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La silice de prêle, antidote de l’aluminium cérébral et de l’Alzheimer


Le livre de Virginie Belle « Quand l’aluminium nous empoisonne» qui fait le point sur la dangerosité de l’aluminium, a eu pour mérite de faire réagir les autorités sanitaires lesquelles ont commandé des études, mais les rapports furent timides tout comme pour les métaux lourds, les laitages, le cholestérol etc.
L’aluminium est surtout un neurotoxique. Il se substitue au fer, au cuivre et au zinc empêchant les enzymes de fonctionner et perturbant les réactions chimiques. Il est à l’origine de 3 syndromes principaux reconnus :

  • La maladie d’Alzheimer.
  • L’ostéoporose.
  • La fibromyalgie.

 

Le problème est qu’il est difficile d’échapper à l’aluminium, qui se trouve un peu partout :

  • Dans les ustensiles de cuisine.
  • Au robinet pour éclaircir l’eau de certaines villes.
  • Dans de nombreux aliments comme agent de texture et comme colorant : gâteaux, fromages, matières grasses tartinables, certains vins et boissons et jusque dans le lait en poudre des nourrissons, additifs alimentaires tels que E173, 520, 521, 523, 541, 554, 555, 556, 559 et E55.
  • Dans des médicaments : pansements gastriques, épaississants, médicaments antireflux, etc.
  • Dans les vaccins comme adjuvant dans plus de la moitié d’entre eux.

Des actions peu connues du silicium.

  • Il diminue l’absorption intestinale de l’aluminium.
  • Il augmente son excrétion rénale et donc son élimination.
  • Il extrait des protéines TAU des plaques beta amyloïdes du cerveau, qui peuvent alors refonctionner (travaux de Fasman).
  • Il protège le cerveau : Edith Carlisle a démontré que l’administration d’aluminium provoque la maladie d’Alzheimer uniquement chez les sujets âgés ayant perdu leur silicium.
  • Il protège formellement les os, les articulations, le système artériel et de tout l’appareil cardiovasculaire.

Engrais chimiques et Alzheimer.

Le nombre de malades d’Alzheimer augmente de façon vertigineuse, surtout dans les pays développés. De 300.000 en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui. Et curieusement, de plus en plus de jeunes sont maintenant touchés. Or, selon les données officielles, l’aluminium aurait un rapport direct avec l’Alzheimer mais aussi avec l’ostéoporose et la fibromyalgie. Ma question : la présence d’aluminium dans le cerveau est-elle la cause ou la conséquence de l’Alzheimer ? La médecine a opté pour la cause, mais moi je suis resté dubitatif pour une simple raison, la génération de mes parents a mangé toute sa vie dans de l’aluminium (cocottes minute, etc.), j’ai mangé quotidiennement durant des années en pensionnat puis à l’armée, du cuisiné dans de l’aluminium, et rien ne s’est passé.  Alors ?
Puis un jour, un éclairage m’est parvenu d’études convergentes sur le métabolisme de l’aluminium. L’on savait déjà qu’il se substitue au fer, au cuivre et au zinc empêchant les enzymes de  fonctionner et perturbant les réactions chimiques. Mais deux découvertes s’y sont ajoutées :

  • L’aluminium a la propriété de passer facilement la barrière encéphalique et de s’accumuler dans le cerveau.
  • La silice présentant une attirance électrique avec l’aluminium, a la propriété  de le piéger où qu’il se trouve et de le conduire vers les voies rénales.

 

Je me suis alors dit que logiquement, ceux qui n’éliminent pas l’aluminium sont ceux qui sont les plus carencés en silice. Or sachez que la silice ne peut être absorbée dans le sol par les radicelles des plantes qu’avec l’assistance de milliards de micro-organismes qui pré digèrent le minéral en un miellat bio disponible. Et que se passe t-il lorsque cette micro population est exterminée par les engrais chimiques Voilà pourquoi par exemple les  blés qui faisaient 1,50 m de haut dans ma jeunesse ont été raccourcis à 50 cm pour pouvoir tenir debout. Et nous qui sommes au bout de la chaîne, nous sommes pareillement carencés….. sauf…. si l’on mange bio…

Alors, en préventif, rechargez-vous en silice, et en curatif, essayez de vous rappeler de ce que vous venez de lire.

Compensations en silice

Le corps a besoin de 5 à 6mg de silicium par jour pour fonctionner correctement. Si l’alimentation ne les apporte pas, ce qui est maintenant souvent le cas, le corps les puise dans les organes les plus riches, l’aorte, la peau, les tendons et articulations, le cerveau et les reins qui du coup se dégradent progressivement.
La prêle est la plante la plus riche en silicium. Mais pour être efficace, sa silice doit être extraite avec des règles rigoureuses de pression à froid, afin de ne pas contenir certains antioxydants et HE toxiques comme le quercétol ; elle ne doit pas être mélangée à d’autres plantes sauf rares exceptions et elle ne doit surtout pas être mélangée à d’autres formes de silicium comme silicates ou sels de silicium.
Dans ces conditions, LA SILICE DE PRELE est probablement la meilleure source de silicium assimilable qui existe au long cours. 

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