…), aboutissant en 1986 à la mise sur le marché des premiers médicaments à base d’artémisine.

En 2011, l’OMS recommanda l’utilisation de l’ARTESUNATE en monothérapie par voie intra veineuse, au lieu de sels de quinine dans le traitement du paludisme grave de l’enfant.

Nota :
Comme d’habitude, Big Pharma qui fait feu de tout bois, cherche à breveter des copies de synthèse (variétés allotropiques) de ce qui existe dans la nature, mais d’une façon médiocre, vu que d’abord dans la nature il existe des synergies parfaites de mélanges complexes élaborées au travers de millions d’années d’adaptations, et d’autre part parce qu’il est bien connu que les molécules organiques isolées sont toujours moins efficaces et même souvent toxiques. Voilà pourquoi on vous parle toujours d’ARTEMISINE pour nous faire oublier la plante de base – et en intraveineuse s’il vous plait…. Çà fait sérieux et c’est inaccessible aux particuliers.

Si Youyou Tu a décroché un prix Nobel, c’est parce qu’elle a œuvré dans le sens des labos en occultant la plante (non brevetable et cultivable à très bon marché) au profit de la molécule majoritaire isolée qui elle est brevetable en synthèse et vendue très chère.

Découverte de deux nouvelles applications

Bilharziose

La recherche étant incessante, il a été mis en évidence l’action efficace de l’Artemisia annua sur la bilharziose, maladie orpheline due à un ver que l’on attrape en se baignant dans les marais africains. Le diagnostic et les traitements classiques sont problématiques. L’Artemisia annua, paraît être une solution simple et efficace.

Maladie de Lyme

Mais ce qui nous intéresse le plus est la dramatique maladie de Lyme transmise par des tiques infestées au Borrélia. dont on dénombre 25 sortes actuelles. À noter que tous aboutissent à long terme à des pathologies cardiaques plus ou moins gravissimes.

Par ailleurs, est arrivée une nouvelle calamité : l’encéphalite à tiques (M.E.T.) qui s’est brusquement développée depuis 2003, particulièrement autour du lac d’Annecy. Un vaccin serait déjà disponible pour le M.E.T. alors qu’il est reconnu que les mutations constantes du Borrelia le rendent pratiquement impossible à piéger !

La maladie de Lyme est d’autant plus complexe à identifier qu’elle peut donner lieu à plus de 300 symptômes plus ou moins aléatoires d’ordre physique ou psychiques, et allant en s’aggravant avec le temps, jusqu’à devenir dramatiques, tels que douleurs arthritiques paralysantes, myocardites avec troubles rythmiques graves, dépression et confusion mentale,  etc., ceci se manifestant par poussées chroniques.

La seule (fausse) solution offerte par la médecine officielle est l’antibiothérapie ou la corticothérapie, quand elle ne classe pas carrément ce syndrome dans les maladies psychiques, vu les symptômes épisodiques !
Ils ne font que faire retrancher le parasite dans des organes de plus en plus profonds et de plus en plus vitaux sans jamais l’éliminer. Les seules guérisons que j’ai obtenues ont été avec le MMS de Jim Humble au chlorite de sodium. Mais comme par hasard, il a été interdit…
Ce traitement est un peu compliqué et délicat à effectuer. Il peut donc être intéressant d’essayer d’abord Artemisia Annua.

Les meilleures formes galéniques

– L’artémisine naturelle est surtout présente dans les feuilles, mais les flavonoïdes type quercétine sont surtout présentes dans les tiges de l’Artemisia annua ; il est donc important que soient prélevées non seulement les feuilles mais aussi les tigelles de la plante pour fabriquer la poudre ou faire la tisane. Mais l’on a pu constater que la formule poudre est nettement plus efficace que la tisane ; c’est pour cela que je ne m’étendrai pas sur la formule infusion.

ATTENTION, je répète : Il est possible de trouver facilement de l’armoise en gélules de 250 mg, mais c’est toujours de la vulgaris et non de l’annua. Ne vous laissez pas vendre de l’armoise vulgaire pour de l’annuelle, elle ne marchera pas pour des pathologies lourdes ! 

La teinture mère : nouvelle forme 5 fois plus concentrée que la poudre.
Elle est obtenue par percolation hydro-éthanolique, avec un ratio de 1 partie d’Artemisia Annua sur 3 parties du liquide composé de 55% d’eau et 45% d’éthanol de betterave à sucre.

L’artemisia annua proposée dans cet article est diffusée depuis un pays neutre, et provient d’un endroit très protégé de la pollution de l’Ouzbékistan où cette plante est particulièrement abondante et de grande qualité. La cueillette des feuilles et tigelles est faite uniquement à la main et le séchage effectué dans les règles de l’art avant pulvérisation.

A savoir qu’il existe autour de 50 variétés d’armoise, dont certaines sont dangereuses.

Indications avérées

Son indication phare est bien sûr le paludisme, mais on a découvert depuis une efficacité exceptionnelle concernant :

  • Bilharziose  (ver des marais africains)
  • Cancers : surtout poumon (associée à du fer)
  • Fièvres
  • Gale
  • Hépatites
  • Jaunisse
  • Maladie de Lyme
  • Maladies parasitaires
  • Paludisme (Malaria) depuis toujours en Orient
  • Psoriasis
  • Saignement chronique du nez
  • Teigne
  • Vascularites (inflammation des vaisseaux)
  • Vers

(D’autres applications restent probablement à découvrir…)

Posologie

Poudre : 3 capsules par jour à 1 heure minimum de tout autre médicament.

Teinture mère : 10 à 15 gouttes – 2 fois par jour en dehors des repas et de tout autre médicament.

Attention : Ne pas prendre d’antioxydants en même temps (ex : Vitamine C)

Et il ne faut pas oublier l’indispensable fer qui doit être facilement assimilable et que vous pouvez trouver dans le MORINGA à raison de 3 cuil. à café par jour à saupoudrer sur les crudités et les aliments après cuisson.

Vous pouvez vous procurer l’Artemisia annua ici (et Moringa) :

 

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