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Nouvelle phyto-assistance thyroïdienne


TYRO +

Actuellement près de 3 millions de personnes en France sont sous Lévothyrox soit suite à l’ablation totale de la thyroïde, soit pour aider la thyroïde, soit pour mettre la glande au repos. Dans un précédent article j’avais, en outre, dénoncé les abus opératoires visant le dopage du volume de tutelle à vie de gens privés de thyroïde pour présence de nodules.
En fait, le nuage radioactif de Tchernobyl en 1986, qui a été suivi à l’époque d’un déferlement de cancers de la thyroïde en Europe et même de leucémies dans les régions les plus touchées, a été une formidable opportunité pour lancer le Lévothyrox. Les cabinets d’endocrinologie se sont multipliés pour le dépistage, et cela a entraîné un déferlement d’ablations de la thyroïde accompagnées de prise de Lévothyrox à vie.

Mais personne ne parle de ce terrible incendie d’avril 2020, situé dans la “zone d’exclusion” de la centrale abandonnée. Les retombées contaminées s’arrêteront-elles à nouveau au frontières de la France ? Ou bien devons-nous attendre une recrudescence des mêmes conséquences sans réagir ?…

Nota : Nodule chaud = bénin – Nodule froid = suspect
Mais, 10% seulement des nodules froids sont réellement cancéreux.

Finalement, sur 100 nodules thyroïdiens détectés, seuls 4 sont réellement cancéreux, et ils évoluent extrêmement lentement, ce qui signifie que beaucoup de personnes ont perdu leur thyroïde pour rien.

Coups bas de Big Pharma

Il existait sur le marché depuis 1850, un produit très simple nommé Thyroïdine à base de thyroïde de porc (bio) séchée et réduite en poudre. Pourquoi le porc ? Parce que comme nous le savons c’est l’animal qui biologiquement est le plus proche de l’homme, et en particulier sa thyroïde. Bien que je n’aime guère l’utilisation médicale des produits animaux, vu les millions de cochons qui sont sacrifiés pour l’alimentation humaine mondiale, cela ne change rien à la triste condition porcine.

Le problème était que ce vieux produit non chimique et pas très cher était en concurrence avec le Lévothyrox de Merck, d’autant plus qu’il ne présente pas certains inconvénients de la thyroxine de synthèse qui peut augmenter les risques cardiaques et entraîner des carences en fer et calcium.

Or en 2006, un médecin et un pharmacien parisiens se sont associés pour lancer sur le marché des pilules amaigrissantes dans lesquelles ils avaient introduit 800 fois la dose admissible de Lévothyrox par cachet ! Bien sûr, une partie des patients “cobayes” se sont retrouvés à l’hôpital. Les deux compères mis en examen ont juré qu’il s’agissait de thyroïde naturelle (type Thyroïdine).
Avant qu’une vérification de l’allégation soit effectuée, l’ANSM (L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament) fit préventivement retirer ce produit de la vente sur deux mois. Curieusement, cette suspension n’a jamais été levée et elle est devenue définitive bien que l’enquête ait abouti à une supercherie mensongère.

Cette affaire paraissant tellement grosse et cousue de fil blanc, mon ressenti intime est le suivant : Merck désirant éliminer un vieux produit concurrent meilleur que son Lévothyrox,  a dû nommer (et probablement rétribuer) deux “taupes” pour monter un scandale afin de disqualifier la Thyroïdine (en dépit d’un siècle et demi sans problème particulier). Cela suivi d’un gel des conclusions de l’enquête judiciaire, un peu de temps par dessus, une mémoire qui s’estompe et le tour fut joué. Pourtant cet “oubli” n’a pas été appliqué à l’étranger.

Cette imposture a rebondi sur un médecin non aligné, renommé depuis longtemps dans l’obésité d’origine hormonale, le Dr Didier Panizza, créateur d’un centre spécialisé à Paris. Comble de culot, il lui a été reproché de prescrire à ses malades de la Thyroïdine que l’on trouve sans problème en Belgique, en Allemagne, aux USA, au Canada, etc.
A savoir que le 8 décembre 2017, le Dr Panizza a comparu devant la Cour d’appel après des péripéties de procédures sans fin.

Nouvelle imposture envers les thyroïdo-dépendants

Non encore satisfait du marché juteux de son Lévothyrox, Merck adepte du “toujours plus” a encore tiré sur la corde en simplifiant la composition du produit à des fins d’économie accrue (peut-être même sans déposer  d’AMM). Mais là, la corde a cassé suite à une levée générale de plaintes pour effets collatéraux plus ou moins graves parmi les prisonniers de ce traitement monopole pour leur survie.

Je n’entrerai même pas dans les péripéties de ce nouveau scandale, et je suis toujours étonné par le seul réflexe instinctif des gens lorsqu’ils sont confrontés à une injustice : LA PETITION adressée aux autorités – d’autant plus que encore une fois la malveillance a l’air de ne s’appliquer qu’à la France. Cela fait des années que je répète que les pétitions vont à la… poubelle ! Guère mieux sont les démarches juridiques qui traînent, coûtent cher, et ne sont pas forcément appliquées après gain de cause. Chers amis il faut réaliser que vos bourreaux administratifs sont des valets et qu’ils ne sont pas là pour défendre vos intérêts (votre santé), mais ceux de leurs maîtres.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Au lieu de perdre son temps avec des procédures en règles que l’on vous impose, pourquoi ne pas sortir de l’épure qui présente au départ 3 solutions faciles au choix :

1 – Hors frontières :

              • 1 Se procurer le Lévothyrox original dans un pays limitrophe,
              • 2 Se procurer la Thyroïdine classique en Belgique ou en Allemagne…
                (sauf si l’on est végétarien intégriste ou musulman)…

2 – Dans l’hexagone :

Vous pouvez opter pour la phyto des médecines naturelles. Il existe différents produits sur le marché qui sont d’une plus ou moins grande efficacité concernant la régulation thyroïdienne en hypo ou/et en hyper. J’en ai sélectionné plusieurs successivement de mieux en mieux avant d’en arriver à celui que je pense être le plus performant : Le Tyro + d’Apoticaria.

Les mécanismes thyroïdiens

D’abord c’est la TSH du sang qui transmet les ordres de l’hypophyse à la thyroïde – d’où l’utilité d’effectuer son dosage :

                  • moins de 0,5 mU/L = hyperthyroïdie,
                  • plus de 4,5 mU/L = hypothyroïdie

Rappel : La thyroïde, petit nœud papillon situé à la base du larynx, est composée de cellules folliculaires qui produisent quatre hormones : la T1, la T2, la T3, et la T4 (thyroxine), et de cellules C parafolliculaires qui contrôlent la régulation du calcium et du phosphore.
Or il se fait que la thyroïde fabrique surtout de l’hormone T4 mais peu d’hormone T3 qui est indispensable pour faire fonctionner l’ensemble du système endocrinien. Fort heureusement, la T4 peut être transformée grâce à une enzyme spéciale en T3 (hormone active) mais aussi en RT3 (hormone inactive) – Si cette dernière est prépondérante, la thyroïde ralentit ou s’arrête.

Tout ceci laisse voir que les problèmes thyroïdiens demandent une grande finesse d’analyse. Par exemple en cas de carence en T3, le Levothyrox qui est pourvoyeur de T4 est inutile. Idem pour les patients qui ne peuvent faire la transformation de T4 en T3.
Toutes ces subtilités de fonctionnement n’ont plus à être vraiment prises en compte lorsqu’on utilise la Thyroïdine ou Tyro +.

Troubles possibles par hypothyroïdie

              • Constipation,
              • Crampes musculaires,
              • Déprime,
              • Difficultés de concentration,
              • Eclaircissement des sourcils,
              • Faiblesse immunitaire,
              • Fatigue constante,
              • Fourmillement des extrémités,
              • Infections récurrentes,
              • Insomnies,
              • Lombalgie,
              • Migraines,
              • Mouvements lents,
              • Pâleur,
              • Paumes et plantes jaunes,
              • Perte de cheveux ou cheveux cassants,
              • Perte de la libido,
              • Problèmes menstruels,
              • Raisonnement lent,
              • Réflexe achilléen lent,
              • Sécheresse ou épaississement cutané,
              • Tendinites résistantes,
              • Troubles de l’audition,
              • Troubles de la mémoire,
              • Vertiges,
              • Visage bouffi,
              • Vision floue,
              • Voix rauque.

Cause courante de dérèglement : la carence en iode

Si vous n’avez pas d’iode vous ne fabriquez pas d’hormones thyroïdiennes. Les carences en iode proviennent d’une alimentation trop pauvre en calcium d’origine marine (sardines, algues) mais aussi de la consommation excessive d’aliments goitrigènes inhibiteurs de la glande comme le chou, le chou-fleur, le rutabaga ou le navet.

A défaut d’un test d’iodurie urinaire, vous pouvez effectuer un apport d’iode facile qui sert aussi de test – Il suffit de badigeonner de la teinture d’iode de pharmacie sur les parties discrètes telles l’intérieur des cuisses ou des bras si vous portez des manches.

– si la couleur marron disparaît en 24h ou moins, vous êtes carencé(e) – alors continuez,
– si la couleur marron persiste plusieurs jours, c’est que votre organisme est saturé.

Nota : La réduction d’accès à la teinture d’iode en pharmacie comme si c’était dangereux serait-elle encore une malveillance pour saper notre autonomie ? Nos grands-mères en mettaient une goutte dans les biberons pour activer l’intelligence des bébés.

Composition du Tyro+

Composition pour 2 gélules :
Tyrosine ; spiruline ;  maca ; levure enrichie en séléniumn ; fucus vesiculosus ; stéarate de magnésium (anti-aglomérant).
Boîtes  de 120 gélules

Posologie
1 gélule matin et soir

En phase d’adaptation contrôler régulièrement le dosage de la TSH (thyréostimuline du sang).

Il faut généralement 10 jours pour que l’équilibrage de la TSH se stabilise.

Donc, il est conseillé de procéder à la transition par étapes, en divisant par 2 la prise de Lévothyrox pendant que l’on démarre Tyro+, puis après contrôle au bout de 10 jours, si tout est OK, rediviser par 2, puis après re-contrôle, prendre le reste de Lévothyrox un jour sur deux. En cas d’anomalie, faire marche arrière.

TYRO + : https://apoticaria.com/products/tyro-plus-jade-recherche?ref=4

Attention, l’affaire n’est pas forcément aussi simple

Ce qui suit s’inspire des études du Dr. Michael Lam, expert en médecine nutritionnelle et en médecine antivieillissement (Californie USA).
Ses travaux ont mis en évidence que l’hypothyroïdie peut être primaire ou secondaire, et que la fatigue surrénale est très souvent la cause primitive de l’insuffisance thyroïdienne. Cette éventualité est pourtant négligée ou ignorée des médecins car ils sont peu formés à faire cette relation.

A titre de rappel, les deux glandes surrénales siégeant au sommet des reins sécrètent des hormones – comme le cortisol, l’adrénaline et la noradrénaline qui réagissent aux stress. On peut dire que ce sont entre autres “les glandes coup de feu”.
Lorsque celles-ci sont affaiblies ou épuisées, leur capacité à gérer – en particulier les stress – se trouve compromise. Mais il faut assurer la survie, alors les glandes surrénales envoient des ordres pour mettre l’organisme en économie énergétique, en ralentissant son métabolisme général. Or c’est la glande thyroïde qui a la charge de contrôler ce métabolisme, et qui va pour ce faire réduire sa production des hormones T4 et T3.

Le problème est que dans des situations de stress récurrent, les boosters thyroïdiens ou même les traitements de substitutions classiques vont à l’encontre des ordres des surrénales à ralentir le métabolisme, ce qui aboutit à un résultat contre-productif.
Le Dr Lam écrit : “Ce que le corps veut ralentir et ce que la thérapie thyroïdienne veut accélérer sont diamétralement opposés. Aussi dans de nombreux cas, traiter l’hypothyroïdie sans renforcer au préalable les glandes surrénales, c’est comme mettre de l’huile sur le feu. Un système surrénal déjà faible, en manque d’énergie, peut ne pas être capable de supporter la charge d’une dépense énergétique supplémentaire. Les glandes surrénales ont besoin de repos, pas d’un surcroît de travail”.

Bilan de l’état des surrénales par le test de la salive.

La meilleure façon de tester l’état des glandes surrénales est de mesurer la fraction libre des hormones surrénales clés. La salive est un outil de choix reconnu, dans la mesure où y est dosée la fraction libre des hormones circulantes au lieu des hormones liées à leurs protéines-porteuses habituellement dosées dans le sang.
La salive est un ultra-filtre naturel du sang. La fraction libre des stéroïdes non liés à leurs protéines-porteuses y diffuse librement (alors que les protéines porteuses sont de trop grosses molécules pour y pénétrer).
L’analyse hormonale de la salive est donc plus fiable que le dosage des hormones circulantes sanguines liées aux protéines.

Notre choix d’association thérapeutique préventive

Pour faire simple, nous avons choisi d’apporter un soutien systématique des surrénales, ce qui ne peut aller que dans le bon sens – à moins que l’on décide d’effectuer le test salivaire. Il y a différentes façons de soutenir les glandes surrénales d’une façon naturelle  et respectueuse de l’intégrité organique, comme l’homéopathie, la phyto-aromathérapie, etc., mais nous avons préféré une formule plus simple qui est le chlorure de magnésium en transcutané par spray.
J’ai déjà présenté en détail dans un article les avantages de cette solution par rapport à la voie per lingue.

En fait, nous avons pu constater que les résultats associés au TYRO+ étaient bien souvent plus performants avec l’association  du magnésium en spray – ce qui semble signifier qu’il y a beaucoup plus de gens que l’on pense qui sont en état de fatigue voire d’épuisement de leurs surrénales.

Mode d’application du spray

Pulvériser matin et soir le produit dans le dos sur les zones in situ du haut des deux reins – on peut aider à la pénétration cutanée par un massage local – l’intelligence de la peau fera le reste.

Mg Spray : https://apoticaria.com/products/spray-magnesium-transdermal-dr-shealy?ref=

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