Aller à…

L’Endométriose…


…une migration sauvage de cellules
utérales dans le corps

Il m’arrive de plus en plus souvent de recevoir des demandes d’aide concernant ce problème vu que les différentes propositions de la médecine ne satisfont pas forcément les patientes atteintes d’endométriose. J’ai appris qu’il y a actuellement une recrudescence importante de cette affection chez des femmes de plus en plus jeunes. A n’en point douter, cela doit résulter des retombées des multiples pollutions qui s’aggravent et se diversifient de jour en jour, en particulier au niveau de l’alimentation.

Définitions préalables

L’endométriose n’est pas une maladie mortelle. Ce processus ressemble à un cancer, mais l’endométriose n’est pas une affection cancéreuse. Parmi les femmes de 25 à 44 ans qui sont régulièrement menstruées, environ 10 % à 15 % souffrent d’endométriose.
Environ le quart des femmes stériles en sont atteintes. A noter que la ménopause, caractérisée par l’absence de règles, stoppe l’évolution de l’endométriose.

L’endomètre est le tissu qui tapisse la paroi interne de l’utérus. C’est ce tissu qui est expulsé chaque mois au cours des menstruations. Chaque mois, il s’épaissit rapidement en prévision d’une grossesse, et si la grossesse ne survient pas, le tissu excédentaire de l’endomètre est alors évacué pendant les menstruations.

En cas d’endométriose, certaines de ces cellules endométriales se propagent à l’extérieur de l’utérus, ou vers d’autres parties de l’abdomen. Elles adhèrent alors à d’autres tissus (rectum, colon, vessie, estomac, ovaires, péritoine, et même poumons, cerveau) et commencent parfois à se multiplier sous forme de filaments de type cicatriciel. Quelquefois, ces cellules endométriales forment un kyste qui peut éclater et saigner.

Or, ces cellules migrantes réagissent aux hormones féminines de la même manière que celles de l’endomètre. Donc, chaque mois, le tissu exporté épaissit, se décompose et est expulsé. À la différence des cellules qui tapissent la paroi de l’utérus, le problème est que le sang et les tissus qui se répandent dans l’abdomen ne trouvent pas d’issue pour quitter l’organisme…

Indicateur d’une endométriose possible

        • Accroissement de la quantité de règles,
        • Brûlure urinaire, sang dans les urines,
        • Cycles avec des règles longues, plus de 8 jours,
        • Défécations douloureuses durant les règles,
        • Douleurs pelviennes,
        • Fatigue et essoufflement facile,
        • Infertilité : la maladie est souvent révélée à l’occasion d’un bilan de fertilité,
        • Lombalgie, sciatique ou cruralgie (irradiant dans la jambe),
        • Menstruations douloureuses, la douleur survenant généralement au deuxième jour des règles, puis allant en s’aggravant progressivement,
        • Saignements prémenstruels (métrorragie, rectorragie),
        • Sensation désagréable et profonde dans le bassin.

 

D’autres symptômes peuvent survenir pendant la phase située autour de l’ovulation (parfois sans aucun rapport avec le cycle menstruel) :

        • Douleurs déclenchées par un changement de position (s’asseoir).
        • Douleurs pendant les rapports sexuels, avec irradiation vers l’arrière du bassin.
        • Douleurs dans le cerveau ou les poumons, (dues à la migration de fragments de muqueuse utérine).

 

L’apparition des douleurs, leur répétition et leur caractère progressif peuvent mettre sur la voie du diagnostic d’endométriose.

Les propositions de la médecine officielle

En clair la médecine officielle ne sait pas guérir ce syndrome. Aussi elle ne propose que deux moyens :

        1. ¤   Traitement hormonal qui déclenche une ménopause artificielle – puisque l’on a vu que l’endométriose est stoppée après l’installation de la ménopause – Problème : le résultat ne vaut que pendant l’hormonothérapie, et cesse dès l’arrêt du traitement.
        2. ¤   La solution la plus utilisée est la chirurgie qui est offerte sous deux formes : 
          – Eradication sélective du ou des foyers migrants gênants,
          – Suppression totale de tout l’endomètre ce qui entraîne évidemment une stérilisation définitive de la patiente. Mais l’efficacité est dans ce cas de 100%.

 

Remèdes naturels de l’endométriose

* GATTILIER gemmo 1D

        • 20 gtts + eau avant 3 repas

Traitement immédiat des effets collatéraux

Douleur au ventre

* SERVIETTE HUMIDE TRES CHAUDE SUR LE VENTRE

        • sur le bas ventre -durée 20 min – Rien n’est plus  simple – avec soulagement immédiat – et en plus c’est presque gratuit !
        • soit on réchauffe la serviette toutes les 5 minutes, soit on met une bouillotte par-dessus.

 

ou

* COLOCYNTHIS 9 CH

        • 25 gouttes à la demande.  Flacon 60 ml

 

ou

¤ CBD concentration 50 mg

        • Standard : 2 caps molles avant 2 repas principaux
        • Grandes douleurs : passer à 6 capsules par jour,

 

Pertes importantes de sang

* CHINA 9 CH

        • 20 gouttes avant les repas.   Flacon 60 ml

Par ailleurs l’insuffisance en hémoglobine et en fer circulant crée une carence en oxygénation, d’où essoufflement au moindre effort. En attendant la cautérisation des sites atteints, il est bon de prendre du Fer de qualité.