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Autisme et Mercure


Je vous soumets ici un tableau comparatif édifiant :

Symptômes de l’autisme chez les enfants :

Perte de la parole
Retrait social
Contact visuel réduit
Comportement répétitif
Battement des mains
Marche sur la pointe des pieds
Crises de colère
Troubles du sommeil
Convulsions

Symptômes de l’empoisonnement au mercure chez les enfants :

Perte de la parole
Retrait social
Contact visuel réduit
Comportement répétitif
Battement des mains
Marche sur la pointe des pieds
Crises de colère
Troubles du sommeil
Convulsions

Ne trouvez-vous pas cela bizarre ? Soit il s’agit d’une énorme coïncidence, soit c’est l’un des crimes les plus odieux contre l’humanité commis à l’échelle mondiale. Est-ce aussi une coïncidence si la montée exponentielle  de l’autisme correspond à l’augmentation vaccinations dont on inonde les enfants ? Le CDC américain a dit, il y a une dizaine d’années que le thiomersal (mercure) avait été retiré des vaccins. Or ceci est un mensonge éhonté car au moins trois des vaccins que reçoivent les enfants en contiennent

Reprenons l’historique : Dans les années 1950, début des années 1960, les taux d’autisme étaient pratiquement inexistants. Il s’agissait alors d’un peu plus d’un cas sur 20.000. La plupart des médecins n’avaient jamais vu un seul cas au cours de leur pratique. Certains n’avaient même jamais entendu le terme “autisme”. A peine trois générations plus tard on enregistre des cas d’autisme chez 1 enfant sur 28. Ceci  signifie que les cas d’autisme ont été en gros multipliés par 700  !!! Lorsque j’ai soulevé ce problème pour la première fois dans mon journal en 2007, je notais “L’autisme touche aujourd’hui un enfant sur 150” – En 7 ans seulement, on est passé de 1 sur 150 à 1 sur 68 aux US !!! (En France on ne sait rien). Quand cessera-t-on de parler de coïncidences ? Selon les pays, les enfants reçoivent de nos jours en tout une cinquantaine de vaccins….dont une partie mercurisés.

Comment le thiomersal est-il assimilé dans l’organisme? Il est décomposé par le corps de la manière suivante : d’abord transformé en méthylmercure toxique, il est ensuite transformé en MERCURE INORGANIQUE qui est la substance au monde la plus toxique, la plus meurtrière pour l’homme venant juste après les radiations ionisantes. L’EPA (Environmental Protection Agency) a établi des normes maximales pour l’exposition au mercure… tout dépassement de ce seuil est considéré gravement toxique. Or sachez que lorsqu’une femme enceinte donne son accord en toute confiance pour se faire vacciner contre la grippe, son fœtus dont la barrière hémato-encéphalique n’est pas encore formée, reçoit en rapport avec son poids (via le sang de sa mère) 2.500 fois la dose maximale de ce poison autorisée par l’EPA …

Mais il y a un autre problème :
Le norvégien Karl Reichelt a découvert que les enfants souffrant d’autisme régressif ne possédaient plus une enzyme particulière servant à digérer certaines protéines ; aussi retrouve t-on dans leur urine la présence de peptides opioïdes qui sont des protéines de type morphines. Le blé ainsi que toutes les céréales à gluten, la protéine de lait de vache, la caséine, le soja et le maïs ne peuvent alors être digérés dans l’intestin grêle et fermentent (d’où ballonnements). C’est cette fermentation qui par une transformation biochimique aboutit à des peptides opioïdes. La paroi de l’intestin grêle des enfants autistes est forcément perméable puisque l’on retrouve ces protéines non digérées dans leur urine, et en particulier celles de la classe des morphines.

On ne sait pas jusqu’ici ce qui lèse les entérocytes de l’intestin grêle dont le rôle est de ne laisser passer que des petites molécules ou des acides aminés, et en aucun cas des grosses protéines non digérées. Les protéines et les métaux se lient facilement ensemble, c’est le cas par exemple de l’hémoglobine faite d’une protéine qui s’est liée au fer. Les morphines qui sont des très grosses molécules protéiniques qui ont une affinité particulière pour les métaux lourds, notamment le mercure… Noter que le mercure est lui naturellement attiré par  les graisses fines du système nerveux dans lesquelles il se solubilise ; les lieux de prédilection : le cerveau et les gaines de myéline des nerfs. Il est clair qu’il s’ensuit une destruction des neurones des sites touchés, ou des courts circuits entre eux… Et la forme solubilisée du couple mercure-morphine le rend difficile à déloger.

Il faut être conscient que les appareils politiques et médicaux sont complices de ce camouflage de la CDC qui ne peut être décrit que comme crime contre l’humanité, car c’est un malheur qui tombe non seulement sur les enfants dont la vie est cassée, mais aussi sur leurs familles qui doivent les prendre en charge durant de longues années : une véritable malédiction ! Mais la pyramide des robots malfaiteurs de la santé publique où chacun fait son petit travail pépère sans chercher à comprendre ce à quoi il contribue, est bien huilée, déresponsabilisée à tous les étages, juridiquement bien protégée. Entre la corruption aveugle en amont et la soumission naïve des parents victimes d’un formatage mensonger qui dure depuis plus d’un siècle, jusqu’à quelle limite cette médecine de Frankenstein pourra t-elle encore sévir avant que le peuple se réveille et dise enfin NON ?

Alors que faire quand le mal est fait ?
La médecine officielle n’a rien de sérieux à proposer. Par contre les médecines alternatives, si, avec succès partiel ou total selon la gravité de l’atteinte.

1 – D’abord, on ne pourra obtenir aucun résultat tangible et stable tant que l’on n’aura pas restauré l’intestin grêle. Pour ce faire, suppression impérative du gluten (comme céréales, il ne reste que le riz et le quinoa), du soja, et de tous les produits laitiers, cela au long cours – Le régime Seignalet est très bien.

2 – Ensuite il faut s’attaquer au mercure :