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La Grèce et l’Euro


BILDERBERG TERRIFIE
SI LA GRECE ARRIVE A SORTIR DE L’EURO

Le groupe Bilderberg est terrifié que la sortie potentielle de la Grèce de la zone euro ne mène à une récupération rapide de son économie et donne ainsi un  modèle pour les autres pays à suivre, menaçant ainsi de torpiller la monnaie unique européenne et la totalité de l’agenda pour un super-état fédéral européen.

La crise de l’euro en est maintenant à son point le plus grave de son histoire, faisant oublier des points similaires de crise qui se sont passés juste avant les réunions du groupe Bilderberg en 2010 et 2011. En ces deux occasions, le  consensus politique formé par les membres du groupe Bilderberg fut suffisant pour garder l’euro sous perfusion pour 12 mois de plus à chaque fois, et ces mêmes mondialistes ont essayé une fois de plus une stratégie à huis-clos,  qui donnera encore une rédemption à leur projet chéri.

Le groupe Bilderberg est terrifié non seulement par le fait que la Grèce pourrait quitter l’euro, mais qu’en le faisant, on assisterait à un rebond de son économie, et que cela deviendrait le modèle pour d’autres pays  de la zone euro. Cette crainte est exemplifiée par un article paru aujourd’hui dans le journal contrôlé par le Bilderberg, le Financial Times titré: Greece’s exit may become the euro’s envy. “Expulsée  de la zone euro, la Grèce pourrait devenir bien plus dangereuse pour le système qu’elle ne le fut jamais à l’intérieur, en devenant un modèle de convalescence économique saine et efficace”, écrit Arvind Subramanian . Il ajoute que la sortie potentielle de la Grèce “pourrait bien être contagieuse” et mener à l’abandon “de la zone euro et peut-être même du projet européen”.

Si l’euro prouve être un échec, le projet de réaliser le but ultime d’une monnaie mondiale est mort pour au moins 100 ans. De plus, le Bilderberg chérit la monnaie unique parce que c’est son bébé. En considérant  le fait que l’euro a pris environ 5 décennies à se construire, ne nous attendons pas à ce que l’élite mondialiste abandonne le projet sans se battre. On comprend pourquoi on nous fait si peur sur les conséquences  tragiques pour l’Europe et l’économie mondial que pourraient avoir une sortie de l’euro pour la Grèce… On ne veut surtout pas qu’on sache qu’ils s’en sortiraient beaucoup mieux.

Paul Joseph Watson