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La face cachée du SIDA


La face cachée du SIDA

C’est en 1957 que débuta aux USA un programme nommé “Special Operations-X”, destiné à mettre au point des agents biologiques synthétiques susceptibles de répandre un fléau de type Peste Noire dans certaines zones géographiques du monde, et particulièrement en Afrique. Le motif principal était le contrôle de la démographie, mais il semble aussi que le racisme en était un autre.

 

A l’origine, les travaux ont été orientés vers un mycoplasme (une petite cellule dépourvue d’enveloppe) possédant une insertion de lentivirus visna qui réduit en compote le cerveau des moutons. Toute la documentation sur l’évolution du visna dans l’étiologie du SIDA se trouve dans les « Proceedings of the United States of America at PNAS, du 11 avril 1995 – 92:3283-87 ».

Il y a 200 espèces de mycoplasmes et la plupart sont inoffensifs, seuls 4 ou 5 sont pathogènes. Un de ces derniers est un Mycoplasma Fermentans qui vient probablement de la bactérie Brucella (la brucellose, encore appelée Fièvre de Malte, liée aux chèvres). Celui-ci a été biologiquement transformé avec l’ADN du lentivirus visna (virus ovin).

Le Dr. Strecker, ainsi que beaucoup d’autres médecins et chercheurs affirment que le SIDA a été fabriqué à partir de ce virus visna (mouton) cultivé avec le virus de la leucémie bovine dans du tissu humain. Ensuite, le mycoplasme du SIDA a été intégré dans plusieurs vaccins, contre la variole et l’hépatite B, par l’unité d’armement biologique de l’armée américaine à Fort Dietrick, dans le Maryland. Les programmes de vaccination ont été conduits avec l’aide de l’organisation mondiale de la santé (OMS) à la demande d’un certain nombre d’élites visant le surpeuplement, principalement en Afrique.

Le Dr. Shyh-Ching Lo, chercheur en chef à l’Institut de Pathologie des Forces Armées, a déclaré que ce vecteur de la maladie provoque non seulement le SIDA, mais également le cancer, le syndrome de fatigue chronique, la maladie de Crohn, le diabète de type 1, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, la maladie de Wegener, la polyarthrite rhumatoïde, la maladie d’Alzheimer et la fibromyalgie. On suppose que cet homme sait ce dont il parle, puisqu’il a lui-même développé l’agent de la maladie et l’a fait breveter (‘Mycoplasme Pathogène’, brevet des USA n° 5.242.820, publié le 7 septembre 1993). »

 

L’expérimentation et les tests préliminaires concernant le SIDA se sont déroulés dans les années 50 et 60. Il existe des preuves documentées selon lesquelles les armes biologiques développées par les militaires des USA ont été testées sur le public à son insu. Une des premières manifestations du syndrome de fatigue chronique se produisit en 1957 à Punta Gorda, en Floride.

Une semaine avant les premières manifestations de la maladie, il y eut une énorme invasion de moustiques. Les Instituts Nationaux de la Santé (NIH) prétendirent que les insectes avaient été chassés par un feu de forêt distant de 50 km. La vérité, c’est qu’ils furent élevés à Belleville, Ontario, (à raison de 100.000 par mois au Dominion Parasite Laboratory), infectés par le Dr. Guildford B. Reed à Queen’s University, puis transportés et lâchés à Punta Gorda. En moins d’une semaine, les cinq premiers cas du syndrome de fatigue chronique furent signalés à la clinique locale. Puis les malades continuèrent à affluer jusqu’à atteindre le nombre de 450.

Ce test fut également appliqué dans la région de St. Lawrence Seaway Valley en 1984. Des centaines de millions de moustiques infectés furent libérés, et dans le mois qui suivit, 700 personnes furent atteintes d’encéphalomyélite myalgique ou « syndrome de fatigue chronique ». Cette maladie provoque littéralement la dissolution de certaines parties du cerveau qui sont remplacées par du tissu cicatrisé. Il en résulte la diminution cognitive, la perte de mémoire, etc. Le terme ‘syndrome de fatigue chronique’ a été inventé par le NIH pour offrir de la maladie une image anodine et en minimiser les effets.

 

En 1972, l’opération SIDA étant opérationnelle, le gouvernement des Etats Unis a lancé sa campagne criminelle dans toutes régions que l’on avait jugées surpeuplées. Des équipes médicales dirigées par le Dr. Donald A. Henderson se rendirent en Afrique, en Inde, au Népal et au Pakistan, et offrirent une vaccination gratuite contre la variole. On camoufla le mycoplasme du SIDA dans ce vaccin, et avec l’assistance de l’OMS, on le répandit largement.
Dans les cinq ans, 60% de ceux qui avaient reçu le vaccin furent atteints du SIDA.
« La puissance du mycoplasme inclus déterminait le type de maladie. Un mycoplasme de puissance 10 provoquait le SIDA, et à puissance 8, c’était l’encéphalomyélite myalgique. Dans un article intitulé : « Immunopathologie associée au virus : modèles animaux et implications dans la maladie humaine », l’OMS écrit notamment à la page 257 : “les propriétés des virus semblent idéales pour causer des lésions immunopathologiques.”

A la page 56 du numéro du 25 octobre 2005 du New Yorker, dans un article intitulé : « Ce que l’argent peut acheter », l’auteur Michael Specter nous parle du milliardaire Bill Gates et de son projet de stopper l’épidémie de malaria en Tanzanie grâce à une campagne de vaccination. Aïe, aïe, aïe !!! Qu’y a-t-il dans la trousse ? Cela rappelle quelque chose. Les projets de Gates sont-ils clairs comme la rosée du matin ?

Qui peut-on encore croire ? les gouvernements qui participent au programme d’inoculation du SIDA, ce qui inclut les Russes, les Allemands, les Britanniques, les Français, les Canadiens et les Japonais ? Les responsables de la fabrication et de la diffusion de ces agents pathogènes devraient comparaître devant le même tribunal que celui de Milosevic pour crime contre l’humanité. Il semble que le véritable pouvoir aux Etats Unis soit entre les mains de criminels qui poursuivent tranquillement leurs projets.

Sources : Jerry Mazza et Dirk Chardet
Traduction : André Dufour et Annick Bidreman