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Pour retrouver calme et détente…


…Vagostim

pour rééquilibrer
le système nerveux autonome

Vagostim est issu d’un remède nommé Sympavagol dont l’indication était de rééquilibrer le système nerveux autonome, c’est-à-dire automatique (respiration, cœur, intestins, circulation capillaire).
Plus précisément, son action était de renforcer les systèmes parasympathiques défaillants dont je vais parler ci-dessous.
Ce remède qui était fabriqué par Boiron ou Boribel, était très efficace et n’avait pas d’équivalent dans la pharmacie orthodoxe.

Un jour, un décret est sorti, décrétant (normal un décret “décrétant” !) qu’un des composants n’était plus autorisé. Hélas une fois la plante incriminée enlevée, le remède “amélioré” ne fonctionnait pratiquement plus – c’est ballot, hein ?

C’est maintenant Novartis qui le vend !…

Mais revenons au système nerveux autonome. Il comprend :

1 – Le système orthosympathique par distribution paravertébrale qui donne les ordres de régulation et d’adaptation – il est en relation avec le stress et il est tempéré par le système para – il génère des adaptations brutales et inconfortables, voire dangereuses. Cela s’appelle la Neurotonie.

2 – Le système parasympathique par le nerf vague devant le thorax et les 12 nerfs crâniens, qui amortit les ordres de l’ortho et commande les différents péristaltismes (intestins, vaisseaux capillaires…) – il est en relation avec le calme et la détente.
En excès (rarement), il est responsable de retards d’adaptation – cela s’appelle la Vagotonie.

Vous savez bien qu’il y a beaucoup plus de gens stressés que de gens détendus.
C’est dire combien le Sympavagol formule originale était utile.

Voilà pourquoi il était opportun de refaire une formule naturelle qui permette de régler les nombreux problèmes d’ordre nerveux de la vie courante – sans les inconvénients chimiques associés.

Effet domino

L’art de guérir réellement les maladies est de remonter à la source ; si nous prenons le trajet à l’envers, nous voyons une cascade classique à partir d’une hypotonie du système parasympathique :

Le diaphragme : une plaque tournante

Comme nous l’avons vu, le système ortho n’étant plus temporisé devient dominant, et va générer du stress en boucle en bloquant le diaphragme – oui car du coup, la respiration abdominale, celle de la détente et de la tranquillité, va s’arrêter et céder la place à la respiration thoracique courte, partielle et qui va réinjecter un état de stress.
Par ailleurs un diaphragme bloqué induit ce qu’on appelle “la boule à l’estomac” ou “un estomac noué” qui est en fait un blocage du plexus solaire, ceci pouvant entrainer de la gastralgie (gastrite).

Par ailleurs, le grand médecin Alexandre Salmanov (décédé en 1945) affirmait qu’un diaphragme spasmé attaquait le fonctionnement et la santé cardiaque – aussi pour lever ce spasme installé, il préconisait une bouillotte chaude sur le foie et l’estomac, 20 minutes tous les jours, ce qui est immédiatement efficace.

De mon côté j’ai toujours enseigné et pratiqué avec bonheur un exercice contre le trac (blocage du diaphragme) en effectuant la chose suivante :

                  • Inspirer uniquement par le ventre,
                  • Bloquer la respiration,
                  • Rentrer le ventre à fond puis le ressortir une quinzaine de fois,
                  • Puis respirer normalement.

 

Ce gargarisme intérieur crée une chaleur et une agréable vibration rassurante au niveau du plexus de l’estomac.

Le stress un grand acidifiant

L’autre aspect pervers de la neurotonie par hypotonie du système para est l’acidification du terrain organique (la fameuse acidose), avec tout son cortège d’effets collatéraux bien connus.

Donc en bref :

                  • HYPOTONIE DU PARA donne NEUROTONIE,
                  • qui donne ACIDOSE qui accueille levures et champignons tel candida albicans (CANDIDOSE),
                  • qui fait le lit bien connu des CANCERS,
                  • qui font l’objet de super stress
                  • la boucle est bouclée en auto alimentation !

 

Alors les amis, du stress il en faut pour ne pas devenir gâteux, mais à condition de ne pas dépasser les doses gérables et de ne pas le laisser s’installer à demeure sans permis de séjour !

Et c’est là qu’un outil de contrôle comme Vagostim s’avère le bienvenu !

Composition du Vagostim

                  • Escholtzia TM 25%
                  • Passiflore TM 25%
                  • Valériane TM 15%
                  • Tilia tomentosa (bourgeons macérat mère) 35%

Propriétés des différents composants

Escholtzia (pavot de Californie)

                    • Anxiolytique
                    • Relaxant
                    • Antispasmodique
                    • Analgésique
                    • Sédatif nerveux
                    • Hypnotique
                    • Troubles du sommeil

 

Passiflore

                    • Antalgique
                    • Anticonvulsive
                    • Antispasmodique musculaire
                    • Anxiolytique
                    • Sédative
                    • Sédative cardiaque
                    • Tranquillisante

 

Valériane

                    • Anticonvulsive
                    • Antispasmodique
                    • Calmante
                    • Décontractante
                    • Relaxante
                    • Sédative

 

Tilia tomentosa (tilleul)

                    • Anxiété
                    • Insomnies
                    • Palpitations
                    • Sédatif nerveux
                    • Spasmophilie
                    • Tachycardie
                    • Thyroïde hyper
                    • Tranquillisant
                    • Ulcères gastro-duodénaux

Indications générales du Vagostim

                    • Cœur : éréthisme
                    • Constipation
                    • Nervosisme
                    • Palpitations cardiaques
                    • Sommeil : troubles
                    • Spasmophilie
                    • Stase circulation capillaire
                    • Stase lymphatique
                    • Système nerveux autonome : neurotonie
                    • Système nerveux autonome : sautes brutales d’adaptation
                    • Système nerveux parasympathique : stase

Posologie du Vagostim

        • Commencer par un petit dosage :
        • 5 gouttes le soir, puis augmenter d’une goutte par jour, jusqu’à aller à 20 gouttes,
        • 2 fois par jour après les repas principaux,
        • 6 semaines de cures.

Vous pouvez vous procurer le produit ici :