Danger !!! Prenez vous des statines ?
26 décembre 2012
Un témoignage accablant
Le 1er avril 2010, ma femme est victime d’un infarctus par spasme d’une coronaire. Elle s’en sort brillamment. On lui prescrit alors des statines A VIE, un anticholestérol pour maintenir le LDL à moins de 1 gramme.
Progressivement, sa santé va se dégrader. Elle commence à maigrir, a des insomnies, une bradycardie, une tachycardie, le cœur montait à plus de 100… La tension oscillait de 9 à 22 ! Hypotension à 9, puis hypertension à 22 ! On lui prescrit alors toute une panoplie de régulateurs cardiaques et de tension artérielle qui l’assomment un peu plus (et qu’il faudra nettoyer plus tard par un protocole homéopathique). Crampes terribles, douleurs, sautes de tension, elle perd de plus en plus ses muscles, ne se tient plus debout…
Je la sentais mourir à petit feu et ne pouvais rien faire. Ostéopathe de formation, je passe des nuits entières à remonter son énergie. La journée, elle ne se lève plus, les douleurs osseuses sont intenables. “Je sentais ma chair se décoller de mes os”, dit-elle. “Je n’avais plus la force de faire l’effort de comprendre” (Ce qui me fait penser à une des caractéristiques essentielles de l’autisme). Effectivement, sa peau vieillit d’un coup. Elle tombe comme celle d’une mémé de 90 ans. Elle qui était si coquette de son corps…
Les semaines passent… Un jour, par hasard, un ami médecin, le Dr L., stomatologue, que je ne remercierai jamais assez, nous dit d’arrêter IMMEDIATEMENT les statines car elles sont la cause de tous ces problèmes. OK ! Les statines sont stoppées. Le Dr L. prescrit un régime simple et des vitamines. Nous consultons d’autres médecins dissidents. Toujours le même avis. Stopper les statines (cela ressemble à sonner les matines…). On essaie un produit naturel du laboratoire Q. Miracle ! En dix jours, le HDL passe de 1,3 g à 0,98 g.
Le moral remonte. Le cardio “officiel” est satisfait de l’analyse sans qu’on lui dise l’origine de l’amélioration. Il pense que ce sont les statines, et c’est aussi bien ainsi. On se garde bien de tout dire, ne voulant pas le blesser ni subir des questionnements et pour avoir la paix.(On est gentil tout de même !)
Le Dr B. nous dit que cela prendra des mois avant que l’organisme soit complètement nettoyé des effets secondaires des statines… Effectivement, huit mois après, ma femme commence seulement à reprendre progressivement du poids, sa peau se retend, ses nuits se sont apaisées. Le cœur s’est régulé, les crampes ont disparu, elle fait de longues nuits, son cerveau va mieux, elle reprend goût à la lecture, à la vie… Elle peut recommencer à faire des efforts physiques et à envisager une éventuelle réadaptation à l’hôpital sans risques. Elle passe de l’état de zombie à un état normal. “C’est parce que le cœur est un muscle qu’il est atteint par les statines”, nous rappelait le Dr L. C’est vrai : son corps ne la portait plus, elle s’essoufflait pour un rien (il y a contestation sur la différence des fibres musculaires). Aujourd’hui tout va mieux. Nous avons eu chaud. Très chaud… Mon épouse mourait non pas des suites de la crise cardiaque mais des effets des statines…
Légitime révolte !
Depuis, je me suis donc plus que renseigné sur les statines. Pour certains chercheurs, c’est un véritable poison pour l’organisme. Les muscles, le foie, le cerveau sont atteints… On parle même de « rhabdomyolyse » (destruction de cellules musculaires). Génial ! Nous tombons par hasard au salon Marjolaine sur le livre de Michel de Lorgeril sur le cholestérol. Il confirme – en pire – tout ce que l’on nous a dit. Pour d’autres chercheurs, c’est l’origine de la démence sénile. Et je pense à ma mère mise sous statines pendant des années qui perdait son cerveau et ses muscles…
C’est un nouveau scandale de santé publique en sommeil.
Pour le Dr L., le scandale n’est pas en sommeil mais dans le coma ! “Le lièvre avait été levé, il y a quelques années, avec un produit de Bayer qui a été retiré du commerce, car sa toxicité était vraiment trop évidente. Mais, cela aurait dû alerter”, dit-il, J’ai appris par un ami phamacien-biologiste que les médecins français obéissent aux normes américaines : l’étude de Framingham, dictées par les labos américains. Ils ne tiennent pas compte du paradoxe français ni de l’origine réelle du problème artériel. Ils font baisser de force ce LDL alors qu’il faudrait réparer l’artère déficiente.
Curieusement, tous les médecins “officiels” consultés, de la Bretagne à Paris, en passant par Vichy, avaient tous le même discours formaté, la même prescription du même médicament avec les mêmes chiffres dans lesquels ma femme devait absolument rentrer, à savoir moins de 1 gramme de LDL. Aucun ne nous a parlé de réparer l’artère. Alors que c’est cela l’origine. Et surtout l’inflammation causée par le sucre !
Emmanuel Guizzo